Dakar, 24 avr (APS) - La Fondation Rosa Luxemburg et l’Africaine de recherche et de coopération pour l’appui au développement endogène (ARCADE) organisent le samedi 4 mai prochain un "Samedi de l’économie" autour du thème : ‘’Les accords de partenariat économique (APE) et le libre-échange’’, annonce un communiqué transmis à l’APS.
Prévue de 9 heures à 12 heures 30 au siège de la Fondation à Sotrac-Mermoz, cette rencontre va être axée sur plusieurs questions autour des accords de partenariat économique.
‘’Quelle est la vraie nature des APE ? Pourquoi l’Afrique refuse-t-elle de les signer ? Que propose-t-elle à la place ? Où en sont les négociations ? Est-il possible d’arriver à des Accords avec l’UE qui prennent en compte les priorités de développement de l’Afrique ?’’. Telle est la problématique sur laquelle plancheront les participants.
Les Accords de partenariat, en négociation entre l’Afrique et l’Union européenne (UE) depuis plus de dix ans, sont farouchement combattus par les mouvements sociaux africains qui y voient une menace pour les économies africaines, notamment dans le domaine de la souveraineté alimentaire, de l’intégration et de l’industrialisation de l’Afrique, expliquent les organisateurs.
Selon le texte, ‘’les APE sont conçus dans une optique purement commerciale et visent principalement à ouvrir les marchés africains aux produits européens. Ce sont des accords de +libre-échange+ qui s’inscrivent dans la logique néolibérale prônée par l’Organisation mondiale du commerce (OMC)’’.
Le thème sera introduit par le Dr. Cheikh Tidiane Dièye, un expert dans ce domaine. M. Dièye est directeur exécutif d’ENDA-CACID. Il est également à la tête du Forum de la société civile de l’Afrique de l’ouest (FOSCAO), une organisation qui est impliquée dans les négociations sur les APE et qui travaille étroitement avec les commissaires et négociateurs de la CEDEAO.
La Fondation Rosa Luxemburg et l’Africaine de recherche et de coopération pour l’appui au développement endogène (ARCADE) organisent, chaque premier samedi du mois, une rencontre destinée à donner plus de visibilité aux questions économiques dans le débat public au Sénégal et à promouvoir une analyse critique en rupture avec le discours conventionnel.
Les thèmes abordés portent sur l’économie nationale, sous-régionale, continentale et internationale.
Prévue de 9 heures à 12 heures 30 au siège de la Fondation à Sotrac-Mermoz, cette rencontre va être axée sur plusieurs questions autour des accords de partenariat économique.
‘’Quelle est la vraie nature des APE ? Pourquoi l’Afrique refuse-t-elle de les signer ? Que propose-t-elle à la place ? Où en sont les négociations ? Est-il possible d’arriver à des Accords avec l’UE qui prennent en compte les priorités de développement de l’Afrique ?’’. Telle est la problématique sur laquelle plancheront les participants.
Les Accords de partenariat, en négociation entre l’Afrique et l’Union européenne (UE) depuis plus de dix ans, sont farouchement combattus par les mouvements sociaux africains qui y voient une menace pour les économies africaines, notamment dans le domaine de la souveraineté alimentaire, de l’intégration et de l’industrialisation de l’Afrique, expliquent les organisateurs.
Selon le texte, ‘’les APE sont conçus dans une optique purement commerciale et visent principalement à ouvrir les marchés africains aux produits européens. Ce sont des accords de +libre-échange+ qui s’inscrivent dans la logique néolibérale prônée par l’Organisation mondiale du commerce (OMC)’’.
Le thème sera introduit par le Dr. Cheikh Tidiane Dièye, un expert dans ce domaine. M. Dièye est directeur exécutif d’ENDA-CACID. Il est également à la tête du Forum de la société civile de l’Afrique de l’ouest (FOSCAO), une organisation qui est impliquée dans les négociations sur les APE et qui travaille étroitement avec les commissaires et négociateurs de la CEDEAO.
La Fondation Rosa Luxemburg et l’Africaine de recherche et de coopération pour l’appui au développement endogène (ARCADE) organisent, chaque premier samedi du mois, une rencontre destinée à donner plus de visibilité aux questions économiques dans le débat public au Sénégal et à promouvoir une analyse critique en rupture avec le discours conventionnel.
Les thèmes abordés portent sur l’économie nationale, sous-régionale, continentale et internationale.