Dakar, 22 jan (APS) – Le Sénégal travaille à éradiquer définitivement la lèpre après avoir procédé à son élimination, a souligné, mardi à Dakar, le Coordonnateur intérimaire du Programme national de lutte contre la lèpre, docteur Mouhamed Ndongo Sangaré.
‘’L’Organisation mondiale de la santé (OMS) indique que l’élimination de la lèpre suppose d’avoir 1 cas pour 10.000 habitants. En se référant à cela, on peut dire qu’au Sénégal, la lèpre est éliminée’’, a-t-il dit lors, d’un point de presse en prélude de la journée mondiale de lutte contre la lèpre.
Cette manifestation qui sera célébrée dimanche à Kolda (Sud) a pour thème : ‘’Oui à l’intégration, non à l’exclusion’’. Elle sera marquée par une série d’activités dans la capitale du Fouladou.
Dr Sangaré a signalé quelques poches de résistance notamment dans la région de Kédougou (Sud-est) qui enregistre des disparités avec un taux de prévalence de 1,80% pour 10.000 habitants. Au niveau national, la prévalence est de 0,26 % pour 10.000 habitants.
Selon lui, la plupart des malades répertoriés à Kédougou viennent le plus souvent d'autres pays de l'Afrique de l'Ouest. ‘’C’est une région (Kédougou) qui renferme beaucoup d’activités minières soutenues par une promiscuité qui peut contribuer à la prolifération de la maladie’’, a-t-il expliqué.
‘’Toutefois, confie le médecin, au niveau du Programme de lutte contre la lèpre, nous sommes en train de mettre en place des stratégies pour venir à bout de ce fort taux de prévalence à Kédougou où le personnel médical et paramédical est renforcé pour prendre en charge cette maladie.’’
Le coordonnateur intérimaire dudit programme a déploré ‘’le diagnostic tardif des malades’’ et leur orientation tardive vers les structures sanitaires. ‘’Ces malades sont observés à un stade de mutilation et d’invalidité’’, a-t-il souligné.
‘’Cela pose problème dans la prise en charge, mais au-delà, la prise en charge se fait correctement au niveau de toutes les structures de santé et il n’y a pas de problème à ce niveau’’, a signalé le docteur Sangaré.
LTF/OID/SAB
‘’L’Organisation mondiale de la santé (OMS) indique que l’élimination de la lèpre suppose d’avoir 1 cas pour 10.000 habitants. En se référant à cela, on peut dire qu’au Sénégal, la lèpre est éliminée’’, a-t-il dit lors, d’un point de presse en prélude de la journée mondiale de lutte contre la lèpre.
Cette manifestation qui sera célébrée dimanche à Kolda (Sud) a pour thème : ‘’Oui à l’intégration, non à l’exclusion’’. Elle sera marquée par une série d’activités dans la capitale du Fouladou.
Dr Sangaré a signalé quelques poches de résistance notamment dans la région de Kédougou (Sud-est) qui enregistre des disparités avec un taux de prévalence de 1,80% pour 10.000 habitants. Au niveau national, la prévalence est de 0,26 % pour 10.000 habitants.
Selon lui, la plupart des malades répertoriés à Kédougou viennent le plus souvent d'autres pays de l'Afrique de l'Ouest. ‘’C’est une région (Kédougou) qui renferme beaucoup d’activités minières soutenues par une promiscuité qui peut contribuer à la prolifération de la maladie’’, a-t-il expliqué.
‘’Toutefois, confie le médecin, au niveau du Programme de lutte contre la lèpre, nous sommes en train de mettre en place des stratégies pour venir à bout de ce fort taux de prévalence à Kédougou où le personnel médical et paramédical est renforcé pour prendre en charge cette maladie.’’
Le coordonnateur intérimaire dudit programme a déploré ‘’le diagnostic tardif des malades’’ et leur orientation tardive vers les structures sanitaires. ‘’Ces malades sont observés à un stade de mutilation et d’invalidité’’, a-t-il souligné.
‘’Cela pose problème dans la prise en charge, mais au-delà, la prise en charge se fait correctement au niveau de toutes les structures de santé et il n’y a pas de problème à ce niveau’’, a signalé le docteur Sangaré.
LTF/OID/SAB