Louga, 14 sept (APS) – Quelque 14 volontaires dont dix femmes venus des quatre régions d’intervention de l’ONG internationale THP (The Hunger Project) ont démarré, lundi au bureau opérationnel de Louga, une session de formation en suivi-évaluation pour mieux jauger l’impacte des activités de l’organisation, a constaté l’APS.
Ces volontaires qui sont les relais de l’ONG en milieu rural seront, au terme des trois jours de formation, outillés pour mieux suivre les activités de l’organisation, a indiqué le chargé de projet et responsable du volet suivi-évaluation santé et environnement, Moustapha Diop.
Cette session de formation vient après celles sur le leadership et sur le paludisme, le sida et la santé de la reproduction, a indiqué M. Diop relevant qu’elle permet aux volontaires de devenir des acteurs de développement qui vont aider à véhiculer la démarche de THP.
’’Nous allons leur donner les indicateurs de nos activités et programmes en cours de réalisation, des notions théoriques en planification, des outils de collecte et de suivi de programmes et des formats de rapports trimestriels’’, a soutenu le formateur.
A l’issue de cette formation, les 14 volontaires de THP vont obligatoirement envoyer des rapports trimestriels faisant ressortir l’impact des activités de l’ONG dans les 17 épicentres ouverts dans les 4 régions, a indiqué M. Diop.
Le bureau opérationnel de Louga qui regroupe depuis son ouverture en décembre 2007 et par la volonté de la directrice nationale Madeleine Cissé les bureaux de terrains de Dahra (Louga), Khombole (Thiès) et Mpal (Saint-Louis) s’emploie à coller au maximum à l’esprit des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), a relevé M. Diop.
L’ONG internationale ayant son siège à New York œuvre dans le cadre de la lutte contre la faim et la pauvreté intervenant dans les domaines de la sécurité alimentaire (construction de banques céréalières, distribution de semences, etc.), de l’accès à l’éducation et l’alphabétisation (mise n place d’écoles préscolaires, scolarisation des filles, etc.) et de l’accès aux soins de santé (mise en place de cases ou de coins de santé).
L’ONG Internationale dirigée au Sénégal par Madeleine Cissé s’emploie également à faciliter l’accès à un environnement durable et à l’eau potable (activités de reboisement, de régénération assistée et mise en défens des parcelles communautaires) et à l’émergence de structures financières décentralisées.
Pour mettre en pratique sa stratégie d’élimination de la faim et de la pauvreté, l’ONG The Hunger Project s’appuie sur l’épicentre qui est composé de 10 à 25 villages gravitant autour d’un rayon de 10 kilomètres environ, a appris le chargé de projet Moustapha Diop ajoutant que Louga est doté de trois épicentres (Dahra, Coki et Diokoul).
L’épicentre est aussi matérialisé par un bâtiment construit en ‘’L’’ au niveau du plus gros village au bénéfice de toute la communauté, a indiqué M. Diop soulignant que l’édifice abrite une salle de réunion, une mutuelle de crédit, une salle de lecture, un bureau du comité d’épicentre, une banque de céréales, une unité de transformation agroalimentaire, un coin de santé et des classes de maternelles, etc.
Ces volontaires qui sont les relais de l’ONG en milieu rural seront, au terme des trois jours de formation, outillés pour mieux suivre les activités de l’organisation, a indiqué le chargé de projet et responsable du volet suivi-évaluation santé et environnement, Moustapha Diop.
Cette session de formation vient après celles sur le leadership et sur le paludisme, le sida et la santé de la reproduction, a indiqué M. Diop relevant qu’elle permet aux volontaires de devenir des acteurs de développement qui vont aider à véhiculer la démarche de THP.
’’Nous allons leur donner les indicateurs de nos activités et programmes en cours de réalisation, des notions théoriques en planification, des outils de collecte et de suivi de programmes et des formats de rapports trimestriels’’, a soutenu le formateur.
A l’issue de cette formation, les 14 volontaires de THP vont obligatoirement envoyer des rapports trimestriels faisant ressortir l’impact des activités de l’ONG dans les 17 épicentres ouverts dans les 4 régions, a indiqué M. Diop.
Le bureau opérationnel de Louga qui regroupe depuis son ouverture en décembre 2007 et par la volonté de la directrice nationale Madeleine Cissé les bureaux de terrains de Dahra (Louga), Khombole (Thiès) et Mpal (Saint-Louis) s’emploie à coller au maximum à l’esprit des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), a relevé M. Diop.
L’ONG internationale ayant son siège à New York œuvre dans le cadre de la lutte contre la faim et la pauvreté intervenant dans les domaines de la sécurité alimentaire (construction de banques céréalières, distribution de semences, etc.), de l’accès à l’éducation et l’alphabétisation (mise n place d’écoles préscolaires, scolarisation des filles, etc.) et de l’accès aux soins de santé (mise en place de cases ou de coins de santé).
L’ONG Internationale dirigée au Sénégal par Madeleine Cissé s’emploie également à faciliter l’accès à un environnement durable et à l’eau potable (activités de reboisement, de régénération assistée et mise en défens des parcelles communautaires) et à l’émergence de structures financières décentralisées.
Pour mettre en pratique sa stratégie d’élimination de la faim et de la pauvreté, l’ONG The Hunger Project s’appuie sur l’épicentre qui est composé de 10 à 25 villages gravitant autour d’un rayon de 10 kilomètres environ, a appris le chargé de projet Moustapha Diop ajoutant que Louga est doté de trois épicentres (Dahra, Coki et Diokoul).
L’épicentre est aussi matérialisé par un bâtiment construit en ‘’L’’ au niveau du plus gros village au bénéfice de toute la communauté, a indiqué M. Diop soulignant que l’édifice abrite une salle de réunion, une mutuelle de crédit, une salle de lecture, un bureau du comité d’épicentre, une banque de céréales, une unité de transformation agroalimentaire, un coin de santé et des classes de maternelles, etc.