Louga, 24 déc (APS) – Les conseillers municipaux de Dahra et ruraux de Koki formés mardi et mercredi avec l’appui de l’ONG internationale ‘’The Hunger Project’’ ont amélioré leurs connaissances sur l’importance de l’alphabétisation et les stratégies de mobilisation de ressources pour son développement.
Les élus de la commune de Dahra et de la communauté rurale de Koki ont désormais un aperçu certain sur les enjeux et les défis de l’éducation non formelle, les filières de formation qualifiante au niveau local, sur les schémas de financement et de mobilisation des ressources pour le sous secteur de l’éducation.
Très réceptifs aux discours et aux méthodes appropriées à l’apprentissage des personnes âgées servis par les consultants Mor Guèye, Kalidou Macina et Momar Mbaye commis par The Hunger Project soutenu par son partenaire hollandais ICCO, les élus des deux collectivités locales ont décidé de se battre dans leurs conseils respectifs pour doter l’éducation non formelle de moyens.
‘’Il faut donner aux langues nationales la place qu’elles méritent avant de prétendre à tout développement économique, social, culturel, etc.’’, ont plaidé en cœur les différents intervenants à ces ateliers de plaidoyer sur l’éducation non formelle à leur intention.
‘’Notre ambition est de faire de sorte que tous les intervenants dans le sous secteur de l’alphabétisation se réunissent, harmonisent leurs activités et mènent ensemble une campagne de plaidoyer pour sortir l’éducation non formelle du coin dans lequel elle est confinée’’, a soutenu le chargé des programmes à The Hunger Project, Idrissa Ba.
Selon M. Ba, ‘’le souci de valorisation de l’éducation non formelle dans la mise en œuvre de politiques publiques d’éducation et de formation est d’aider les élus, les populations à la base d’être suffisamment outillés, armés pour mieux faire face à leurs missions sans recourir à une quelconque aide d’une tierce personne’’.
‘’L’éducation est une arme par excellence pour le développement durable, a soutenu l’inspecteur de l’enseignement Mor Guèye qui a souhaité que les moyens suivent son transfert aux collectivités locales, les capacités des techniciens en alphabétisation soient renforcées, etc.’’.
L’inspecteur de l’enseignement a aussi souhaité l’amélioration de la stratégie du faire-faire, l’intégration du secteur non formel dans la carte de l’éducation afin de permettre à l’alphabétisation de mieux jouer son rôle dans l’émancipation des communautés.
Le consultant Momar Mbaye a, pour sa part, convaincu les séminaristes sur ‘’la nécessité de maîtriser le domaine de l’éducation non formelle avant d’aller rechercher un financement, d’éviter les imprécisions, les doutes, les généralités et de s’engager sur des incertitudes’’.
‘’En allant chercher un financement chez un fournisseur de ressources, il est impératif de savoir que la personne en face connaît son métier, que ton vis-à-vis attend d’être convaincu et testera votre bonne foi et votre sincérité’’, a indiqué M. Mbaye.
Coordonnateur du programme multi-acteurs d’éducation non formelle qui regroupe 14 partenaires et intervient dans 9 régions, Amadou Mactar Sall a soutenu que sa structure va aider à la capitalisation des acquis des différents projets et ONG intervenant dans le sous secteur pour mener à bien le plaidoyer pour l’augmentation de la modique part (0,3%) de l’alphabétisation dans le budget de l’éducation.
‘’Le programme multi-acteurs d’éducation non formelle veut, par ce biais, réduire les inégalités sociales, participer aux efforts nationaux d’éducation de qualité pour tous, contribuer à la réduction de l’exclusion des couches défavorisées du système éducatif’’, a indiqué M. Sall.
M. Sall a en outre annoncé que son programme entend favoriser l’insertion socio-économique des sortants des écoles communautaires de base.
Il cherche également à ‘’améliorer les capacités techniques et professionnelles des jeunes et des adultes néo-alphabétisés en vue de leur insertion socio-économique et valoriser l’éducation non formelle dans le Programme de développement de l’éducation et de la formation (PDEF).
Les élus de la commune de Dahra et de la communauté rurale de Koki ont désormais un aperçu certain sur les enjeux et les défis de l’éducation non formelle, les filières de formation qualifiante au niveau local, sur les schémas de financement et de mobilisation des ressources pour le sous secteur de l’éducation.
Très réceptifs aux discours et aux méthodes appropriées à l’apprentissage des personnes âgées servis par les consultants Mor Guèye, Kalidou Macina et Momar Mbaye commis par The Hunger Project soutenu par son partenaire hollandais ICCO, les élus des deux collectivités locales ont décidé de se battre dans leurs conseils respectifs pour doter l’éducation non formelle de moyens.
‘’Il faut donner aux langues nationales la place qu’elles méritent avant de prétendre à tout développement économique, social, culturel, etc.’’, ont plaidé en cœur les différents intervenants à ces ateliers de plaidoyer sur l’éducation non formelle à leur intention.
‘’Notre ambition est de faire de sorte que tous les intervenants dans le sous secteur de l’alphabétisation se réunissent, harmonisent leurs activités et mènent ensemble une campagne de plaidoyer pour sortir l’éducation non formelle du coin dans lequel elle est confinée’’, a soutenu le chargé des programmes à The Hunger Project, Idrissa Ba.
Selon M. Ba, ‘’le souci de valorisation de l’éducation non formelle dans la mise en œuvre de politiques publiques d’éducation et de formation est d’aider les élus, les populations à la base d’être suffisamment outillés, armés pour mieux faire face à leurs missions sans recourir à une quelconque aide d’une tierce personne’’.
‘’L’éducation est une arme par excellence pour le développement durable, a soutenu l’inspecteur de l’enseignement Mor Guèye qui a souhaité que les moyens suivent son transfert aux collectivités locales, les capacités des techniciens en alphabétisation soient renforcées, etc.’’.
L’inspecteur de l’enseignement a aussi souhaité l’amélioration de la stratégie du faire-faire, l’intégration du secteur non formel dans la carte de l’éducation afin de permettre à l’alphabétisation de mieux jouer son rôle dans l’émancipation des communautés.
Le consultant Momar Mbaye a, pour sa part, convaincu les séminaristes sur ‘’la nécessité de maîtriser le domaine de l’éducation non formelle avant d’aller rechercher un financement, d’éviter les imprécisions, les doutes, les généralités et de s’engager sur des incertitudes’’.
‘’En allant chercher un financement chez un fournisseur de ressources, il est impératif de savoir que la personne en face connaît son métier, que ton vis-à-vis attend d’être convaincu et testera votre bonne foi et votre sincérité’’, a indiqué M. Mbaye.
Coordonnateur du programme multi-acteurs d’éducation non formelle qui regroupe 14 partenaires et intervient dans 9 régions, Amadou Mactar Sall a soutenu que sa structure va aider à la capitalisation des acquis des différents projets et ONG intervenant dans le sous secteur pour mener à bien le plaidoyer pour l’augmentation de la modique part (0,3%) de l’alphabétisation dans le budget de l’éducation.
‘’Le programme multi-acteurs d’éducation non formelle veut, par ce biais, réduire les inégalités sociales, participer aux efforts nationaux d’éducation de qualité pour tous, contribuer à la réduction de l’exclusion des couches défavorisées du système éducatif’’, a indiqué M. Sall.
M. Sall a en outre annoncé que son programme entend favoriser l’insertion socio-économique des sortants des écoles communautaires de base.
Il cherche également à ‘’améliorer les capacités techniques et professionnelles des jeunes et des adultes néo-alphabétisés en vue de leur insertion socio-économique et valoriser l’éducation non formelle dans le Programme de développement de l’éducation et de la formation (PDEF).