Dakar, 13 avr (APS) – Le magistrat Mandiogou Ndiaye a appelé, mercredi à Dakar, le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les organisations non gouvernementales (ONG) à mener une action conjointe contre la corruption qui "gangrène notre société".
‘’L’expérience a montré que l’action individuelle des diverses parties prenantes, à savoir le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les ONG, n’est pas efficace dans la lutte contre la corruption’’, a dit M. Ndiaye à un atelier du ministère de la Justice sur ‘’les actions collectives dirigées par le secteur privé contre la corruption’’.
‘’Il faut des coalitions pour renforcer et améliorer l’efficacité de la lutte contre ce fléau (la corruption) qui gangrène notre société’’, a ajouté Mandiogou Ndiaye, coordonnateur de la Cellule d’exécution administrative et financière (CEDAF) du ministère de la Justice.
‘’L’action collective contre la corruption, selon diverses modalités expérimentées à travers le monde, a prouvé son efficacité’’, a-t-il indiqué.
‘’L’action publique seule ne suffit pas pour venir à bout d’un mal qui s’est incrusté dans tout le tissu économique et dans les pays du monde’’, a affirmé, dans le sillage de M. Ndiaye, le secrétaire général du ministère de la Justice, El Hadji Mansour Tall.
Selon M. Ndiaye, l’action conjointe ‘’permettra sans nul doute de conférer une meilleure légitimité et une plus grande crédibilité aux décisions qui seront prises’’ par le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les ONG.
La Banque mondiale (BM) soutient le Programme de gouvernance économique (PGE) du gouvernement du Sénégal. Outre le secteur privé, la société civile et les ONG, les institutions ‘’dont la bonne gouvernance est au centre des missions’’ sont associées à ce projet.
Il s’agit de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP), de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), de la Commission nationale de lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion (CNLCC) et de la CEDAF.
ESF/BK
‘’L’expérience a montré que l’action individuelle des diverses parties prenantes, à savoir le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les ONG, n’est pas efficace dans la lutte contre la corruption’’, a dit M. Ndiaye à un atelier du ministère de la Justice sur ‘’les actions collectives dirigées par le secteur privé contre la corruption’’.
‘’Il faut des coalitions pour renforcer et améliorer l’efficacité de la lutte contre ce fléau (la corruption) qui gangrène notre société’’, a ajouté Mandiogou Ndiaye, coordonnateur de la Cellule d’exécution administrative et financière (CEDAF) du ministère de la Justice.
‘’L’action collective contre la corruption, selon diverses modalités expérimentées à travers le monde, a prouvé son efficacité’’, a-t-il indiqué.
‘’L’action publique seule ne suffit pas pour venir à bout d’un mal qui s’est incrusté dans tout le tissu économique et dans les pays du monde’’, a affirmé, dans le sillage de M. Ndiaye, le secrétaire général du ministère de la Justice, El Hadji Mansour Tall.
Selon M. Ndiaye, l’action conjointe ‘’permettra sans nul doute de conférer une meilleure légitimité et une plus grande crédibilité aux décisions qui seront prises’’ par le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les ONG.
La Banque mondiale (BM) soutient le Programme de gouvernance économique (PGE) du gouvernement du Sénégal. Outre le secteur privé, la société civile et les ONG, les institutions ‘’dont la bonne gouvernance est au centre des missions’’ sont associées à ce projet.
Il s’agit de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP), de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), de la Commission nationale de lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion (CNLCC) et de la CEDAF.
ESF/BK