Thiès, 8 fév (APS) - Les acteurs du programme régional de la lutte contre le VIH/Sida ont plaidé, lundi, veulent un renforcement ‘’qualitativement’’ des capacités des prestataires, a affirmé le chargé du programme régional de Thiès.
‘’Sur le plan qualité, il y a des défis qui se posent’’, a dit Malick Ndoye, relevant que sur la sensibilisation, ’’il faudrait que l’on couvre davantage les zones rurales les plus reculées et les plus enclavées’’.
Pour ce qui est de la prise en charge et de la prévention de la transmissionmère-enfant, ‘’nous avons remarqué que les objectifs quantitatifs étaient atteints mais que ceux qualitatifs restent beaucoup à faire’’, a relevé M. Ndoye.
‘’On doit les superviser davantage, de façon beaucoup plus rapprochée pour qu’ils puissent relever ces défis de qualité’’, a suggéré Malick Ndoaye en marge de la réunion d’évaluation du plan régional intégré multisectoriel de l’année 2009 de la lutte contre le VIH/Sida.
Cette réunion, pour lui, est une occasion de présenter les activités réalisées dans le cadre du plan élaboré en janvier 2009 mais aussi de faire le point et de voir les financements mobilisés, les résultats obtenus et d’envisager les perspectives.
Concernant le financement de 2009, il a déclaré que c’est à hauteur de 89% et que ces ressources ont étaient mobilisées grâce aux contributions du Conseil national de lutte contre le sida (CNLS).
‘’C’est à travers les projets comme ceux de la Banque mondiale du Fonds mondial entre autres partenariats que 60% du financement ont été assuré’’ ,a fait savoir le chargé du programme.
Ce financement concerne aussi bien la prévention de la transmission que le suivi et la coordination des activités du programme. ‘’D’autres partenaires ont aussi apporté un appui technique considérable en termes de renforcement de capacité des membres du comité technique restreint’’, a dit Malick Ndoye.
Ce renforcement de capacité est également relatif aux associations de personnes vivant avec le VIH afin qu’elles puissent se positionner par rapport à la mise en œuvre du programme.
‘’Ces personnes doivent être considérées comme des bénéficiaires d’accord mais aussi comme des acteurs potentiels et qualifiés’’, a souhaité Malick Ndoye.
En outre, d’autres partenaires ont signé des accords avec la région médicale et les neuf districts sanitaires. ‘’L’élément nouveau est la contribution des collectivités locales’’, a relevé M. Ndoye.
En ce sens, ‘a-t-il poursuivi, ’’nous avons réalisé trois ateliers départementaux de plaidoyer et de sensibilisation et d’information des élus locaux qui ont élaboré des plans d’action et qui s’engagent à mobiliser leurs ressources pour booster la réponse au niveau communautaire’’.
‘’Nous pensons que si ces quarante collectivités apportent leurs contributions, au niveau communautaire, un saut qualitatif sera enregistré’’, a dit le chargé du programme régional Malick Ndoye.
‘’Sur le plan qualité, il y a des défis qui se posent’’, a dit Malick Ndoye, relevant que sur la sensibilisation, ’’il faudrait que l’on couvre davantage les zones rurales les plus reculées et les plus enclavées’’.
Pour ce qui est de la prise en charge et de la prévention de la transmissionmère-enfant, ‘’nous avons remarqué que les objectifs quantitatifs étaient atteints mais que ceux qualitatifs restent beaucoup à faire’’, a relevé M. Ndoye.
‘’On doit les superviser davantage, de façon beaucoup plus rapprochée pour qu’ils puissent relever ces défis de qualité’’, a suggéré Malick Ndoaye en marge de la réunion d’évaluation du plan régional intégré multisectoriel de l’année 2009 de la lutte contre le VIH/Sida.
Cette réunion, pour lui, est une occasion de présenter les activités réalisées dans le cadre du plan élaboré en janvier 2009 mais aussi de faire le point et de voir les financements mobilisés, les résultats obtenus et d’envisager les perspectives.
Concernant le financement de 2009, il a déclaré que c’est à hauteur de 89% et que ces ressources ont étaient mobilisées grâce aux contributions du Conseil national de lutte contre le sida (CNLS).
‘’C’est à travers les projets comme ceux de la Banque mondiale du Fonds mondial entre autres partenariats que 60% du financement ont été assuré’’ ,a fait savoir le chargé du programme.
Ce financement concerne aussi bien la prévention de la transmission que le suivi et la coordination des activités du programme. ‘’D’autres partenaires ont aussi apporté un appui technique considérable en termes de renforcement de capacité des membres du comité technique restreint’’, a dit Malick Ndoye.
Ce renforcement de capacité est également relatif aux associations de personnes vivant avec le VIH afin qu’elles puissent se positionner par rapport à la mise en œuvre du programme.
‘’Ces personnes doivent être considérées comme des bénéficiaires d’accord mais aussi comme des acteurs potentiels et qualifiés’’, a souhaité Malick Ndoye.
En outre, d’autres partenaires ont signé des accords avec la région médicale et les neuf districts sanitaires. ‘’L’élément nouveau est la contribution des collectivités locales’’, a relevé M. Ndoye.
En ce sens, ‘a-t-il poursuivi, ’’nous avons réalisé trois ateliers départementaux de plaidoyer et de sensibilisation et d’information des élus locaux qui ont élaboré des plans d’action et qui s’engagent à mobiliser leurs ressources pour booster la réponse au niveau communautaire’’.
‘’Nous pensons que si ces quarante collectivités apportent leurs contributions, au niveau communautaire, un saut qualitatif sera enregistré’’, a dit le chargé du programme régional Malick Ndoye.