Le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne a présidé hier, lundi 14 novembre, la cérémonie d’ouverture du 5e Forum sur le Développement Industriel inclusif et durable (Diid)), co-organisé par le Sénégal et l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (Onudi). Au cours de cette rencontre, il a fait remarquer que l’Industrie est un moteur privilégié d’accélération de la croissance et de création d’emplois
«Elément important dans la transformation de la structure de l’économie, l’Industrie est un moteur privilégié d’accélération de la croissance et de création d’emplois ». Ces propos sont du Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne. Il présidait hier, lundi 14 novembre, la cérémonie d’ouverture du 5e forum pour le développement industriel inclusif et durable (Diid) A cet égard, ajoute-t-il, elle constitue une réponse adéquate à la lutte contre la pauvreté.
Le chef du gouvernement déclare que l’Afrique est un continent extrêmement riche en ressources naturelles. A l’en croire, au moment où le taux de pauvreté du continent est estimé à 35,2%, l’Afrique possède environ 16,5 % des terres arables mondiales, pour 16 % de la population ; 97% des réserves mondiales de cuivre ; 57% des réserves d’or ; 20% de celles de fer et de cuivre ; 23% de celles d’uranium et phosphates ; 14% de celles de pétrole.
A son avis, une valorisation de ces ressources, leur bonne gouvernance et leur redistribution équitables suffiraient à éloigner le spectre du chômage pour les jeunes et celui de la précarité pour nos populations. « Le potentiel de l’Afrique justifie aujourd’hui toutes les attentes en matière de renouveau industriel du continent », soutient-il.
Toutefois, le Premier Ministre relève que l’Afrique fait face aujourd’hui à de grands défis. «Ce qui est en jeu, c’est l’avenir de milliers de jeunes qui doivent trouver des opportunités d’emplois et contribuer au développement de leurs pays. Ce qui est aussi en jeu, c’est de soustraire nos pays de situations de vulnérabilité, résultant de leur confinement dans l’exportation de produits primaires dont ils n’ont aucun contrôle sur les prix et de leur forte dépendance de biens et services provenant de l’extérieur et fabriqués à partir de leurs propres ressources. Ce qui est en jeu c’est l’opportunité que nous avons de libérer toutes les énergies pour rehausser suffisamment nos capacités productives afin de satisfaire nos propres besoins et aller à la conquête des marchés extérieurs. Nous avons l’opportunité de relever ces défis, nous devons nous en donner tous les moyens », indique-t-il.
Sud quotidien
«Elément important dans la transformation de la structure de l’économie, l’Industrie est un moteur privilégié d’accélération de la croissance et de création d’emplois ». Ces propos sont du Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne. Il présidait hier, lundi 14 novembre, la cérémonie d’ouverture du 5e forum pour le développement industriel inclusif et durable (Diid) A cet égard, ajoute-t-il, elle constitue une réponse adéquate à la lutte contre la pauvreté.
Le chef du gouvernement déclare que l’Afrique est un continent extrêmement riche en ressources naturelles. A l’en croire, au moment où le taux de pauvreté du continent est estimé à 35,2%, l’Afrique possède environ 16,5 % des terres arables mondiales, pour 16 % de la population ; 97% des réserves mondiales de cuivre ; 57% des réserves d’or ; 20% de celles de fer et de cuivre ; 23% de celles d’uranium et phosphates ; 14% de celles de pétrole.
A son avis, une valorisation de ces ressources, leur bonne gouvernance et leur redistribution équitables suffiraient à éloigner le spectre du chômage pour les jeunes et celui de la précarité pour nos populations. « Le potentiel de l’Afrique justifie aujourd’hui toutes les attentes en matière de renouveau industriel du continent », soutient-il.
Toutefois, le Premier Ministre relève que l’Afrique fait face aujourd’hui à de grands défis. «Ce qui est en jeu, c’est l’avenir de milliers de jeunes qui doivent trouver des opportunités d’emplois et contribuer au développement de leurs pays. Ce qui est aussi en jeu, c’est de soustraire nos pays de situations de vulnérabilité, résultant de leur confinement dans l’exportation de produits primaires dont ils n’ont aucun contrôle sur les prix et de leur forte dépendance de biens et services provenant de l’extérieur et fabriqués à partir de leurs propres ressources. Ce qui est en jeu c’est l’opportunité que nous avons de libérer toutes les énergies pour rehausser suffisamment nos capacités productives afin de satisfaire nos propres besoins et aller à la conquête des marchés extérieurs. Nous avons l’opportunité de relever ces défis, nous devons nous en donner tous les moyens », indique-t-il.
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