Après un an entre Thiès, Kaolack, Fatick, Sen finances a choisi Podor comme porte d’entrée dans la région de Saint-Louis. La Fondation injecte ainsi 1,9 milliard FCfa au profit des Systèmes financiers décentralisés.
La Fondation Sen Finances était, le week-end dernier, dans le département de Podor pour une vulgarisation « des ses méthodes de travail et aider les bénéficiaires des différentes structures avec lesquelles elle compte travailler à rehausser leur niveau technique ». Créé dans le cadre d’une « accord de réduction de dette signé le 4 juillet 1994 entre les gouvernements suisse et sénégalais », le fonds de contrepartie sénégalo-suisse fut l’un des douze fonds issus du programme suisse de désendettement créatif. Il était d’un montant total de 1,9 milliard de nos francs destinés aux systèmes financiers décentralisés (Sfd) et à la promotion de la micro finance au Sénégal. Par le biais de la fondation, il compte poursuivre l’action de développement financier par le renforcement de l’accès au crédit.
Selon M. Lamine Fall, consultant chargé de la communication, en dépit d’une présence depuis 1994, la fondation n’avait pas encore été dans le nord du pays. Selon le chef de la délégation, M. Soueïbou Guèye, après leur tournée à travers les régions de Thiès, Kaolack, Fatick, depuis un an, ils arrivent dans le nord pour poursuivre « cette démarche de vulgarisation de la fondation ». La délégation de Sen Finances était accompagnée d’un autre partenaire français Pamigas, qui serait venu lui aussi « identifier les besoins locaux pour un appui institutionnel », note M. Fall. Dans la région de Saint-Louis, un important projet sera ficelé entre les deux structures pour une meilleure réponse aux populations de la zone nord. Ils entendent ainsi « rehausser » le niveau technique des futurs bénéficiaires, nombreux dans la salle du Centre de formation technique féminin de Podor. Il a conclu que le choix porté sur le département de Podor « se justifie pour compléter la couverture nationale ». Le deuxième adjoint au maire de Podor, M. Samba Ndiaye, a quant à lui parlé au nom de Me Aïssata Tall Sall. Il a souhaité en leur nom la bienvenue aux membres de la fondation et a montré toute sa disponibilité « pour asseoir une bonne politique de partenariat » avec eux. Le préfet adjoint de Podor a présidé la rencontre.
Amadou D. NIANG
Le Soleil
La Fondation Sen Finances était, le week-end dernier, dans le département de Podor pour une vulgarisation « des ses méthodes de travail et aider les bénéficiaires des différentes structures avec lesquelles elle compte travailler à rehausser leur niveau technique ». Créé dans le cadre d’une « accord de réduction de dette signé le 4 juillet 1994 entre les gouvernements suisse et sénégalais », le fonds de contrepartie sénégalo-suisse fut l’un des douze fonds issus du programme suisse de désendettement créatif. Il était d’un montant total de 1,9 milliard de nos francs destinés aux systèmes financiers décentralisés (Sfd) et à la promotion de la micro finance au Sénégal. Par le biais de la fondation, il compte poursuivre l’action de développement financier par le renforcement de l’accès au crédit.
Selon M. Lamine Fall, consultant chargé de la communication, en dépit d’une présence depuis 1994, la fondation n’avait pas encore été dans le nord du pays. Selon le chef de la délégation, M. Soueïbou Guèye, après leur tournée à travers les régions de Thiès, Kaolack, Fatick, depuis un an, ils arrivent dans le nord pour poursuivre « cette démarche de vulgarisation de la fondation ». La délégation de Sen Finances était accompagnée d’un autre partenaire français Pamigas, qui serait venu lui aussi « identifier les besoins locaux pour un appui institutionnel », note M. Fall. Dans la région de Saint-Louis, un important projet sera ficelé entre les deux structures pour une meilleure réponse aux populations de la zone nord. Ils entendent ainsi « rehausser » le niveau technique des futurs bénéficiaires, nombreux dans la salle du Centre de formation technique féminin de Podor. Il a conclu que le choix porté sur le département de Podor « se justifie pour compléter la couverture nationale ». Le deuxième adjoint au maire de Podor, M. Samba Ndiaye, a quant à lui parlé au nom de Me Aïssata Tall Sall. Il a souhaité en leur nom la bienvenue aux membres de la fondation et a montré toute sa disponibilité « pour asseoir une bonne politique de partenariat » avec eux. Le préfet adjoint de Podor a présidé la rencontre.
Amadou D. NIANG
Le Soleil