Le ministre délégué chargé de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration, Abdeladim El Guerrouj a passé en revue, mardi à Dubaï, l'expérience marocaine en matière de renforcement du principe de la bonne gouvernance dans la gestion des politiques publiques.
Dans une intervention dans le cadre d'une conférence-débat réunissant notamment des ministres autour du thème «la gouvernance publique, un levier de développement durable», El Guerrouj a souligné que le Royaume a œuvré pour la consolidation de la bonne gouvernance dans la mise en œuvre des politiques publiques, en vue d'optimiser les services des institutions publiques en général et de l'administration en particulier et partant contribuer à relever les défis du développement global et durable.
Lors de cette rencontre tenue dans le cadre du premier sommet gouvernemental qui s'est ouvert lundi avec la participation de 120 Etats, dont le Maroc, El Guerrouj a relevé que l'adoption d'une bonne gouvernance dans la gestion publique a permis, entre autres, de renforcer la compétitivité de l'économie nationale, d'attirer davantage d'investissements étrangers, de promouvoir l'entreprenariat, de consolider les programmes nationaux de développement et de créer des activités génératrices de revenus.
La dynamique des réformes politiques et économiques à laquelle a adhéré le Maroc, a ajouté le ministre, a contribué à la réalisation d'acquis importants dont la création de l'Instance Centrale de Prévention de la Corruption, du Conseil de la concurrence, du Conseil économique, social et environnemental et des tribunaux financiers, la réforme de la réglementation des marchés publics et l'interdiction de cumul d'activités pour les fonctionnaires.
S'agissant de la modernisation de l'administration, M. El Guerrouj a rappelé que le Royaume a lancé plusieurs initiatives visant à améliorer le rendement et les services, dans le souci de valoriser le capital humain, de réactiver les lois relatives à l'administration et de promouvoir la déconcentration.
La conférence-débat a été également marquée par d'autres exposés dans lesquels les participants ont fait le tour d'horizon de l'expérience de leurs pays respectifs en matière de gouvernance publique, de qualification de l'élément humain et de mise en oeuvre des programmes gouvernementaux y afférents.
Le premier sommet gouvernemental, placé sous le thème «le leadership dans le domaine des services gouvernementaux», s'est penché sur l'examen des stratégies relatives au développement de l'action gouvernementale, ainsi que sur les derniers développements et tendances internationales en matière d'amélioration de la qualité des prestations des administrations et établissements publics.
Le sommet représente, selon le gouvernement de Dubaï, une occasion pour exposer les idées et les expertises visant à dynamiser les systèmes de gestion gouvernementale à travers le monde et une plate-forme pour découvrir les meilleures expériences et pratiques efficientes susceptibles d'améliorer les services administratifs et de répondre aux attentes des usagers du service public.
Au menu de ce sommet figuraient plusieurs thèmes relatifs à l'amélioration des services gouvernementaux, la consolidation des efforts nationaux pour optimiser le rendement des administrations, l'amélioration de la qualité des services publics, l'adoption de la notion de la créativité de même que des nouvelles mesures de gestion outre la participation du secteur privé pour l'amélioration du rendement des institutions gouvernementales.
Des conférences-débats et ateliers ont été organisés pour discuter notamment de la modernisation de l'administration publique, de la simplification des procédures administratives et de l'adoption de la bonne gouvernance dans la gestion du service public.
http://www.lematin.ma/
Dans une intervention dans le cadre d'une conférence-débat réunissant notamment des ministres autour du thème «la gouvernance publique, un levier de développement durable», El Guerrouj a souligné que le Royaume a œuvré pour la consolidation de la bonne gouvernance dans la mise en œuvre des politiques publiques, en vue d'optimiser les services des institutions publiques en général et de l'administration en particulier et partant contribuer à relever les défis du développement global et durable.
Lors de cette rencontre tenue dans le cadre du premier sommet gouvernemental qui s'est ouvert lundi avec la participation de 120 Etats, dont le Maroc, El Guerrouj a relevé que l'adoption d'une bonne gouvernance dans la gestion publique a permis, entre autres, de renforcer la compétitivité de l'économie nationale, d'attirer davantage d'investissements étrangers, de promouvoir l'entreprenariat, de consolider les programmes nationaux de développement et de créer des activités génératrices de revenus.
La dynamique des réformes politiques et économiques à laquelle a adhéré le Maroc, a ajouté le ministre, a contribué à la réalisation d'acquis importants dont la création de l'Instance Centrale de Prévention de la Corruption, du Conseil de la concurrence, du Conseil économique, social et environnemental et des tribunaux financiers, la réforme de la réglementation des marchés publics et l'interdiction de cumul d'activités pour les fonctionnaires.
S'agissant de la modernisation de l'administration, M. El Guerrouj a rappelé que le Royaume a lancé plusieurs initiatives visant à améliorer le rendement et les services, dans le souci de valoriser le capital humain, de réactiver les lois relatives à l'administration et de promouvoir la déconcentration.
La conférence-débat a été également marquée par d'autres exposés dans lesquels les participants ont fait le tour d'horizon de l'expérience de leurs pays respectifs en matière de gouvernance publique, de qualification de l'élément humain et de mise en oeuvre des programmes gouvernementaux y afférents.
Le premier sommet gouvernemental, placé sous le thème «le leadership dans le domaine des services gouvernementaux», s'est penché sur l'examen des stratégies relatives au développement de l'action gouvernementale, ainsi que sur les derniers développements et tendances internationales en matière d'amélioration de la qualité des prestations des administrations et établissements publics.
Le sommet représente, selon le gouvernement de Dubaï, une occasion pour exposer les idées et les expertises visant à dynamiser les systèmes de gestion gouvernementale à travers le monde et une plate-forme pour découvrir les meilleures expériences et pratiques efficientes susceptibles d'améliorer les services administratifs et de répondre aux attentes des usagers du service public.
Au menu de ce sommet figuraient plusieurs thèmes relatifs à l'amélioration des services gouvernementaux, la consolidation des efforts nationaux pour optimiser le rendement des administrations, l'amélioration de la qualité des services publics, l'adoption de la notion de la créativité de même que des nouvelles mesures de gestion outre la participation du secteur privé pour l'amélioration du rendement des institutions gouvernementales.
Des conférences-débats et ateliers ont été organisés pour discuter notamment de la modernisation de l'administration publique, de la simplification des procédures administratives et de l'adoption de la bonne gouvernance dans la gestion du service public.
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