Dakar, 12 mars (APS) - La mondialisation doit amener les pays africains à travailler pour le développement de la science et de la technologie sur le continent, malgré les faibles moyens alloués à ce secteur en Afrique, a plaidé, mardi à Dakar, le ministre sénégalais de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, le professeur Mary Teuw Niane.
"La mondialisation de la science et de la technologie doit nous pousser à favoriser (le développement de ces deux domaines) sur notre continent et ceci, malgré la faiblesse de nos moyens", a-t-il déclaré.
Mary Teuw Niane présidait la cérémonie officielle d'ouverture d'un atelier international consacré à une meilleure gouvernance de la Science, de la technologie et de l'innovation en Afrique (SIT).
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, les Africains ont l'obligation de faire du savoir, de l'information et de la maîtrise des technologies, les piliers du développement.
Il a assuré que les Africains ont les capacités de relever les difficultés auxquelles ils sont confrontés dans ce secteur, citant entre autres écueils "la faiblesse productivité scientifique", "une inadéquation, un manque de synergie et une fragmentation des programmes de recherche". S’y ajoute le fait que les laboratoires sont "peu ou mal équipés",
Pour ce faire, la gouvernance du secteur doit être améliorée, selon l’ancien recteur de l’université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis. Il a également suggéré, entre autres mesures, "l'amélioration de la gouvernance", "la production de données et d'indicateurs fiables", le "regroupement des programmes STI dans un système national unique", "l'amélioration des infrastructures".
"En effet, a souligné le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, la maîtrise du développement économique et social de toute nation requiert la mise en place d'un système de recherche scientifique, technologique et d'innovation performant".
Aussi, dans ce contexte de globalisation, le continent africain ne doit plus se contenter d'être "silencieux dans les grands débats scientifiques", a ajouté Mary Teuw Niane.
BHC/BK
"La mondialisation de la science et de la technologie doit nous pousser à favoriser (le développement de ces deux domaines) sur notre continent et ceci, malgré la faiblesse de nos moyens", a-t-il déclaré.
Mary Teuw Niane présidait la cérémonie officielle d'ouverture d'un atelier international consacré à une meilleure gouvernance de la Science, de la technologie et de l'innovation en Afrique (SIT).
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, les Africains ont l'obligation de faire du savoir, de l'information et de la maîtrise des technologies, les piliers du développement.
Il a assuré que les Africains ont les capacités de relever les difficultés auxquelles ils sont confrontés dans ce secteur, citant entre autres écueils "la faiblesse productivité scientifique", "une inadéquation, un manque de synergie et une fragmentation des programmes de recherche". S’y ajoute le fait que les laboratoires sont "peu ou mal équipés",
Pour ce faire, la gouvernance du secteur doit être améliorée, selon l’ancien recteur de l’université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis. Il a également suggéré, entre autres mesures, "l'amélioration de la gouvernance", "la production de données et d'indicateurs fiables", le "regroupement des programmes STI dans un système national unique", "l'amélioration des infrastructures".
"En effet, a souligné le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, la maîtrise du développement économique et social de toute nation requiert la mise en place d'un système de recherche scientifique, technologique et d'innovation performant".
Aussi, dans ce contexte de globalisation, le continent africain ne doit plus se contenter d'être "silencieux dans les grands débats scientifiques", a ajouté Mary Teuw Niane.
BHC/BK