PLANIFICATION FAMILIALE ET DÉVELOPPEMENT A THIES : Le modèle « Rapid » présenté aux acteurs
Le modèle « Rapid » (Ressource pour l’analyse de la population et de son impact) vient d’être présenté aux différents acteurs à Thiès. La rencontre, tenue à la gouvernance, était présidée de l’adjoint au gouverneur chargé des affaires administratives, Birahim Ndiaye.
Le modèle « Rapid » est dans la feuille de route du ministère de la Santé dans le cadre de la planification familiale. Il doit contribuer à l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (Omd). En présentant le document, Alé Diop, un consultant, a fait savoir que « c’est un outil permettant une analyse de l’impact de la croissance démographique sur un certain nombre de secteurs comme l’économie, l’emploi, l’urbanisation, l’éducation, la santé et l’environnement ». Selon lui, c’est simplement pour mesurer la croissance démographique et ses effets sur ces différents secteurs énumérés.
La conviction de Alé Diop est que la planification familiale est une excellente chose qu’il convient de traduire au niveau familial, en faisant en sorte que la famille qui s’installe puisse avoir des objectifs à atteindre en matière de procréation. Selon lui, les couples, pour bien vivre, doivent discuter sur le nombre d’enfants à avoir, sur les moyens de les mettre à l’aise, sur la meilleure qualité en fonction des moyens disponibles.
Et Alé Diop de lever l’équivoque de la controverse autour de cette planification familiale : « il ne s’agit plus de dire qu’il faut laisser les gens librement faire le nombre d’enfant qu’ils veulent. Car il y a la santé de la mère à préserver pour au moins minimiser les coûts des maternités qui deviennent de plus en plus insupportables ». Rappelons que Alé Diop est consultant au Centre régional de formation et de recherche en santé de la reproduction (Crforep) chargé de faire la dissémination du model « Rapid » à travers certaines régions dont Thiès.
Mohamadou SAGNE
Le Soleil
Le modèle « Rapid » est dans la feuille de route du ministère de la Santé dans le cadre de la planification familiale. Il doit contribuer à l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (Omd). En présentant le document, Alé Diop, un consultant, a fait savoir que « c’est un outil permettant une analyse de l’impact de la croissance démographique sur un certain nombre de secteurs comme l’économie, l’emploi, l’urbanisation, l’éducation, la santé et l’environnement ». Selon lui, c’est simplement pour mesurer la croissance démographique et ses effets sur ces différents secteurs énumérés.
La conviction de Alé Diop est que la planification familiale est une excellente chose qu’il convient de traduire au niveau familial, en faisant en sorte que la famille qui s’installe puisse avoir des objectifs à atteindre en matière de procréation. Selon lui, les couples, pour bien vivre, doivent discuter sur le nombre d’enfants à avoir, sur les moyens de les mettre à l’aise, sur la meilleure qualité en fonction des moyens disponibles.
Et Alé Diop de lever l’équivoque de la controverse autour de cette planification familiale : « il ne s’agit plus de dire qu’il faut laisser les gens librement faire le nombre d’enfant qu’ils veulent. Car il y a la santé de la mère à préserver pour au moins minimiser les coûts des maternités qui deviennent de plus en plus insupportables ». Rappelons que Alé Diop est consultant au Centre régional de formation et de recherche en santé de la reproduction (Crforep) chargé de faire la dissémination du model « Rapid » à travers certaines régions dont Thiès.
Mohamadou SAGNE
Le Soleil
