Les élus locaux ont tenu, ce mercredi 26 mai 2010, une journée d’échanges avec les acteurs de la Santé sur les Objectifs du millénaire pour le développement.
Les maires, les conseillers ruraux, les Présidents de conseil rural (Pcr) venus des différentes régions du pays ont échangé sur la Planification familiale, considérée comme un moyen pour l’atteinte des Omd. Ils comptent jouer leur partition pour l’augmentation du taux d’utilisation des méthodes contraceptives pour l’atteinte des Omd 4 et 5 relatifs à la mortalité maternelle et néonatale. Il s’agit de sensibiliser les communautés sur la Planification familiale, mais aussi d’accompagner les structures sanitaires pour une meilleure prise en charge des grossesses et accouchements.
El Hadji Malick Diop, maire de Tivaouane et vice-président de l’Association des maires du Sénégal (Ams) a indiqué que « les élus locaux veulent porter le plaidoyer et mettre 15% de nos budgets à la santé des populations ».
Le taux de prévalence contraceptive estimé au Sénégal à 10,3%, est jugé faible. « Nous allons sensibiliser les populations sur l’utilisation des méthodes contraceptives qui est un moyen de réduire les décès maternels et néonatals », affirme M. Diop.
Les régions de Kolda, Matam et Tambacounda sont les plus concernées par la mortalité maternelle. Les élus prévoient une descente sur le terrain.
« Nos cibles principales sont les régions périphériques pour freiner le fort taux de mortalité qui impacte négativement sur la santé des populations », déclare le maire de Tivaouane.
Fatoumata Tall, représentante de l’Oms, explique que « le modèle rapide est un outil de plaidoyer pour conscientiser les populations sur la Planification familiale et l’engagement des élus locaux. Il est aussi un moyen efficace pour sensibiliser les populations sur la Planification familiale ». Pour elle, pour l’amélioration des services de santé maternelle et la Planification familiale, il faut que les élus locaux soient très bien informés pour pouvoir prendre en charge les préoccupations des populations en la matière (...).
« Des morts sont toujours enregistrés, donc il faut convaincre les femmes à utiliser les méthodes contraceptives », dit-elle.
Codou DIAGNE (Stagiaire)
Le Soleil
Les maires, les conseillers ruraux, les Présidents de conseil rural (Pcr) venus des différentes régions du pays ont échangé sur la Planification familiale, considérée comme un moyen pour l’atteinte des Omd. Ils comptent jouer leur partition pour l’augmentation du taux d’utilisation des méthodes contraceptives pour l’atteinte des Omd 4 et 5 relatifs à la mortalité maternelle et néonatale. Il s’agit de sensibiliser les communautés sur la Planification familiale, mais aussi d’accompagner les structures sanitaires pour une meilleure prise en charge des grossesses et accouchements.
El Hadji Malick Diop, maire de Tivaouane et vice-président de l’Association des maires du Sénégal (Ams) a indiqué que « les élus locaux veulent porter le plaidoyer et mettre 15% de nos budgets à la santé des populations ».
Le taux de prévalence contraceptive estimé au Sénégal à 10,3%, est jugé faible. « Nous allons sensibiliser les populations sur l’utilisation des méthodes contraceptives qui est un moyen de réduire les décès maternels et néonatals », affirme M. Diop.
Les régions de Kolda, Matam et Tambacounda sont les plus concernées par la mortalité maternelle. Les élus prévoient une descente sur le terrain.
« Nos cibles principales sont les régions périphériques pour freiner le fort taux de mortalité qui impacte négativement sur la santé des populations », déclare le maire de Tivaouane.
Fatoumata Tall, représentante de l’Oms, explique que « le modèle rapide est un outil de plaidoyer pour conscientiser les populations sur la Planification familiale et l’engagement des élus locaux. Il est aussi un moyen efficace pour sensibiliser les populations sur la Planification familiale ». Pour elle, pour l’amélioration des services de santé maternelle et la Planification familiale, il faut que les élus locaux soient très bien informés pour pouvoir prendre en charge les préoccupations des populations en la matière (...).
« Des morts sont toujours enregistrés, donc il faut convaincre les femmes à utiliser les méthodes contraceptives », dit-elle.
Codou DIAGNE (Stagiaire)
Le Soleil