Dakar, 30 mars (APS) - La France a accordé une subvention de 40 millions d’euros, soit 26 milliards de francs Cfa CFA, à l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), pour le financement de son Programme économique régional (PER), a-t-on appris du service de communication de l’Union.
Le président de la Commission de l’UEMOA, Cheikhe Hadjibou Soumaré, l’ambassadeur de France au Burkina Faso, Emmanuel Beth et le Directeur-adjoint du Département Afrique de l’Agence Française de Développement, Robert Moulie ont procédé, jeudi, à la signature de la convention accordant cette subvention, selon un communiqué transmis samedi à l’APS.
Depuis son lancement en 2005, la France a soutenu la mise en œuvre de nombreux projets et programmes intégrateurs du PER, souligne la même source.
Le communiqué indiqu’avec la signature de la présente convention, ‘’le montant total de l’aide française allouée à la Commission de l’UEMOA dans le cadre du PER représente plus de 180 millions d’euros, soit plus de 118 milliards de FCFA’’.
‘’Tenant compte des réalisations acquises en matière d’intégration sous-régionale et d’amélioration du bien-être des populations de l’espace UEMOA, la France concrétise aujourd’hui la poursuite de son appui à la seconde phase du PER, qui couvre la période 2012/2016’’, mentionne le texte.
Cette seconde phase, ‘’traduit, en termes opérationnels, de nouvelles priorités de l’UEMOA, notamment en ce qui concerne l’énergie durable, la sécurité alimentaire, les transports ou encore l’enseignement supérieur et l’application au niveau national du corpus réglementaire communautaire’’.
Selon le communiqué, ‘’cette nouvelle contribution permettra, entre autres, de financer - à hauteur de 10 milliards de francs CFA - des programmes pour la sécurité alimentaire, qui seront cofinancés par des dons de la Commission de l’UEMOA et des prêts de la BOAD’’.
Elle financera, ‘’notamment, la réalisation d’études techniques routières et ferroviaires, en vue d’une expansion des réseaux de transport sous-régionaux, ainsi que l’extension du programme d’appui et de développement des Centres d’excellence régionaux d’enseignement supérieur, outil essentiel à l’émergence de pôles de compétence pouvant rayonner à l’international’’, explique t-on.
L’appui financier de la France a aussi servi au renforcement des capacités de la Commission, de la Cour de Justice et de la Cour des Comptes de l’Union, rappelle le communiqué.
OID
Le président de la Commission de l’UEMOA, Cheikhe Hadjibou Soumaré, l’ambassadeur de France au Burkina Faso, Emmanuel Beth et le Directeur-adjoint du Département Afrique de l’Agence Française de Développement, Robert Moulie ont procédé, jeudi, à la signature de la convention accordant cette subvention, selon un communiqué transmis samedi à l’APS.
Depuis son lancement en 2005, la France a soutenu la mise en œuvre de nombreux projets et programmes intégrateurs du PER, souligne la même source.
Le communiqué indiqu’avec la signature de la présente convention, ‘’le montant total de l’aide française allouée à la Commission de l’UEMOA dans le cadre du PER représente plus de 180 millions d’euros, soit plus de 118 milliards de FCFA’’.
‘’Tenant compte des réalisations acquises en matière d’intégration sous-régionale et d’amélioration du bien-être des populations de l’espace UEMOA, la France concrétise aujourd’hui la poursuite de son appui à la seconde phase du PER, qui couvre la période 2012/2016’’, mentionne le texte.
Cette seconde phase, ‘’traduit, en termes opérationnels, de nouvelles priorités de l’UEMOA, notamment en ce qui concerne l’énergie durable, la sécurité alimentaire, les transports ou encore l’enseignement supérieur et l’application au niveau national du corpus réglementaire communautaire’’.
Selon le communiqué, ‘’cette nouvelle contribution permettra, entre autres, de financer - à hauteur de 10 milliards de francs CFA - des programmes pour la sécurité alimentaire, qui seront cofinancés par des dons de la Commission de l’UEMOA et des prêts de la BOAD’’.
Elle financera, ‘’notamment, la réalisation d’études techniques routières et ferroviaires, en vue d’une expansion des réseaux de transport sous-régionaux, ainsi que l’extension du programme d’appui et de développement des Centres d’excellence régionaux d’enseignement supérieur, outil essentiel à l’émergence de pôles de compétence pouvant rayonner à l’international’’, explique t-on.
L’appui financier de la France a aussi servi au renforcement des capacités de la Commission, de la Cour de Justice et de la Cour des Comptes de l’Union, rappelle le communiqué.
OID