Pikine, 14 fév (APS) - La participation de la communauté éducative à la mise en œuvre du Projet d’alphabétisation des jeunes filles et des femmes (PAJEF) lancé en 2012 lui a permis de connaître des succès, a déclaré, jeudi à Pikine (banlieue de Dakar), la directrice générale de l'Unesco, Irina Bokova.
"Je savais que le PAJEF, financé par l’Unesco et Procter and Gamble, connaissait un réel succès au niveau national et international. Aujourd’hui, je vois que le secret du Sénégal est dans l’implication de toute la communauté éducative" dans la mise en œuvre du projet, a dit Mme Bokova.
Elle a signalé que cette implication est même allée "au-delà des canaux administratifs classiques de gestion des questions d’éducation", divers acteurs de la communauté éducative ayant participé à la mise en œuvre du projet.
Mme Bokova visitait la ville de Pikine, où est mis en œuvre ce projet financé par l’Unesco et la multinationale Procter et Gamble.
L'objectif du PAJEF est d’alphabétiser 40 mille femmes et jeunes filles dans sept régions du Sénégal. Plus de 250 classes d’alphabétisation ont été ouvertes dans de nombreux villages et les apprenants utilisent des téléphones portables et Internet pour acquérir des compétences, selon les promoteurs du projet.
"Le ministère de l’Éducation nationale [du Sénégal] a réussi ici un coup de maître avec la responsabilisation des acteurs [...]", a signalé la directrice générale de l'Unesco qui avait à ses côtés des élus locaux, des notables et des maîtres coraniques de la ville de Pikine.
"J’ai entendu et apprécié tous les messages. Je peux vous assurer que mes collègues présents ici ont pris bonne note", a-t-elle dit au maire de Pikine, Pape Sagna Mbaye, qui souhaite que le PAJEF soit davantage accompagné par l'Unesco.
Irina Bokova a déclaré avoir demandé au bureau de l'Unesco à Dakar de "se rapprocher des autorités [sénégalaises], afin que les préoccupations exposées par le maire de la ville [de Pikine] trouvent une place importante dans la stratégie d’accompagnement du Sénégal" par l’institution onusienne.
SG/ESF
"Je savais que le PAJEF, financé par l’Unesco et Procter and Gamble, connaissait un réel succès au niveau national et international. Aujourd’hui, je vois que le secret du Sénégal est dans l’implication de toute la communauté éducative" dans la mise en œuvre du projet, a dit Mme Bokova.
Elle a signalé que cette implication est même allée "au-delà des canaux administratifs classiques de gestion des questions d’éducation", divers acteurs de la communauté éducative ayant participé à la mise en œuvre du projet.
Mme Bokova visitait la ville de Pikine, où est mis en œuvre ce projet financé par l’Unesco et la multinationale Procter et Gamble.
L'objectif du PAJEF est d’alphabétiser 40 mille femmes et jeunes filles dans sept régions du Sénégal. Plus de 250 classes d’alphabétisation ont été ouvertes dans de nombreux villages et les apprenants utilisent des téléphones portables et Internet pour acquérir des compétences, selon les promoteurs du projet.
"Le ministère de l’Éducation nationale [du Sénégal] a réussi ici un coup de maître avec la responsabilisation des acteurs [...]", a signalé la directrice générale de l'Unesco qui avait à ses côtés des élus locaux, des notables et des maîtres coraniques de la ville de Pikine.
"J’ai entendu et apprécié tous les messages. Je peux vous assurer que mes collègues présents ici ont pris bonne note", a-t-elle dit au maire de Pikine, Pape Sagna Mbaye, qui souhaite que le PAJEF soit davantage accompagné par l'Unesco.
Irina Bokova a déclaré avoir demandé au bureau de l'Unesco à Dakar de "se rapprocher des autorités [sénégalaises], afin que les préoccupations exposées par le maire de la ville [de Pikine] trouvent une place importante dans la stratégie d’accompagnement du Sénégal" par l’institution onusienne.
SG/ESF