Louga, 22 août (APS) – Le directeur général de l’Office national du Lac de Guiers (OLAG) Birane Ndiaye a invité, lundi dans la région de Louga (nord), les riverains de ce cours d’eau à se constituer en groupement d’intérêt communautaire, afin d’en tirer profit au mieux.
‘’L’Office du Lac de Guiers ne peut pas résoudre tous les problèmes. Les communautés rurales riveraines du Lac de Guiers doivent se constituer en groupement d’intérêt communautaire pour par exemple pousser l’Etat à réaliser les travaux nécessaires au dragage de l’eau du lac dans le Bas-Ferlo’’, a suggéré M. Ndiaye.
Il participait à une réunion sur la gestion dudit lac, en présence de représentants des populations de Keur Momar Sarr, Sier et Nguer Malal, localités situées au bord du Lac de Guiers.
A Keur Momar Sarr et Sier, les populations n’ont pas d’eau potable, alors que la plus grande partie de l’eau consommée à Dakar et dans d’autres grandes villes du pays provient du lac. Les habitants de Nguer Malal rêvent de tirer profit du Bas-Ferlo, qu’abrite leur communauté rurale.
‘’Une fois que le groupement communautaire sera installé, avec un projet bien détaillé présenté au chef de l’Etat pour approbation, il n’y aura aucune raison pour que l’Etat ne réalise pas les travaux nécessaires’’, a assuré M. Ndiaye.
‘’Le rôle de l’OLAG est d’assurer le développement par l’eau, de l’ensemble des terroirs riverains du lac et des usagers. Cela demande beaucoup de moyens, mais nous devons y arriver, grâce aux financements de l’Etat et des partenaires’’, a souligné Birane Ndiaye.
Il a émis l’idée de faire payer des redevances à l’ensemble des usagers du lac, conformément au décret de mise en place de l’OLAG. ‘’Ce serait normal, mais il faut au préalable discuter avec tous les acteurs. Il est évident qu’il ne faudrait pas demander aux populations, qui font de l’agriculture de subsistance, de payer des redevances’’, a-t-il indiqué.
‘’La gestion du Lac de Guiers est complexe. C’est un espace où se rencontrent plusieurs usagers à objectifs souvent contradictoires. Notre objectif est d’assurer une eau de qualité à tous ces acteurs’’, a encore dit M. Ndiaye à des journalistes.
Des représentants de l’ensemble des structures concernées par la gestion du cours d’eau ont pris part à la réunion.
AKS/ESF
‘’L’Office du Lac de Guiers ne peut pas résoudre tous les problèmes. Les communautés rurales riveraines du Lac de Guiers doivent se constituer en groupement d’intérêt communautaire pour par exemple pousser l’Etat à réaliser les travaux nécessaires au dragage de l’eau du lac dans le Bas-Ferlo’’, a suggéré M. Ndiaye.
Il participait à une réunion sur la gestion dudit lac, en présence de représentants des populations de Keur Momar Sarr, Sier et Nguer Malal, localités situées au bord du Lac de Guiers.
A Keur Momar Sarr et Sier, les populations n’ont pas d’eau potable, alors que la plus grande partie de l’eau consommée à Dakar et dans d’autres grandes villes du pays provient du lac. Les habitants de Nguer Malal rêvent de tirer profit du Bas-Ferlo, qu’abrite leur communauté rurale.
‘’Une fois que le groupement communautaire sera installé, avec un projet bien détaillé présenté au chef de l’Etat pour approbation, il n’y aura aucune raison pour que l’Etat ne réalise pas les travaux nécessaires’’, a assuré M. Ndiaye.
‘’Le rôle de l’OLAG est d’assurer le développement par l’eau, de l’ensemble des terroirs riverains du lac et des usagers. Cela demande beaucoup de moyens, mais nous devons y arriver, grâce aux financements de l’Etat et des partenaires’’, a souligné Birane Ndiaye.
Il a émis l’idée de faire payer des redevances à l’ensemble des usagers du lac, conformément au décret de mise en place de l’OLAG. ‘’Ce serait normal, mais il faut au préalable discuter avec tous les acteurs. Il est évident qu’il ne faudrait pas demander aux populations, qui font de l’agriculture de subsistance, de payer des redevances’’, a-t-il indiqué.
‘’La gestion du Lac de Guiers est complexe. C’est un espace où se rencontrent plusieurs usagers à objectifs souvent contradictoires. Notre objectif est d’assurer une eau de qualité à tous ces acteurs’’, a encore dit M. Ndiaye à des journalistes.
Des représentants de l’ensemble des structures concernées par la gestion du cours d’eau ont pris part à la réunion.
AKS/ESF