Dakar, 31 mai (APS) - Le plan Directeur d’assainissement (PDA) de Dakar vise l'amélioration du cadre de vie des populations en milieu urbain, a indiqué, vendredi à Dakar, le directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS), Alioune Badara Diop.
"La réalisation de cet instrument pour la politique d’assainissement a été rendue possible grâce à un financement d’un montant de 800.000 euros, soit 525 millions de F CFA que la BEI [Banque européenne d'investissement] a mis gracieusement à la disposition de l’Etat du Sénégal pour mener cette étude’’, a-t-il dit.
Intervenant à l’atelier de présentation du plan directeur d’assainissement des eaux usées et eaux pluviales de la ville de Dakar, il a précisé que le plan vise ''l’amélioration du cadre de vie des populations en milieu urbain’’.
''L’exécution de ce projet est de 440 milliards, avec une phase prioritaire de 150 milliards. Et lorsque l’Etat met cette somme pour l’assainissement, c’est la satisfaction des besoins des populations’’, a-t-il souligné.
Il a qualifié le 'PDA de Dakar d’’’’outil de planification des orientations stratégiques’’, souhaitant ‘’qu’il soit approprié’’ par ‘’tous, services techniques de l’Etat comme partenaires techniques et financiers pour l’opérationnalisation effective dans les délais requis et pour que […] Dakar connaisse un environnement sain et des saisons des pluies avec moins de désagréments’’.
‘’On a subdivisé la région de Dakar en quatre systèmes. Il y a le système de la Corniche Ouest, le système de Cambérène, le système de la baie de Hann et le système Est’’, a-t-il expliqué.
‘’Pour chacun de ces systèmes, a-t-il indiqué, il s’agira de réaliser des réseaux primaires, une station d’épuration et des réseaux secondaires pour assurer l’assainissement des différentes populations de Dakar.’’
Il a souligné qu’avec cet atelier de validation, ‘’les grandes lignes sont définies. Il y a certains projets, comme la baie de Hann qui sont à la phase terminale des études. Nous pensons, dès l’année prochaine, commencer les travaux’’.
‘’Il est clair que lors des travaux, il y aura des impacts sonores, de la pollution, mais une zone qui est assainie n’a rien à avoir avec une zone qui ne l’est pas. Les impacts négatifs sont très mineurs par rapport aux impacts positifs’’, a assuré Alioune Badara Diop.
FD/ASG
"La réalisation de cet instrument pour la politique d’assainissement a été rendue possible grâce à un financement d’un montant de 800.000 euros, soit 525 millions de F CFA que la BEI [Banque européenne d'investissement] a mis gracieusement à la disposition de l’Etat du Sénégal pour mener cette étude’’, a-t-il dit.
Intervenant à l’atelier de présentation du plan directeur d’assainissement des eaux usées et eaux pluviales de la ville de Dakar, il a précisé que le plan vise ''l’amélioration du cadre de vie des populations en milieu urbain’’.
''L’exécution de ce projet est de 440 milliards, avec une phase prioritaire de 150 milliards. Et lorsque l’Etat met cette somme pour l’assainissement, c’est la satisfaction des besoins des populations’’, a-t-il souligné.
Il a qualifié le 'PDA de Dakar d’’’’outil de planification des orientations stratégiques’’, souhaitant ‘’qu’il soit approprié’’ par ‘’tous, services techniques de l’Etat comme partenaires techniques et financiers pour l’opérationnalisation effective dans les délais requis et pour que […] Dakar connaisse un environnement sain et des saisons des pluies avec moins de désagréments’’.
‘’On a subdivisé la région de Dakar en quatre systèmes. Il y a le système de la Corniche Ouest, le système de Cambérène, le système de la baie de Hann et le système Est’’, a-t-il expliqué.
‘’Pour chacun de ces systèmes, a-t-il indiqué, il s’agira de réaliser des réseaux primaires, une station d’épuration et des réseaux secondaires pour assurer l’assainissement des différentes populations de Dakar.’’
Il a souligné qu’avec cet atelier de validation, ‘’les grandes lignes sont définies. Il y a certains projets, comme la baie de Hann qui sont à la phase terminale des études. Nous pensons, dès l’année prochaine, commencer les travaux’’.
‘’Il est clair que lors des travaux, il y aura des impacts sonores, de la pollution, mais une zone qui est assainie n’a rien à avoir avec une zone qui ne l’est pas. Les impacts négatifs sont très mineurs par rapport aux impacts positifs’’, a assuré Alioune Badara Diop.
FD/ASG