Tambacounda, 30 jan (APS) - Le Projet Croissance économique (PCE) de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), doté d’un fonds de 736 millions de francs CFA sur cinq ans, ambitionne de mettre à la disposition des acteurs privés intervenant dans les chaînes de valeur, un minimum de 200 millions par année, en guise de subventions à l’innovation technologique, a indiqué vendredi Lamine Cissé, gestionnaire de subvention au PCE.
Le gestionnaire de subvention, a souligné en marge d’un atelier d’information, que le projet ambitionne, à travers ce fonds, de mettre à la disposition des acteurs privés des chaînes de valeur, un minimum de 200 millions par année.
La rencontre visait à informer les producteurs du mécanisme de financement destiné à appuyer en priorité, la promotion de l’innovation technologique dans les chaînes de valeur que sont le mil, le maïs, le riz, le bissap, le fonio, le sésame, la banane, la noix de cajou, la mangue et l’élevage.
Il s’agissait de donner les informations nécessaires aux promoteurs privés pour qu’ils puissent soumettre des demandes de subvention.
Le projet, étalé sur la période 2009-2013, s’adresse à travers ce fonds, aux acteurs privés que sont les organisations de producteurs, les entrepreneurs individuels, les micro, petites et moyennes entreprises, indique un document du PCE.
Il se fixe comme objectif de promouvoir l’investissement privé par l’accroissement de la production et de la productivité agricoles, la résolution des goulots d’étranglement dans le transport, le stockage, le commerce et la promotion des principes de marché.
Les sous-projets, pour être éligibles, doivent porter sur l’innovation apte à améliorer la compétitivité des produits, avait-il dit, lors de l’atelier d’information.
‘’Le PCE donne 80% du coût du projet, le promoteur n’apporte que les 15%’’, a-t-il ajouté, relevant qu’il s’agit là d’une ‘’incitation à promouvoir l’innovation technologique dans les chaînes de valeur’’.
La subvention est non-remboursable, mais la contrepartie qui peut être versée en espèces ou en nature est obligatoire, a-t-il précisé. ‘’Nous ne sommes pas une structure de financement, a-t-il souligné, nous n’avons pas pour vocation de financer des projets. Nous avons mis en place un mécanisme juste pour régler le problème de l’innovation technologique’’.
Les activités prises en charge dans le cadre de la subvention portent sur l’acquisition d’équipement et de matériels pour la production et la transformation, le renforcement des capacités des producteurs et transformateurs.
A cela s’ajoute l’organisation de campagnes de communication, de promotion et l’appui à des actions de marketing et de diffusion technologiques telles que la participation à des foires, tournées, l’édition de supports et émissions, note un document.
Les deux catégories de financement disponibles sont celui des petits projets nécessitant un financement compris entre 4,5 millions et 11,250 millions et celui des grands projets avec un besoin de financement de plus de 11,250 millions de francs CFA
Le gestionnaire de subvention, a souligné en marge d’un atelier d’information, que le projet ambitionne, à travers ce fonds, de mettre à la disposition des acteurs privés des chaînes de valeur, un minimum de 200 millions par année.
La rencontre visait à informer les producteurs du mécanisme de financement destiné à appuyer en priorité, la promotion de l’innovation technologique dans les chaînes de valeur que sont le mil, le maïs, le riz, le bissap, le fonio, le sésame, la banane, la noix de cajou, la mangue et l’élevage.
Il s’agissait de donner les informations nécessaires aux promoteurs privés pour qu’ils puissent soumettre des demandes de subvention.
Le projet, étalé sur la période 2009-2013, s’adresse à travers ce fonds, aux acteurs privés que sont les organisations de producteurs, les entrepreneurs individuels, les micro, petites et moyennes entreprises, indique un document du PCE.
Il se fixe comme objectif de promouvoir l’investissement privé par l’accroissement de la production et de la productivité agricoles, la résolution des goulots d’étranglement dans le transport, le stockage, le commerce et la promotion des principes de marché.
Les sous-projets, pour être éligibles, doivent porter sur l’innovation apte à améliorer la compétitivité des produits, avait-il dit, lors de l’atelier d’information.
‘’Le PCE donne 80% du coût du projet, le promoteur n’apporte que les 15%’’, a-t-il ajouté, relevant qu’il s’agit là d’une ‘’incitation à promouvoir l’innovation technologique dans les chaînes de valeur’’.
La subvention est non-remboursable, mais la contrepartie qui peut être versée en espèces ou en nature est obligatoire, a-t-il précisé. ‘’Nous ne sommes pas une structure de financement, a-t-il souligné, nous n’avons pas pour vocation de financer des projets. Nous avons mis en place un mécanisme juste pour régler le problème de l’innovation technologique’’.
Les activités prises en charge dans le cadre de la subvention portent sur l’acquisition d’équipement et de matériels pour la production et la transformation, le renforcement des capacités des producteurs et transformateurs.
A cela s’ajoute l’organisation de campagnes de communication, de promotion et l’appui à des actions de marketing et de diffusion technologiques telles que la participation à des foires, tournées, l’édition de supports et émissions, note un document.
Les deux catégories de financement disponibles sont celui des petits projets nécessitant un financement compris entre 4,5 millions et 11,250 millions et celui des grands projets avec un besoin de financement de plus de 11,250 millions de francs CFA