Dakar, 30 avr (APS) – Le département pour le développement international du Royaume-Uni (DFID, sigle anglais) a lancé un appel à candidatures à l’endroit des instituts et universités africaines pour des programmes de recherche axée sur l'au et l’Assainissement, les énergies renouvelables et les études du sol, a confié mardi à Dakar, docteur Hans Hagen, un officiel britannique, qui a précisé que le montant du projet s’élève à près d’un milliard de francs CFA.
‘’Il s’agit de financer des programmes de recherche de 1.243.000 livres sterling (961 000 000 FCFA) pour cinq ans, afin de soutenir les consortiums de recherche composés de trois groupes originaires de deux pays de l’Afrique sub-saharienne et d’un laboratoire du Royaume-Uni’’, a expliqué docteur Hans Hagen, lors d’une séance de travail avec des chercheurs et des universitaires sénégalais.
Cette rencontre organisée au siège de l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS) a regroupé des représentants des universités Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAd), Gaston Berger de Saint-Louis et de l’université de Bambey. Le professeur Ahmadou Lamine Ndiaye, président de l'ANSTS, a pris part à cette rencontre de présentation et de partage autour du projet britannique.
La deuxième étape du projet, a expliqué docteur Hagen, par ailleurs responsable de la Royal Society, une structure britannique qui pilote le programme, ''consiste à élaborer des bourses de réseaux scientifiques de 25.000 livres pour aider des consortiums émergents à préparer leur application pour une bourse de programme de recherche''.
Ce programme confié à l’ANSTS est articulé autour de trois domaines, à savoir l’eau et l’assainissement, les énergies renouvelables et les études de sol. ‘’L’ANSTS est une structure appropriée pour contribuer à la mobilisation de la communauté scientifique africaine (…). Le projet va nous permettre de nous constituer en équipes et en réseaux de recherche’’, a souligné Amadou Lamine Ndiaye, président de l’ANSTS.
‘’C’est un projet original de par son volume de financement, sa durée et les perspectives qu’il offre en termes d’opportunités’’, a signalé le professeur Ndiaye, par ailleurs président de l’Académie africaine des sciences (AAS).
L’initiative de la Royal Society pour le renforcement des capacités de structures scientifiques en Afrique sub-saharienne va sélectionner 20 réseaux de recherche en Afrique. Un groupe de 18 experts, soit six spécialistes par domaine, est commis par le gouvernement de la grande Bretagne pour désigner les réseaux qui vont être sélectionnés.
Une rencontre de suivi et d’évaluation est prévue du 27 au 28 octobre à Dakar, pour inviter les lauréats qui seront désignés en leur offrant les possibilités de créer de nouvelles collaborations, ont expliqué les initiateurs.
MTN/AD
‘’Il s’agit de financer des programmes de recherche de 1.243.000 livres sterling (961 000 000 FCFA) pour cinq ans, afin de soutenir les consortiums de recherche composés de trois groupes originaires de deux pays de l’Afrique sub-saharienne et d’un laboratoire du Royaume-Uni’’, a expliqué docteur Hans Hagen, lors d’une séance de travail avec des chercheurs et des universitaires sénégalais.
Cette rencontre organisée au siège de l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS) a regroupé des représentants des universités Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAd), Gaston Berger de Saint-Louis et de l’université de Bambey. Le professeur Ahmadou Lamine Ndiaye, président de l'ANSTS, a pris part à cette rencontre de présentation et de partage autour du projet britannique.
La deuxième étape du projet, a expliqué docteur Hagen, par ailleurs responsable de la Royal Society, une structure britannique qui pilote le programme, ''consiste à élaborer des bourses de réseaux scientifiques de 25.000 livres pour aider des consortiums émergents à préparer leur application pour une bourse de programme de recherche''.
Ce programme confié à l’ANSTS est articulé autour de trois domaines, à savoir l’eau et l’assainissement, les énergies renouvelables et les études de sol. ‘’L’ANSTS est une structure appropriée pour contribuer à la mobilisation de la communauté scientifique africaine (…). Le projet va nous permettre de nous constituer en équipes et en réseaux de recherche’’, a souligné Amadou Lamine Ndiaye, président de l’ANSTS.
‘’C’est un projet original de par son volume de financement, sa durée et les perspectives qu’il offre en termes d’opportunités’’, a signalé le professeur Ndiaye, par ailleurs président de l’Académie africaine des sciences (AAS).
L’initiative de la Royal Society pour le renforcement des capacités de structures scientifiques en Afrique sub-saharienne va sélectionner 20 réseaux de recherche en Afrique. Un groupe de 18 experts, soit six spécialistes par domaine, est commis par le gouvernement de la grande Bretagne pour désigner les réseaux qui vont être sélectionnés.
Une rencontre de suivi et d’évaluation est prévue du 27 au 28 octobre à Dakar, pour inviter les lauréats qui seront désignés en leur offrant les possibilités de créer de nouvelles collaborations, ont expliqué les initiateurs.
MTN/AD