Une centaine participants environ, comprenant les maires des capitales régionales et départementales et des villes à croissance rapide, les services impliqués dans la Restructuration et les partenaires au développement, devaient prendre part aux travaux.
En effet, souligne le communiqué, les objectifs de l’atelier « visent une bonne maîtrise de la problématique de la Restructuration et de la Régularisation foncière par tous les partenaires impliqués dans cette politique ; les maires maîtrisent mieux les outils et las instruments de la Restructuration et de la Régularisation Foncière ». Il sera aussi question de sensibiliser l’Etat et les partenaires sur le rôle de la Restructuration et de la Régularisation Foncière comme outil stratégique dans le cadre de la réalisation des OMD notamment sur la cible 11 : « atteindre d’ici à 2020 une amélioration significative des conditions de vie d’au moins 100 millions d’habitants des bidonvilles » et d’une manière générale comme préalable à la mise en place des infrastructures de base », précise le document. Il s’agit aussi « d’adopter une vison commune du projet « Villes du Sénégal sans bidonvilles » qui, au terme des études, débouchera sur un Programme National de l’Habitat spontané ». Les conclusions des travaux vont déboucher sur des solutions concertées pour le financement pérenne de la politique de la Restructuration et de la Régularisation Foncière.
Soulignons que le phénomène d’urbanisation presque exponentielle est dû, en grande partie à un exode de la population rurale vers les centres urbains, mais aussi à un taux de croissance naturelle élevé. Cette croissance démographique s’est « traduite par une expansion spatiale souvent incontrôlée qui a consisté essentiellement en une occupation et une densification de quartiers spontanés à la périphérie des grandes agglomérations dans des zones non loties parfois impropres à l’habitat », note le communiqué. Ces périmètres occupés irrégulièrement par les nouveaux arrivants, dit-on, sont caractérisés par un habitat hétéroclite qui se distingue par la promiscuité et le manque de services urbains et d’équipements de base.
Sud Quotidien
En effet, souligne le communiqué, les objectifs de l’atelier « visent une bonne maîtrise de la problématique de la Restructuration et de la Régularisation foncière par tous les partenaires impliqués dans cette politique ; les maires maîtrisent mieux les outils et las instruments de la Restructuration et de la Régularisation Foncière ». Il sera aussi question de sensibiliser l’Etat et les partenaires sur le rôle de la Restructuration et de la Régularisation Foncière comme outil stratégique dans le cadre de la réalisation des OMD notamment sur la cible 11 : « atteindre d’ici à 2020 une amélioration significative des conditions de vie d’au moins 100 millions d’habitants des bidonvilles » et d’une manière générale comme préalable à la mise en place des infrastructures de base », précise le document. Il s’agit aussi « d’adopter une vison commune du projet « Villes du Sénégal sans bidonvilles » qui, au terme des études, débouchera sur un Programme National de l’Habitat spontané ». Les conclusions des travaux vont déboucher sur des solutions concertées pour le financement pérenne de la politique de la Restructuration et de la Régularisation Foncière.
Soulignons que le phénomène d’urbanisation presque exponentielle est dû, en grande partie à un exode de la population rurale vers les centres urbains, mais aussi à un taux de croissance naturelle élevé. Cette croissance démographique s’est « traduite par une expansion spatiale souvent incontrôlée qui a consisté essentiellement en une occupation et une densification de quartiers spontanés à la périphérie des grandes agglomérations dans des zones non loties parfois impropres à l’habitat », note le communiqué. Ces périmètres occupés irrégulièrement par les nouveaux arrivants, dit-on, sont caractérisés par un habitat hétéroclite qui se distingue par la promiscuité et le manque de services urbains et d’équipements de base.
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