Redynamiser davantage le Service national de l’éducation et de l’information pour la santé (Sneips) à travers un plan de communication global afin de rendre visible les activités du ministère de la Santé. Telle est l’ambition du directeur Abdoulaye Sèye.
Le Service national de l’éducation et de l’information pour la santé (Sneips) s’inscrit dans une voie de redynamisation. « Aujourd’hui, il y a une urgence à insuffler un nouveau souffle à cette structure pour qu’elle remplisse le rôle de sensibilisation et rende visibles les activités du ministère de la Santé », souligne le directeur, Abdoulaye Sèye. A l’en croire, le Sneips doit être le « carrefour de la communication » des structures du ministère de la Santé et des partenaires. La structure vient d’élaborer un Plan du travail annuel (Pta) grâce au concours des structures du ministère de la Santé et de ses partenaires stratégiques. Le Pta a pour objectif de « contribuer à l’émergence d’une culture de la bonne gouvernance et de la gestion comme cela a été demandé par le Programme national du développement sanitaire (Pnds) 2009-2018 », note M. Sèye.
Outre le Pta, le Cadre de dépenses sectoriel à moins terme (Cdsmt) est l’autre instrument qui permet au Sneips d’avoir « une bonne lisibilité et une bonne combinaison entre l’activité proprement menée et les dépenses alliées ».
Selon Abdoulaye Sèye, le Pta est un calendrier des activités du ministère qui devront être planifiées et déroulées du 1er janvier au 31 décembre. M. Sèye d’indiquer qu’un « gap terrible a été noté par rapport à la mission du Sneips. Le bilan a montré que le service ne travaille plus vers la réalisation de ses objectifs. Il était plutôt attelé aux autres problèmes ». Car, c’est souvent à la dernière minute qu’on fait recours au Sneips, soit pour apporter une caméra, soit pour faire de l’événementiel.
« Mais les trois séminaires auxquels nous avons participé ont permis d’élaborer un questionnaire distribué à toutes les structures du ministère et aux partenaires. Le dépouillement et l’évaluation de ces questionnaires faits en collaboration avec les partenaires ont montré que le Sneips pouvait faire d’excellentes choses dans le cadre de sa mission », informe M. Sèye.
Plan de communication global
Ainsi, le Sneips compte mettre en place un Plan de communication global du ministère où toutes les activités des différents programmes et structures seront pris en charge et planifiés, affirme M. Sèye.
« D’ailleurs, l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) a demandé que le Sneips intègre, dans son plan de communication, les activités des partenaires. Et nous allons travailler sur cela », assure le directeur du Sneips, lequel est une unité centrale ayant des démembrements qui réalisent des supports de communication permettant de rendre visibles les activités du ministère. Ces activités sont, entre autre, l’école santé, le quartier santé, deux minutes pour survivre, les bandes dessinées...
« Les partenaires sont prêts à financer toutes ces activités », informe M. Sèye. « Nous allons apporter la maquette et l’expertise parce que le Sneips est un cadre de référence et d’élaboration du plan de communication, de validation du support de communication pour toutes les structures du ministère et des partenaires menant des activités dans le domaine de la santé », commente-t-il.
Avant de rappeler que sa structure s’investit, depuis plusieurs années, dans la prévention par la sensibilisation des populations à travers des programmes de communication sur des épidémies comme le choléra, la fièvre jaune, le paludisme, la tuberculose...
E. KALY
Le Soleil
Le Service national de l’éducation et de l’information pour la santé (Sneips) s’inscrit dans une voie de redynamisation. « Aujourd’hui, il y a une urgence à insuffler un nouveau souffle à cette structure pour qu’elle remplisse le rôle de sensibilisation et rende visibles les activités du ministère de la Santé », souligne le directeur, Abdoulaye Sèye. A l’en croire, le Sneips doit être le « carrefour de la communication » des structures du ministère de la Santé et des partenaires. La structure vient d’élaborer un Plan du travail annuel (Pta) grâce au concours des structures du ministère de la Santé et de ses partenaires stratégiques. Le Pta a pour objectif de « contribuer à l’émergence d’une culture de la bonne gouvernance et de la gestion comme cela a été demandé par le Programme national du développement sanitaire (Pnds) 2009-2018 », note M. Sèye.
Outre le Pta, le Cadre de dépenses sectoriel à moins terme (Cdsmt) est l’autre instrument qui permet au Sneips d’avoir « une bonne lisibilité et une bonne combinaison entre l’activité proprement menée et les dépenses alliées ».
Selon Abdoulaye Sèye, le Pta est un calendrier des activités du ministère qui devront être planifiées et déroulées du 1er janvier au 31 décembre. M. Sèye d’indiquer qu’un « gap terrible a été noté par rapport à la mission du Sneips. Le bilan a montré que le service ne travaille plus vers la réalisation de ses objectifs. Il était plutôt attelé aux autres problèmes ». Car, c’est souvent à la dernière minute qu’on fait recours au Sneips, soit pour apporter une caméra, soit pour faire de l’événementiel.
« Mais les trois séminaires auxquels nous avons participé ont permis d’élaborer un questionnaire distribué à toutes les structures du ministère et aux partenaires. Le dépouillement et l’évaluation de ces questionnaires faits en collaboration avec les partenaires ont montré que le Sneips pouvait faire d’excellentes choses dans le cadre de sa mission », informe M. Sèye.
Plan de communication global
Ainsi, le Sneips compte mettre en place un Plan de communication global du ministère où toutes les activités des différents programmes et structures seront pris en charge et planifiés, affirme M. Sèye.
« D’ailleurs, l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) a demandé que le Sneips intègre, dans son plan de communication, les activités des partenaires. Et nous allons travailler sur cela », assure le directeur du Sneips, lequel est une unité centrale ayant des démembrements qui réalisent des supports de communication permettant de rendre visibles les activités du ministère. Ces activités sont, entre autre, l’école santé, le quartier santé, deux minutes pour survivre, les bandes dessinées...
« Les partenaires sont prêts à financer toutes ces activités », informe M. Sèye. « Nous allons apporter la maquette et l’expertise parce que le Sneips est un cadre de référence et d’élaboration du plan de communication, de validation du support de communication pour toutes les structures du ministère et des partenaires menant des activités dans le domaine de la santé », commente-t-il.
Avant de rappeler que sa structure s’investit, depuis plusieurs années, dans la prévention par la sensibilisation des populations à travers des programmes de communication sur des épidémies comme le choléra, la fièvre jaune, le paludisme, la tuberculose...
E. KALY
Le Soleil