Les économies africaines qui commençaient à se redresser plus d’une décennie de croissance économique, ont maintenant besoin de nouveaux financements pour atténuer la contagion née de la crise financière mondiale. C’est la discussion de très haut niveau qui a été animée par vidéoconférence, le mardi dernier par la Banque Mondiale. Le Pr d’économie à l’université de Cornell aux Etats Unis, M. Ravi Kanbur, a lancé dans ce sens que : « Nous invitons les pays riches à penser à l’Afrique lorsqu’ils élaborent des programmes pour aider leurs économies à faire face à la crise financière ».
Le Maître de conférences en politique publique à l’Université de Havard aux Etats-Unis, Mme Martha Chen a déclaré que : « il est crucial pour les pays pauvres de se focaliser sur l’investissement de l’éducation, de la santé et les infrastructures ».
Dans sa communication, M. Timothy Besley, professeur d’économie et de science politique à London school of economics au Royaume Uni embouche la même trompette : « il faut trouver un fonds qui servirait à financer les dépenses directes pour des projets d’urgences visant la réduction de la pauvreté de plus en plus croissant auquel toute l’Afrique fait face en ce moment ». M. Besley estime que : « Nous incitons les pays riches à penser à l’Afrique lorsqu’ils élaborent des programmes pour aider leurs économies face à la crise financière ». Il a reconnu le besoin pour les gouvernements de se limiter uniquement aux choses nécessaires. « Les gouvernements ne doivent pas abandonner leur rôle de régulateur », a-t-il encore relevé.
Sud Quotidien
Le Maître de conférences en politique publique à l’Université de Havard aux Etats-Unis, Mme Martha Chen a déclaré que : « il est crucial pour les pays pauvres de se focaliser sur l’investissement de l’éducation, de la santé et les infrastructures ».
Dans sa communication, M. Timothy Besley, professeur d’économie et de science politique à London school of economics au Royaume Uni embouche la même trompette : « il faut trouver un fonds qui servirait à financer les dépenses directes pour des projets d’urgences visant la réduction de la pauvreté de plus en plus croissant auquel toute l’Afrique fait face en ce moment ». M. Besley estime que : « Nous incitons les pays riches à penser à l’Afrique lorsqu’ils élaborent des programmes pour aider leurs économies face à la crise financière ». Il a reconnu le besoin pour les gouvernements de se limiter uniquement aux choses nécessaires. « Les gouvernements ne doivent pas abandonner leur rôle de régulateur », a-t-il encore relevé.
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