Matam, 8 avr (APS) - Le taux de guérison de la tuberculose a atteint ‘’100 %’’ dans le département de Matam, où celui de dépistage reste toutefois ‘’faible’’, a indiqué lundi Babacar Senghor, point focal dans ce département de l’Association sénégalaise pour le bien-être familial (ASBEF).
Il s’exprimait lors d’un atelier organisé par le district de Matam, en collaboration avec l’ASBEF, pour dresser un premier bilan du projet de lutte contre la tuberculose. Il était aussi axé sur le deuxième volet du projet qui doit démarrer en juillet prochain.
Ce projet est financé par les bailleurs de fonds internationaux et les bonnes volontés pour lutter contre cette pandémie qui tue beaucoup de personnes dans le monde.
A travers l’atelier, l’ambition est ‘’d’obtenir un taux de dépistage de cent pour cent en s’appuyant sur les organisations communautaires de base (OCB) et aussi en multipliant le nombre des relais qui à leur tour jouent un rôle très important dans la lutte’’.
‘’Ces relais organisent des réunions et des causeries au niveau des quartiers, pour sensibiliser les populations sur le danger de cette maladie de tuberculose qui est peu connue dans la région’’, a-t-il expliqué.
‘’L’atelier, dans ses recommandations, invitent les relais et les OCB à collaborer étroitement avec les leaders d’opinion et les porteurs de voix qui sont des imams, la presse, les Asc [associations sportives et culturelles] à les aider à mieux sensibiliser les populations sur les effets néfastes de la tuberculose’’.
MMT/ASG
Il s’exprimait lors d’un atelier organisé par le district de Matam, en collaboration avec l’ASBEF, pour dresser un premier bilan du projet de lutte contre la tuberculose. Il était aussi axé sur le deuxième volet du projet qui doit démarrer en juillet prochain.
Ce projet est financé par les bailleurs de fonds internationaux et les bonnes volontés pour lutter contre cette pandémie qui tue beaucoup de personnes dans le monde.
A travers l’atelier, l’ambition est ‘’d’obtenir un taux de dépistage de cent pour cent en s’appuyant sur les organisations communautaires de base (OCB) et aussi en multipliant le nombre des relais qui à leur tour jouent un rôle très important dans la lutte’’.
‘’Ces relais organisent des réunions et des causeries au niveau des quartiers, pour sensibiliser les populations sur le danger de cette maladie de tuberculose qui est peu connue dans la région’’, a-t-il expliqué.
‘’L’atelier, dans ses recommandations, invitent les relais et les OCB à collaborer étroitement avec les leaders d’opinion et les porteurs de voix qui sont des imams, la presse, les Asc [associations sportives et culturelles] à les aider à mieux sensibiliser les populations sur les effets néfastes de la tuberculose’’.
MMT/ASG