La planification et l’orientation du plan opérationnel santé de la commune a fait l’objet d’une rencontre, samedi, à l’hôtel de ville sous la supervision du Dr Ababacar Ndoye, médecin chef du district sanitaire de Vélingara, assisté du technicien communautaire El Hadj Bousso Bâ (Adcl) et de Madame Fatou Niane, responsable de la famille et de l’entreprenariat féminin. en présence du maire de la commune, M. Mamadou Woury Baïlo Diallo, entouré de son premier adjoint, M. Mahame Maïga.
L’on remarquait également la présence M. Camara, consultant Usaid, et des groupements féminins. D’une manière générale, cette importante rencontre a permis à l’assistance d’examiner à la loupe tous les problèmes de santé auxquels sont confrontés les populations de la commune pour élaborer un plan équitable et rationnel pour une meilleure prise en charge des personnes vulnérables. A cet effet, un Comité de suivi et d’évaluation a été mis sur pied avec l’implication de tous les acteurs pour mener à bien l’Agenda programme de santé dans la transparence et la démocratie au profit des populations de la Cité.
L’autre temps fort de la rencontre fut le diagnostic sans complaisance de la carte d’identité sanitaire de la commune abritant actuellement 30.000 âmes réparties dans 7 quartiers accusant deux postes de santé, deux structures paramédicales, une clinique privée et un centre de santé dont les travaux de finition du bloc opératoire du cabinet dentaire et autres salles de soins sont inachevés, à telle enseigne que les malades accusant des signes graves sont évacués à l’hôpital régional de Tamba ou Kolda. Autre fait marquant est Vélingara est une commune rurale à la pauvreté inquiétante, notamment au niveau des quartiers périphériques où certains chefs de famille ne prennent qu’un seul repas par jour, faute de moyens. L’accent a été mis particulièrement sur la poursuite de sensibilisation des populations sur la lutte contre le paludisme, le Vih/Sida, la malnutrition, l’emploi des moustiquaires imprégnées, la protection maternelle et infantile, tout comme le renforcement des capacités, les principes de la Décentralisation, l’appui à la bonne gouvernance locale et la nécessité de multiplier les structures sanitaires dans la commune pour atteindre les objectifs fixés.
Le Soleil
L’on remarquait également la présence M. Camara, consultant Usaid, et des groupements féminins. D’une manière générale, cette importante rencontre a permis à l’assistance d’examiner à la loupe tous les problèmes de santé auxquels sont confrontés les populations de la commune pour élaborer un plan équitable et rationnel pour une meilleure prise en charge des personnes vulnérables. A cet effet, un Comité de suivi et d’évaluation a été mis sur pied avec l’implication de tous les acteurs pour mener à bien l’Agenda programme de santé dans la transparence et la démocratie au profit des populations de la Cité.
L’autre temps fort de la rencontre fut le diagnostic sans complaisance de la carte d’identité sanitaire de la commune abritant actuellement 30.000 âmes réparties dans 7 quartiers accusant deux postes de santé, deux structures paramédicales, une clinique privée et un centre de santé dont les travaux de finition du bloc opératoire du cabinet dentaire et autres salles de soins sont inachevés, à telle enseigne que les malades accusant des signes graves sont évacués à l’hôpital régional de Tamba ou Kolda. Autre fait marquant est Vélingara est une commune rurale à la pauvreté inquiétante, notamment au niveau des quartiers périphériques où certains chefs de famille ne prennent qu’un seul repas par jour, faute de moyens. L’accent a été mis particulièrement sur la poursuite de sensibilisation des populations sur la lutte contre le paludisme, le Vih/Sida, la malnutrition, l’emploi des moustiquaires imprégnées, la protection maternelle et infantile, tout comme le renforcement des capacités, les principes de la Décentralisation, l’appui à la bonne gouvernance locale et la nécessité de multiplier les structures sanitaires dans la commune pour atteindre les objectifs fixés.
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