Pendant deux jours, les agents de l’Agence Régionale de Développement de Saint-Louis, sous la houlette de leur directeur, Bouna Waar, se sont livrés à un exercice particulier, consistant à passer en revue avec l’ensemble de leurs partenaires, en fonction de la vision et des objectifs à atteindre, les ressources de cette institution et leur utilisation, sa capacité organisationnelle, les obstacles à surmonter (pour permettre à l’agence d’honorer ses priorités et ses engagements).
Invités à cette réflexion, les chefs de services régionaux de l’administration déconcentrée et plusieurs autres partenaires, ont contribué efficacement au diagnostic institutionnel sans complaisance de l’ARD. Des problèmes internes et externes de cette institution ont été remis sur le tapis, permettant à l’agence de tracer une vision claire et d’identifier des axes stratégiques d’intervention.
Avec l’avènement du PNDL, a rappelé Bouna Waar, la démultiplication des collectivités locales et le recentrage effectif de la coordination du développement local de la région autour de l’ARD, le modèle opératoire jusque là de rigueur reste inefficace et montre ses limites.
Le souci de professionnalisme et d’efficacité, qui passera par un personnel engagé, performant et motivé et intervenant dans un cadre structuré avec une vision claire, est une exigence dont l’ARD est consciente. Fort de ces préoccupations, a-t-il souligné, l’ARD compte s’inscrire dans une démarche qualité qui requiert une rigueur scientifique et une exigence méthodologique soutenue par une politique et une vision éclairée.
C’est pourquoi, a-t-il laissé entendre, « nous nous sommes lancés dans cet exercice de réflexion stratégique devant nous permettre de mettre à plat toutes lacunes et faiblesses du passé, mais surtout de partir sur des bases solides d’une démarche prospective ».
Sur la base des recommandations issues de cet atelier, l’ARD devra élaborer un document diagnostic exhaustif de l’état des lieux de l’ARD, un document de projet de plan stratégique 2010/2015, prenant en compte un ou plusieurs programmes (axes), un plan d’analyse et de gestion des risques et opportunités pour la mise en œuvre de ce plan, etc.
Mbagnick Kharachi Diagne
Le Soleil
Invités à cette réflexion, les chefs de services régionaux de l’administration déconcentrée et plusieurs autres partenaires, ont contribué efficacement au diagnostic institutionnel sans complaisance de l’ARD. Des problèmes internes et externes de cette institution ont été remis sur le tapis, permettant à l’agence de tracer une vision claire et d’identifier des axes stratégiques d’intervention.
Avec l’avènement du PNDL, a rappelé Bouna Waar, la démultiplication des collectivités locales et le recentrage effectif de la coordination du développement local de la région autour de l’ARD, le modèle opératoire jusque là de rigueur reste inefficace et montre ses limites.
Le souci de professionnalisme et d’efficacité, qui passera par un personnel engagé, performant et motivé et intervenant dans un cadre structuré avec une vision claire, est une exigence dont l’ARD est consciente. Fort de ces préoccupations, a-t-il souligné, l’ARD compte s’inscrire dans une démarche qualité qui requiert une rigueur scientifique et une exigence méthodologique soutenue par une politique et une vision éclairée.
C’est pourquoi, a-t-il laissé entendre, « nous nous sommes lancés dans cet exercice de réflexion stratégique devant nous permettre de mettre à plat toutes lacunes et faiblesses du passé, mais surtout de partir sur des bases solides d’une démarche prospective ».
Sur la base des recommandations issues de cet atelier, l’ARD devra élaborer un document diagnostic exhaustif de l’état des lieux de l’ARD, un document de projet de plan stratégique 2010/2015, prenant en compte un ou plusieurs programmes (axes), un plan d’analyse et de gestion des risques et opportunités pour la mise en œuvre de ce plan, etc.
Mbagnick Kharachi Diagne
Le Soleil