Emmanuel Macron est venu perturber le ronron politique qui prévalait depuis 1958.
Il est aussi jugé dangereux par ses opposants car il a fait l’exacte démonstration de l’immobilisme politique avec des alternances qui n’ont pas fait avancer le pays avec ces nouvelles majorités qui s’empressaient de détruire ce qu’avaient fait les autres au préalable.
Et surtout Emmanuel Macron a pressenti le processus de putréfaction des anciens partis de plus en plus soumis aux contraintes des extrêmes qu’ils n’ont jamais su combattre depuis 2001.
Le PS a été la première victime avec ses frondeurs, le LR va très prochainement le suivre avec son attitude ambiguë vis à vis du RN.
Giscard avait raison sur le diagnostic : la France se gouverne au centre mais sa politique laissait trop sur la route les idées sociales.
F. Bayrou n’a pas su traduire ce constat en politique avec son ni droite ni gauche qui vidait sa politique de sa substance en oubliant que ce sont les idées qui peuvent être classées d’un côté ou d’un autre de l’échiquier politique.
Il aura fallu qu’apparaisse ce jeune homme volontaire et visionnaire auquel les français donneront quitus et reconnaîtront un fine que la meilleure façon de gouverner le pays est cet « EN MÊME TEMPS » que les médias haïssent tant car il ne permet pas les oppositions de principes du passé.
Jean-François Hurel
https://www.facebook.com/jeanfrancois.hurel.3
Il est aussi jugé dangereux par ses opposants car il a fait l’exacte démonstration de l’immobilisme politique avec des alternances qui n’ont pas fait avancer le pays avec ces nouvelles majorités qui s’empressaient de détruire ce qu’avaient fait les autres au préalable.
Et surtout Emmanuel Macron a pressenti le processus de putréfaction des anciens partis de plus en plus soumis aux contraintes des extrêmes qu’ils n’ont jamais su combattre depuis 2001.
Le PS a été la première victime avec ses frondeurs, le LR va très prochainement le suivre avec son attitude ambiguë vis à vis du RN.
Giscard avait raison sur le diagnostic : la France se gouverne au centre mais sa politique laissait trop sur la route les idées sociales.
F. Bayrou n’a pas su traduire ce constat en politique avec son ni droite ni gauche qui vidait sa politique de sa substance en oubliant que ce sont les idées qui peuvent être classées d’un côté ou d’un autre de l’échiquier politique.
Il aura fallu qu’apparaisse ce jeune homme volontaire et visionnaire auquel les français donneront quitus et reconnaîtront un fine que la meilleure façon de gouverner le pays est cet « EN MÊME TEMPS » que les médias haïssent tant car il ne permet pas les oppositions de principes du passé.
Jean-François Hurel
https://www.facebook.com/jeanfrancois.hurel.3