Missirah, le poumon économique du département de Tambacounda, sort de ses entrailles 20.000 tonnes de banane par an, soit 4 milliards de francs, vient de se particulariser avec un score de 66% pour les 4225 voix de la Coalition Sopi 2007 lors de l’élection présidentielle du 25 février dernier. Le forum, organisé pou analyser cette prouesse, a été mis à profit pour magnifier les réalisations de l’alternance et ouvrir les perspectives comme ériger Missirah en commune rurale pour offrir une majorité confortable au président Abdoulaye Wade.
À 35 km de Tambacounda sur la route de Kédougou, l’arrondissement de Missirah se particularise par le Parc national du Niokolo-Koba. Le fleuve Gambie qui le parcourt sur toute sa longueur a permis d’installer des milliers d’hectares de terres irriguées pour le maraîchage et l’arboriculture. Étant le poumon économique du département de Tambacounda avec ses 27.725 habitants qui se réveillent dans les 85 villages dont 79 officiels sur les 15.777 km2.
Ce Samedi a été mis à profit pour analyser la victoire éclatante du Pds. À ce niveau, Missirah, pour le nombre de voix qui ont voté pour la coalition, obtient 4225 voix acquises à la politique de développement insufflée par le président Abdoulaye Wade, dira Bassoriba Cissé, le président de la Communauté rurale. La politique mise en œuvre depuis l’alternance, qui a permis de soutenir le monde rural pendant le sinistre avec des dotations de riz, lors des inondations, 530 millions des planteurs de bananes épongés qui s’ajoutent au Plan sésame pour les personnes âgées, en plus des emplois, des salaires augmentés et la retraite à 60 ans.
4 MILLIARDS POUR LA BANANE DE MISSIRAH
Il y a aussi les semences, les intrants pour les paysans et les accouchements et césariennes gratuits pour les régions comme Tambacounda dites démunies. Au niveau de l’éducation, dira Bassoriba Cissé, Missirah a obtenu son collège de proximité, le forage a été dépanné et la communauté rurale dotée d’un véhicule tout terrain. C’est pourquoi les populations n’ont pas hésité à donner 66% de la victoire à Abdoulaye Wade, en étant en tête des communautés rurales par le nombre de votants. Pour lui, la victoire honorable a été obtenue sans soutien au niveau fédéral et même présence physique des responsables.
Le président de la Communauté rurale a lancé un vibrant appel à ses compatriotes du même parti pour lever toute équivoque fractionniste mettant en mal les ethnies qui composent la Communauté rurale afin de suivre la dynamique nationale.
Parlant de la dynamique de développement, le président de la communauté rurale souhaite voir sa Communauté rurale érigée en commune rurale.
Selon Adama Ndao, Secrétaire général du Collectif des producteurs de banane (Corprobat) et responsable politique libéral au niveau des périmètres bananiers, la zone bananière est bleue et elle le restera : preuve, ces dernières élections avec un vote massif pour le candidat Wade. Après avoir salué les efforts consentis par l’État en épongeant les dettes de 530 millions et le début des travaux du désenclavement Goulombou Koar avec le pont mythique de Mahina, les producteurs de banane posent le problème de la commercialisation. Avec 20.000 tonnes de banane et 15.000 producteurs, le constat, selon M. Ndao, ce sont les pertes constatées au niveau de la production bananière à cause des mauvaises conditions de commercialisation pour être en phase avec la commercialisation en cartons. L’aide souhaitée tourne autour des cartons, de la mise en place de stations de conditionnement, de chambres froides et autres camions frigorifiques adaptés au transport de la banane. Le cap de la banane de qualité ne peut être atteint sans un bon conditionnement pour concurrencer la banane de la Côte d’Ivoire par des lignes de crédits
Le Soleil
Ce Samedi a été mis à profit pour analyser la victoire éclatante du Pds. À ce niveau, Missirah, pour le nombre de voix qui ont voté pour la coalition, obtient 4225 voix acquises à la politique de développement insufflée par le président Abdoulaye Wade, dira Bassoriba Cissé, le président de la Communauté rurale. La politique mise en œuvre depuis l’alternance, qui a permis de soutenir le monde rural pendant le sinistre avec des dotations de riz, lors des inondations, 530 millions des planteurs de bananes épongés qui s’ajoutent au Plan sésame pour les personnes âgées, en plus des emplois, des salaires augmentés et la retraite à 60 ans.
4 MILLIARDS POUR LA BANANE DE MISSIRAH
Il y a aussi les semences, les intrants pour les paysans et les accouchements et césariennes gratuits pour les régions comme Tambacounda dites démunies. Au niveau de l’éducation, dira Bassoriba Cissé, Missirah a obtenu son collège de proximité, le forage a été dépanné et la communauté rurale dotée d’un véhicule tout terrain. C’est pourquoi les populations n’ont pas hésité à donner 66% de la victoire à Abdoulaye Wade, en étant en tête des communautés rurales par le nombre de votants. Pour lui, la victoire honorable a été obtenue sans soutien au niveau fédéral et même présence physique des responsables.
Le président de la Communauté rurale a lancé un vibrant appel à ses compatriotes du même parti pour lever toute équivoque fractionniste mettant en mal les ethnies qui composent la Communauté rurale afin de suivre la dynamique nationale.
Parlant de la dynamique de développement, le président de la communauté rurale souhaite voir sa Communauté rurale érigée en commune rurale.
Selon Adama Ndao, Secrétaire général du Collectif des producteurs de banane (Corprobat) et responsable politique libéral au niveau des périmètres bananiers, la zone bananière est bleue et elle le restera : preuve, ces dernières élections avec un vote massif pour le candidat Wade. Après avoir salué les efforts consentis par l’État en épongeant les dettes de 530 millions et le début des travaux du désenclavement Goulombou Koar avec le pont mythique de Mahina, les producteurs de banane posent le problème de la commercialisation. Avec 20.000 tonnes de banane et 15.000 producteurs, le constat, selon M. Ndao, ce sont les pertes constatées au niveau de la production bananière à cause des mauvaises conditions de commercialisation pour être en phase avec la commercialisation en cartons. L’aide souhaitée tourne autour des cartons, de la mise en place de stations de conditionnement, de chambres froides et autres camions frigorifiques adaptés au transport de la banane. Le cap de la banane de qualité ne peut être atteint sans un bon conditionnement pour concurrencer la banane de la Côte d’Ivoire par des lignes de crédits
Le Soleil