Dakar, 24 juin (APS) – Le plan de travail annuel (PTA) 2011 du programme TACC (vers un développement local durable moins émetteur de gaz à effet de serre et plus résistant au changement climatique) a été validé vendredi par le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, Aliou Sow, et les régions bénéficiaires.
La rencontre s’est déroulée au ministère de la Décentralisation et des Collectivités locales en présence du coordonnateur du TACC, du directeur de la Coopération décentralisée et des représentants du Programme des nations pour le développement (PNUD) et de la coopération belge.
L’enveloppe nécessaire à la réalisation du PTA s’élève 368 183 944 francs Cfa. Sur ce montant, 263 350 000 Francs Cfa sont disponibles.
Destiné aux régions de l’Entente Ferlo (Louga, Saint-Louis, Matam et Tambacounda) et à celles de Fatick, Kaolack et Kaffrine dont les présidents étaient à la réunion de validation, le TACC, qui est finalisé par le PNUD, est considérée comme une approche territoriale en matière de réponse au changement climatique.
Le programme qui est exécuté depuis un an malgré quelques ’’incompréhensions’’, a pour objectif de ‘’promouvoir des moyens d’existence et un développement durale basé sur une stratégie élaborée que s’approprient les acteurs régionaux et qui prend en compte les risques climatiques et les opportunités offertes par les changements climatiques’’, a expliqué le ministre Aliou Sow.
‘’Les perspectives pour 2011 s’annoncent prometteuses, par le biais de l’identification de nouveaux partenaires de la coopération décentralisée et de l’implication de l’ensemble des acteurs locaux, régionaux et nationaux (…)’’, a dit le ministre qui a assuré les régions bénéficiaires de son soutien.
Il a plaidé pour ‘’beaucoup d’efforts de coordination et de synergie, mais également une forte adhésion, voire une participation effective de toutes les parties’’.
Le TACC propose une approche nouvelle établie en 4 étapes : l’élaboration d’un cadre de gouvernance, le renforcement de capacité des acteurs territoriaux à déterminer les enjeux et risques climatiques, l’élaboration d’un Plan Climat Territorial Intégré (PCTI) qui répond aux besoins de la région et la définition et l’élaboration d’un portefeuille de projets éligibles à la finance carbone.
Le programme est financé par la région de Poitou Charente, la région Rhône Alpes, la Catalogne, la Belgique. Le Programme des Nations unies pour le développement s’est engagé à multiplier par 40 l’apport des partenaires, le gouvernement du Sénégal a promis d’y mettre 300 millions de francs Cfa.
OID/ASG
La rencontre s’est déroulée au ministère de la Décentralisation et des Collectivités locales en présence du coordonnateur du TACC, du directeur de la Coopération décentralisée et des représentants du Programme des nations pour le développement (PNUD) et de la coopération belge.
L’enveloppe nécessaire à la réalisation du PTA s’élève 368 183 944 francs Cfa. Sur ce montant, 263 350 000 Francs Cfa sont disponibles.
Destiné aux régions de l’Entente Ferlo (Louga, Saint-Louis, Matam et Tambacounda) et à celles de Fatick, Kaolack et Kaffrine dont les présidents étaient à la réunion de validation, le TACC, qui est finalisé par le PNUD, est considérée comme une approche territoriale en matière de réponse au changement climatique.
Le programme qui est exécuté depuis un an malgré quelques ’’incompréhensions’’, a pour objectif de ‘’promouvoir des moyens d’existence et un développement durale basé sur une stratégie élaborée que s’approprient les acteurs régionaux et qui prend en compte les risques climatiques et les opportunités offertes par les changements climatiques’’, a expliqué le ministre Aliou Sow.
‘’Les perspectives pour 2011 s’annoncent prometteuses, par le biais de l’identification de nouveaux partenaires de la coopération décentralisée et de l’implication de l’ensemble des acteurs locaux, régionaux et nationaux (…)’’, a dit le ministre qui a assuré les régions bénéficiaires de son soutien.
Il a plaidé pour ‘’beaucoup d’efforts de coordination et de synergie, mais également une forte adhésion, voire une participation effective de toutes les parties’’.
Le TACC propose une approche nouvelle établie en 4 étapes : l’élaboration d’un cadre de gouvernance, le renforcement de capacité des acteurs territoriaux à déterminer les enjeux et risques climatiques, l’élaboration d’un Plan Climat Territorial Intégré (PCTI) qui répond aux besoins de la région et la définition et l’élaboration d’un portefeuille de projets éligibles à la finance carbone.
Le programme est financé par la région de Poitou Charente, la région Rhône Alpes, la Catalogne, la Belgique. Le Programme des Nations unies pour le développement s’est engagé à multiplier par 40 l’apport des partenaires, le gouvernement du Sénégal a promis d’y mettre 300 millions de francs Cfa.
OID/ASG