Diourbel, 18 nov (APS) - La révision du Schéma régional d’aménagement du territoire (SRAT) a mobilisé lundi une bonne partie des compétences et personnes ressources de la région de Diourbel (Centre), à l'occasion d'un atelier de lancement d'une réflexion à poursuivre pendant cinq à six mois.
Le SRAT, qui met le cap sur l’horizon 2021, s'appuie sur un schéma similaire, qui a été élaboré en 1997 et mis à jour en 2004. La réflexion doit déboucher sur un document-cadre de diagnostic et de programmation du développement, à l'échelle de la région.
"C’est un exercice de collecte de données, d’échange et de concertation. Le SRAT doit partir d’une vision de développement prospectif définie par les populations", a expliqué le directeur de l’Agence régionale de développement (ARD), Mamadou Sène.
"On doit se poser les questions suivantes: que voulons-nous que notre région devienne en 2021 ? Quelle image projetons-nous de notre région, à l’horizon 2021 ?" a-t-il ajouté.
Un document de presse explique que "l’objectif visé est de doter la région de Diourbel d’un SRAT efficace, réaliste et opérationnel, pour un développement harmonieux, intégré et durable".
"L'accent sera surtout mis sur la nécessité d’une meilleure connaissance de la région, à travers ses contraintes et potentialités, d’une réduction des inégalités, d’une correction des déséquilibres, en plus de la réalisation d’infrastructures structurantes et aptes à porter les ambitions de développement de la région", indique le document de presse.
"Il est nécessaire que ce soit un exercice très dynamique, très dynamique et itératif", a souligné le directeur de l’ARD.
Les travaux ont été lancés sous la présidence de Babacar Ndiaye, l'adjoint du gouverneur, chargé du développement. C'était en présence du président du conseil régional, Serigne Fallou Mbacké, de quelques élus, de représentants des mouvements associatifs et des services techniques régionaux.
MD/ESF
Le SRAT, qui met le cap sur l’horizon 2021, s'appuie sur un schéma similaire, qui a été élaboré en 1997 et mis à jour en 2004. La réflexion doit déboucher sur un document-cadre de diagnostic et de programmation du développement, à l'échelle de la région.
"C’est un exercice de collecte de données, d’échange et de concertation. Le SRAT doit partir d’une vision de développement prospectif définie par les populations", a expliqué le directeur de l’Agence régionale de développement (ARD), Mamadou Sène.
"On doit se poser les questions suivantes: que voulons-nous que notre région devienne en 2021 ? Quelle image projetons-nous de notre région, à l’horizon 2021 ?" a-t-il ajouté.
Un document de presse explique que "l’objectif visé est de doter la région de Diourbel d’un SRAT efficace, réaliste et opérationnel, pour un développement harmonieux, intégré et durable".
"L'accent sera surtout mis sur la nécessité d’une meilleure connaissance de la région, à travers ses contraintes et potentialités, d’une réduction des inégalités, d’une correction des déséquilibres, en plus de la réalisation d’infrastructures structurantes et aptes à porter les ambitions de développement de la région", indique le document de presse.
"Il est nécessaire que ce soit un exercice très dynamique, très dynamique et itératif", a souligné le directeur de l’ARD.
Les travaux ont été lancés sous la présidence de Babacar Ndiaye, l'adjoint du gouverneur, chargé du développement. C'était en présence du président du conseil régional, Serigne Fallou Mbacké, de quelques élus, de représentants des mouvements associatifs et des services techniques régionaux.
MD/ESF