Après les acteurs non étatiques, les élus locaux, journalistes et communautés minières, l’ONG « La Lumière », dans le cadre de son programme de plaidoyer pour une gestion transparente de la rente minière au profit surtout des collectivités impactées et le respect de leurs droits économiques et sociaux, en partenariat avec l’ Union Européenne, a tenu une session d’information et de sensibilisation en direction des sénateurs membres des commissions « environnement, droits humains et de lois ».
Pour Ibrahima Sory Diallo, le secrétaire exécutif de « La Lumière », « personne mieux que les parlementaires ne saurait plaider en faveur des communautés minières et des populations dont ils portent les mandats. Sous ce rapport, nous aimerions qu’ils soient suffisamment imprégnés des réalités liées aux activités minières afin qu’ils puissent nous accompagner dans le processus de réforme nécessaire de certaines dispositions légales en vigueur » laissera-t-il entendre.
Les sénateurs ont été mis au parfum des opérations minières en cours, surtout des impacts négatifs sur l’environnement et certaines dispositions légales » piétinées par les compagnies avec la complicité de la tutelle » estime-t-on.
En effet, « jusqu’ici personne ne sait par quels mécanismes le programme social minier d’un montant de trois milliards et demi est géré ou encore quand est ce que les fonds de péréquation et d’appui aux collectivités locales ainsi que ceux inhérents à la réhabilitation des sites miniers seront mis en place ».
Mr Diallo poursuivra en mettant sur la table « l’épineuse problématique des formules de compensation des personnes expropriées de leurs terres et des questions liées aux déguerpissements en vue ». Pour le secrétaire exécutif de « La Lumière », il y a plus d’une raison « de revoir certaines choses si tant est que la transparence chantée sous tous les toits, et qui ne nécessiterait pas l’adhésion du Sénégal à l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives, est une réalité ».
Des sénateurs diront y voir plus clair en prenant langue avec les différents ministères concernés avant de faire dans un plaidoyer au seul profit des populations. D’ailleurs la quasi-totalité des habitants des deux régions souhaitent ardemment une visite de terrain des parlementaires des deux chambres, compte tenu de la situation qui prévaut.
Sud Quotidien
Pour Ibrahima Sory Diallo, le secrétaire exécutif de « La Lumière », « personne mieux que les parlementaires ne saurait plaider en faveur des communautés minières et des populations dont ils portent les mandats. Sous ce rapport, nous aimerions qu’ils soient suffisamment imprégnés des réalités liées aux activités minières afin qu’ils puissent nous accompagner dans le processus de réforme nécessaire de certaines dispositions légales en vigueur » laissera-t-il entendre.
Les sénateurs ont été mis au parfum des opérations minières en cours, surtout des impacts négatifs sur l’environnement et certaines dispositions légales » piétinées par les compagnies avec la complicité de la tutelle » estime-t-on.
En effet, « jusqu’ici personne ne sait par quels mécanismes le programme social minier d’un montant de trois milliards et demi est géré ou encore quand est ce que les fonds de péréquation et d’appui aux collectivités locales ainsi que ceux inhérents à la réhabilitation des sites miniers seront mis en place ».
Mr Diallo poursuivra en mettant sur la table « l’épineuse problématique des formules de compensation des personnes expropriées de leurs terres et des questions liées aux déguerpissements en vue ». Pour le secrétaire exécutif de « La Lumière », il y a plus d’une raison « de revoir certaines choses si tant est que la transparence chantée sous tous les toits, et qui ne nécessiterait pas l’adhésion du Sénégal à l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives, est une réalité ».
Des sénateurs diront y voir plus clair en prenant langue avec les différents ministères concernés avant de faire dans un plaidoyer au seul profit des populations. D’ailleurs la quasi-totalité des habitants des deux régions souhaitent ardemment une visite de terrain des parlementaires des deux chambres, compte tenu de la situation qui prévaut.
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