Sous la diligence du Programme d’appui à la décentralisation et au développement local (Proddel), fruit de l’appui technique de la coopération allemande, l’atelier qui a réuni divers experts de la gestion publique, élus locaux et représentants des institutions partenaires a été l’occasion d’un plaidoyer dynamique pour la formation du personnel d’appui au développement communautaire et notamment des agents municipaux chargés de l’exécution des politiques de gestion des communes et communautés rurales.
Pour la représentante du directeur du Programme d’appui à la décentralisation et au développement local (Proddel), Awa Guèye, l’atelier national sur les mesures de performances des collectivités locales s’inscrit dans un « exercice processuel visant à rendre plus efficiente et plus transparente la gestion des collectivités locales ». Et la responsable du Proddel de préciser que, de par sa vocation multidimensionnelle, la mesure de performances des collectivités constitue une expérience majeure que son institution a souhaité partager avec les acteurs impliqués dans le processus de décentralisation. D’autant que « les citoyens se doivent de relever le défi d’intégrer les intérêts de management, avec un outil de décentralisation qui est une pôle d’intervention prioritaire ».
Toutes choses auxquelles a largement souscrit M. Alé Lô, président de l’Union des associations des élus locaux ( Uael) avant d’indiquer toutefois : « Il faut d’abord régler le problème de l’insuffisance des capacités humaines et financières pour apporter une réponse à la demande locale. De ce fait, il faut utiliser tous les moyens et favoriser la participation du citoyen qui est une clé à la performance ». Pour sa part, le ministre délégué chargé des collectivités locales et de la décentralisation, M. Alioune Sow, a jugé nécessaire en tout premier lieu « de travailler dans l’efficacité et la bonne gouvernance dans la gestion des collectivités locales pour le pilotage de leur développement ».
Pour autant, l’atelier sur la mesure de performance des collectivités locales doit être l’occasion d’un renforcement dynamique de capacités pour les acteurs au développement local et leurs assistants, lesquels souffrent de manière drastique d’un déficit de formation. A terme, cela permettrait, selon le ministre, « d’alléger la décentralisation pour un meilleur développement ».
Pour y arriver, il importe par conséquent que « le personnel engagé au niveau des collectivités locales soit préparé au maniement des instruments de gestion pour avoir les moyens nécessaires d’accompagner la volonté de développement des élus locaux ». Selon le ministre, cela donnerait en effet aux acteurs les compétences requises pour « accompagner correctement le processus des gestion des ressources humaines et financières en cours dans les institutions régionales, municipales et rurales »
Sud Quotidien
Pour la représentante du directeur du Programme d’appui à la décentralisation et au développement local (Proddel), Awa Guèye, l’atelier national sur les mesures de performances des collectivités locales s’inscrit dans un « exercice processuel visant à rendre plus efficiente et plus transparente la gestion des collectivités locales ». Et la responsable du Proddel de préciser que, de par sa vocation multidimensionnelle, la mesure de performances des collectivités constitue une expérience majeure que son institution a souhaité partager avec les acteurs impliqués dans le processus de décentralisation. D’autant que « les citoyens se doivent de relever le défi d’intégrer les intérêts de management, avec un outil de décentralisation qui est une pôle d’intervention prioritaire ».
Toutes choses auxquelles a largement souscrit M. Alé Lô, président de l’Union des associations des élus locaux ( Uael) avant d’indiquer toutefois : « Il faut d’abord régler le problème de l’insuffisance des capacités humaines et financières pour apporter une réponse à la demande locale. De ce fait, il faut utiliser tous les moyens et favoriser la participation du citoyen qui est une clé à la performance ». Pour sa part, le ministre délégué chargé des collectivités locales et de la décentralisation, M. Alioune Sow, a jugé nécessaire en tout premier lieu « de travailler dans l’efficacité et la bonne gouvernance dans la gestion des collectivités locales pour le pilotage de leur développement ».
Pour autant, l’atelier sur la mesure de performance des collectivités locales doit être l’occasion d’un renforcement dynamique de capacités pour les acteurs au développement local et leurs assistants, lesquels souffrent de manière drastique d’un déficit de formation. A terme, cela permettrait, selon le ministre, « d’alléger la décentralisation pour un meilleur développement ».
Pour y arriver, il importe par conséquent que « le personnel engagé au niveau des collectivités locales soit préparé au maniement des instruments de gestion pour avoir les moyens nécessaires d’accompagner la volonté de développement des élus locaux ». Selon le ministre, cela donnerait en effet aux acteurs les compétences requises pour « accompagner correctement le processus des gestion des ressources humaines et financières en cours dans les institutions régionales, municipales et rurales »
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