Les auteurs de fraudes sur l’état civil seront désormais traqués par tous les moyens. Le ministre des Collectivités locales et de la Décentralisation l’a annoncé, hier, au cours, de l’ouverture de l’atelier de trois jours sur les enjeux et perspectives de l’état civil. Ousmane Masseck Ndiaye a déclaré que la loi se durcit pour punir les fraudeurs.
La modernisation du système de l’état civil doit toucher, selon le ministre d’Etat, tous les aspects de sa gestion de la déclaration universelle, la clarification et la responsabilité des acteurs, les modalités de délivrance et de conservation des registres, la lutte contre la fraude et l’informatisation du système.
Le ministre d’Etat a souligné qu’au-delà de la modernisation du système, il faut prendre en compte la lutte contre la fraude sous toutes ses formes. Ousmane Masseck Ndiaye a reconnu que la loi seule ne peut venir à bout de ce phénomène. Il a invité à une union sacrée de tous les responsables politiques, religieux, coutumiers pour influer positivement sur les mentalités. Le ministre des Collectivités locales et de la Décentralisation a expliqué les méfaits de la fraude sur l’état civil qui ternit l’image de marque de notre pays, mais aussi et surtout fausse les données statistiques. Il a dénoncé ces pratiques de la part d’acteurs du système de l’état civil. Le ministre d’Etat a invité les officiers de l’état civil à être davantage vigilants face à ce phénomène. Ousmane Masseck Ndiaye a indiqué qu’il va demander aux autorités judiciaires de veiller à une application stricte de la loi par la mise en œuvre de la politique de tolérance zéro à l’égard des fraudeurs. Il a ajouté qu’un durcissement de la loi sera étudié et transmis au gouvernement.
L’atelier qui regroupe tous les acteurs et partenaires devra aboutir à l’élaboration d’outils de sensibilisation sur les méfaits de la fraude et d’un plan national de modernisation de l’état civil. Les travaux qui commencent ce matin s’articulent autour de trois groupes pour réfléchir sur le cadre juridique, institutionnel et organisationnel, le cadre humain, matériel et financier et l’informatisation.
Le Soleil
La modernisation du système de l’état civil doit toucher, selon le ministre d’Etat, tous les aspects de sa gestion de la déclaration universelle, la clarification et la responsabilité des acteurs, les modalités de délivrance et de conservation des registres, la lutte contre la fraude et l’informatisation du système.
Le ministre d’Etat a souligné qu’au-delà de la modernisation du système, il faut prendre en compte la lutte contre la fraude sous toutes ses formes. Ousmane Masseck Ndiaye a reconnu que la loi seule ne peut venir à bout de ce phénomène. Il a invité à une union sacrée de tous les responsables politiques, religieux, coutumiers pour influer positivement sur les mentalités. Le ministre des Collectivités locales et de la Décentralisation a expliqué les méfaits de la fraude sur l’état civil qui ternit l’image de marque de notre pays, mais aussi et surtout fausse les données statistiques. Il a dénoncé ces pratiques de la part d’acteurs du système de l’état civil. Le ministre d’Etat a invité les officiers de l’état civil à être davantage vigilants face à ce phénomène. Ousmane Masseck Ndiaye a indiqué qu’il va demander aux autorités judiciaires de veiller à une application stricte de la loi par la mise en œuvre de la politique de tolérance zéro à l’égard des fraudeurs. Il a ajouté qu’un durcissement de la loi sera étudié et transmis au gouvernement.
L’atelier qui regroupe tous les acteurs et partenaires devra aboutir à l’élaboration d’outils de sensibilisation sur les méfaits de la fraude et d’un plan national de modernisation de l’état civil. Les travaux qui commencent ce matin s’articulent autour de trois groupes pour réfléchir sur le cadre juridique, institutionnel et organisationnel, le cadre humain, matériel et financier et l’informatisation.
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