Le représentant résident du Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud) appelle les agences du système de l’Onu à soutenir le projet des villages du millénaire. Bouri Sanhouidi a trouvé le modèle de Louga très réussi dans la communauté rurale de Léona (département de Louga).
Il conduisait une mission pour visiter les réalisations du projet des villages du millénaire dans la communauté rurale de Léona, après un an et demi de mise en oeuvre. Le représentant résident du Pnud a trouvé que les actions menées dans les secteurs prioritaires du développement ont eu un impact positif sur les conditions d’existence des populations. Avec ses 30.000 habitants, Léona est aujourd’hui sur le plan sanitaire à un pas près du ratio un poste de santé pour 6000 habitants, avec 5 structures dont 4 nouvellement construites par le projet qui expérimente également la gratuité des soins de base. Pour le secteur de l’éducation, la localité sera dans deux ans la seule à ne pas disposer d’abris provisoires avec une soixantaine de nouvelles constructions de salles de classes en cours. Concernant l’élevage, la sécurité sanitaire et alimentaire du bétail est presque garantie (70.000 sujets vaccinés et 145 tonnes d’aliments de bétail disponibles) pour permettre d’augmenter les productions grâce à l’insémination artificielle. L’agriculture n’est pas en reste avec les nombreuses subventions accordées par le projet pour les semences et matériels aux producteurs des Niayes et du Diéry qui disposent d’eau grâce aux adductions. Autant d’actions inscrites dans le cadre des objectifs du millénaire pour le développement et qui contribuent à changer, selon les experts du Pnud, les conditions d’existence des populations qui sortent petit à petit des griffes de la pauvreté. « Cette expérimentation est un modèle qui marche et qui a réussi, et peut même être repiquée dans les autres pays. Les programmes en cours dans le monde rural peuvent s’inspirer de ce modèle en renforçant les interventions et veiller à ce concept d’une approche intégrée du développement », a déclaré Bouri Sanhouidi. Pour le représentant résident, il faut consolider le projet. Il compte sensibiliser les organes du système des Nations Unies à se mobiliser pour le soutenir. Il a, en outre, salué la synergie des acteurs, notamment l’équipe du projet, les services techniques et les autres partenaires, mais également l’engagement et la mobilisation des communautés locales.
Le Soleil
Il conduisait une mission pour visiter les réalisations du projet des villages du millénaire dans la communauté rurale de Léona, après un an et demi de mise en oeuvre. Le représentant résident du Pnud a trouvé que les actions menées dans les secteurs prioritaires du développement ont eu un impact positif sur les conditions d’existence des populations. Avec ses 30.000 habitants, Léona est aujourd’hui sur le plan sanitaire à un pas près du ratio un poste de santé pour 6000 habitants, avec 5 structures dont 4 nouvellement construites par le projet qui expérimente également la gratuité des soins de base. Pour le secteur de l’éducation, la localité sera dans deux ans la seule à ne pas disposer d’abris provisoires avec une soixantaine de nouvelles constructions de salles de classes en cours. Concernant l’élevage, la sécurité sanitaire et alimentaire du bétail est presque garantie (70.000 sujets vaccinés et 145 tonnes d’aliments de bétail disponibles) pour permettre d’augmenter les productions grâce à l’insémination artificielle. L’agriculture n’est pas en reste avec les nombreuses subventions accordées par le projet pour les semences et matériels aux producteurs des Niayes et du Diéry qui disposent d’eau grâce aux adductions. Autant d’actions inscrites dans le cadre des objectifs du millénaire pour le développement et qui contribuent à changer, selon les experts du Pnud, les conditions d’existence des populations qui sortent petit à petit des griffes de la pauvreté. « Cette expérimentation est un modèle qui marche et qui a réussi, et peut même être repiquée dans les autres pays. Les programmes en cours dans le monde rural peuvent s’inspirer de ce modèle en renforçant les interventions et veiller à ce concept d’une approche intégrée du développement », a déclaré Bouri Sanhouidi. Pour le représentant résident, il faut consolider le projet. Il compte sensibiliser les organes du système des Nations Unies à se mobiliser pour le soutenir. Il a, en outre, salué la synergie des acteurs, notamment l’équipe du projet, les services techniques et les autres partenaires, mais également l’engagement et la mobilisation des communautés locales.
Le Soleil