Kolda, 18 nov (APS) - L’inspecteur de l’éducation et de la formation de Gossas (Centre-ouest), Bassirou Tine, a plaidé pour une implication des acteurs dans la mise en œuvre du processus de vulgarisation et d’appropriation de la réforme du curriculum dans le système éducatif.
"Il ne faut pas être dans une logique qui permettra de croiser les bras et attendre des ressources financières pour le travail de vulgarisation du curriculum afin de permettre aux populations de s’en approprier", a-t-il dit lundi à Kolda (Sud).
Selon l'inspecteur, l’argent ne doit pas conditionné l'engagement des acteurs pour faire le travail attendu d'eux. "Il faut l’implication de tous les acteurs pour arriver à la vulgarisation de la réforme du curriculum", a-t-il estimé.
M. Tine s'exprimait en marge de la clôture d'une rencontre de trois jours sur le curriculum avec des journalistes des régions du Sud et Est, à l’initiative du Réseau des radios communautaires et du ministère de l’Education nationale.
Il a en outre exhorté les journalistes à s’investir davantage dans la vulgarisation de cette réforme pour permettre une large compréhension par les populations afin de les amener à s’approprier du système éducatif notamment à travers la généralisation du curriculum dans le cycle primaire.
Pendant trois jours, la rencontre a favorisé des échanges d'information et de partage sur cette réforme du curriculum, entre experts de l’éducation et des journalistes des régions de Sédhiou, Kolda, Kédougou et Tambacounda.
L’objectif de la rencontre du Fouladou était de comprendre les phases de la reforme sur le curriculum, son élaboration, sa mise en œuvre, son évaluation, les problèmes de suivi et les manuels adéquats, etc.
Le but est d'aller vers une planification d’activités portées par des médias en vue de toucher les populations dans la grande diversité.
MG/SAB
"Il ne faut pas être dans une logique qui permettra de croiser les bras et attendre des ressources financières pour le travail de vulgarisation du curriculum afin de permettre aux populations de s’en approprier", a-t-il dit lundi à Kolda (Sud).
Selon l'inspecteur, l’argent ne doit pas conditionné l'engagement des acteurs pour faire le travail attendu d'eux. "Il faut l’implication de tous les acteurs pour arriver à la vulgarisation de la réforme du curriculum", a-t-il estimé.
M. Tine s'exprimait en marge de la clôture d'une rencontre de trois jours sur le curriculum avec des journalistes des régions du Sud et Est, à l’initiative du Réseau des radios communautaires et du ministère de l’Education nationale.
Il a en outre exhorté les journalistes à s’investir davantage dans la vulgarisation de cette réforme pour permettre une large compréhension par les populations afin de les amener à s’approprier du système éducatif notamment à travers la généralisation du curriculum dans le cycle primaire.
Pendant trois jours, la rencontre a favorisé des échanges d'information et de partage sur cette réforme du curriculum, entre experts de l’éducation et des journalistes des régions de Sédhiou, Kolda, Kédougou et Tambacounda.
L’objectif de la rencontre du Fouladou était de comprendre les phases de la reforme sur le curriculum, son élaboration, sa mise en œuvre, son évaluation, les problèmes de suivi et les manuels adéquats, etc.
Le but est d'aller vers une planification d’activités portées par des médias en vue de toucher les populations dans la grande diversité.
MG/SAB