Le Salon international de l’Eau et de l’Assainissement a été ouvert avant-hier par les ministres Oumar Sarr et Souleymane Ndédé Ndiaye qui ont souligné la pertinence de ce salon dans un contexte de raréfaction de la ressources en eau. Le ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, de l’Hydraulique urbaine, de l’Hygiène publique et de l’Assainissement, Oumar Sarr a axé son intervention sur la capitalisation des expertises et des techniques pour accélérer l’atteinte des Objectif du Millénaire pour le développement (Omd) dans le cadre du volet eau.
Le 4e Salon international de l’Eau et l’Assainissement a été ouvert avant-hier par le ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, de l’Hydraulique urbaine, de l’Hygiène publique et de l’Assainissement, Oumar Sarr, et le ministre d’Etat de l’Economie Maritime, Ousmane Ndéné Ndiaye. Cette rencontre a vu la participation d’une quinzaine de pays de la sous-région et d’autres continents. Les exposants ont présenté leurs techniques d’épuration, de drainage ou d’exploration des eaux de surface ou des eaux souterraines. Cette panoplie de techniques et d’expertise peuvent améliorer les conditions de vie des populations aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. « C’est un salon qui a connu un grand succès vu le nombre de participation. En plus des matériels pour le drainage et l’assainissement. Il y a des atouts en matière d’assainissement et d’alimentation de l’eau pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Nous devons accélérer le processus par la mise en place des structures », a laissé entendre Oumar Sarr. Prenant, la parole, le ministre du Transport maritime pour sa part a félicité l’initiateur du Salon Mamadou Ndiaye. « Ce 4e édition nous donne l’occasion de comprendre que l’eau peut améliorer les conditions de vie des populations aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain », a laissé entendre Souleymane Ndéné Ndiaye.
Des experts venus d’autres horizons veulent partager les techniques de drainage et de freinage de l’érosion côtière comme le filtre Geolon qui est placé entre le sol support et les couches d’enrochement ou de blocs de bétons. « Nous avons des techniques simples et à moindre coût pour le drainage et la lutte contre l’érosion côtière, la protection des routes. Ce sont des techniques qui proposent des solutions durables à moindre coûts. Nous voulons partager toute cette expertise », a dit Albert Koffler de Solutions Géo-synthétiques et Techniques Environnement. Le partage de l’expérience sur la question de l’eau c’est là tout le sens de cette rencontre dont le but d’offrir l’occasion aux acteurs d’échanger sur les questions de l’eau qui devient de plus en plus une denrée rare. 400 millions d’africains n’ont pas accès à l’eau potable selon le journal de la Femme affiché sur les stands d’un exposant. « J’ai voulu pérenniser ce salon conformément à la demande du président de la République, Abdoulaye Wade pour faire rencontrer les acteurs et les décideurs pour échanger sur les questions de l’eau », a dit l’organisateur du Salon, Mamadou Mbaye. Aujourd’hui, il est important de discuter et de proposer des solutions viables face à la diminution inquiétante de la ressource en eau en Afrique et à travers le monde. Selon le laboratoire d’études des transferts en hydrologie et environnement les volumes en eau de surface et de profondeur sont en constance baisse en Afrique de l’Ouest. Le débit fleuve Sénégal a baissé de 60 % celui du Niger de 40 %, alors que dans le même temps les populations de ces pays continuent d’augmenter.
Le Soleil
Le 4e Salon international de l’Eau et l’Assainissement a été ouvert avant-hier par le ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, de l’Hydraulique urbaine, de l’Hygiène publique et de l’Assainissement, Oumar Sarr, et le ministre d’Etat de l’Economie Maritime, Ousmane Ndéné Ndiaye. Cette rencontre a vu la participation d’une quinzaine de pays de la sous-région et d’autres continents. Les exposants ont présenté leurs techniques d’épuration, de drainage ou d’exploration des eaux de surface ou des eaux souterraines. Cette panoplie de techniques et d’expertise peuvent améliorer les conditions de vie des populations aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. « C’est un salon qui a connu un grand succès vu le nombre de participation. En plus des matériels pour le drainage et l’assainissement. Il y a des atouts en matière d’assainissement et d’alimentation de l’eau pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Nous devons accélérer le processus par la mise en place des structures », a laissé entendre Oumar Sarr. Prenant, la parole, le ministre du Transport maritime pour sa part a félicité l’initiateur du Salon Mamadou Ndiaye. « Ce 4e édition nous donne l’occasion de comprendre que l’eau peut améliorer les conditions de vie des populations aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain », a laissé entendre Souleymane Ndéné Ndiaye.
Des experts venus d’autres horizons veulent partager les techniques de drainage et de freinage de l’érosion côtière comme le filtre Geolon qui est placé entre le sol support et les couches d’enrochement ou de blocs de bétons. « Nous avons des techniques simples et à moindre coût pour le drainage et la lutte contre l’érosion côtière, la protection des routes. Ce sont des techniques qui proposent des solutions durables à moindre coûts. Nous voulons partager toute cette expertise », a dit Albert Koffler de Solutions Géo-synthétiques et Techniques Environnement. Le partage de l’expérience sur la question de l’eau c’est là tout le sens de cette rencontre dont le but d’offrir l’occasion aux acteurs d’échanger sur les questions de l’eau qui devient de plus en plus une denrée rare. 400 millions d’africains n’ont pas accès à l’eau potable selon le journal de la Femme affiché sur les stands d’un exposant. « J’ai voulu pérenniser ce salon conformément à la demande du président de la République, Abdoulaye Wade pour faire rencontrer les acteurs et les décideurs pour échanger sur les questions de l’eau », a dit l’organisateur du Salon, Mamadou Mbaye. Aujourd’hui, il est important de discuter et de proposer des solutions viables face à la diminution inquiétante de la ressource en eau en Afrique et à travers le monde. Selon le laboratoire d’études des transferts en hydrologie et environnement les volumes en eau de surface et de profondeur sont en constance baisse en Afrique de l’Ouest. Le débit fleuve Sénégal a baissé de 60 % celui du Niger de 40 %, alors que dans le même temps les populations de ces pays continuent d’augmenter.
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