DIOURBEL : L’eau généralement consommée par les populations de la région de Diourbel n’est pas d’une très bonne qualité. Elle contient du sel et du fluor. Pour un bon approvisionnement en eau potable des populations, une unité de traitement d’eau en expérimentation a été installée récemment dans le village de Thiakhar (région de Diourbel) dans le cadre du projet Paberba, financé par la Belgique. L’annonce a été faite par le chef de la brigade des puits et forages, Mamadou Diokh, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de l’Eau.
Le chef de la brigade des puits et forages a rappelé que la région de Diourbel ne regorge pas d’eau de surface « parce que les vallées du Sine et du Car-Car qui la traversent son fossilisées. Pour l’approvisionnement en eau des populations, nous n’avons recours qu’aux eaux souterraines et principalement la nappe maestrichtienne qui fournit des volumes assez importants, mais dont la qualité laisse à désirer. Il y a un taux assez élevé de sel et de fluor qui ne favorise pas un bon approvisionnement en eau des populations », a dit Mamadou Diokh.
Selon lui, l’objectif du gouvernement est de fournir de l’eau potable à la population afin de réduire les maladies liées à la consommation d’une eau de mauvaise qualité. Aussi, a-t-il révélé que dans le cadre du projet d’amélioration, de renforcement de points d’eau du bassin arachidier (Paberba) financé par la Belgique dont une bonne partie est exécutée dans la région de Diourbel, il y a des tentatives de traitement d’eau. « Ce qui nous a conduit à l’installation d’une unité d’osmose inverse au niveau du forage du village de Thiakhar dans le département de Bambey », a-t-il fait savoir.
Mamadou Diokh a, par ailleurs, déclaré que ladite unité de traitement vient d’être réceptionnée et que si le test est concluant, ces actions seront démultipliées dans le cadre du nouveau Programme eau et assainissement pour le millénaire (Pepam) financé par la Belgique dans le bassin arachidier.
Le Soleil
Le chef de la brigade des puits et forages a rappelé que la région de Diourbel ne regorge pas d’eau de surface « parce que les vallées du Sine et du Car-Car qui la traversent son fossilisées. Pour l’approvisionnement en eau des populations, nous n’avons recours qu’aux eaux souterraines et principalement la nappe maestrichtienne qui fournit des volumes assez importants, mais dont la qualité laisse à désirer. Il y a un taux assez élevé de sel et de fluor qui ne favorise pas un bon approvisionnement en eau des populations », a dit Mamadou Diokh.
Selon lui, l’objectif du gouvernement est de fournir de l’eau potable à la population afin de réduire les maladies liées à la consommation d’une eau de mauvaise qualité. Aussi, a-t-il révélé que dans le cadre du projet d’amélioration, de renforcement de points d’eau du bassin arachidier (Paberba) financé par la Belgique dont une bonne partie est exécutée dans la région de Diourbel, il y a des tentatives de traitement d’eau. « Ce qui nous a conduit à l’installation d’une unité d’osmose inverse au niveau du forage du village de Thiakhar dans le département de Bambey », a-t-il fait savoir.
Mamadou Diokh a, par ailleurs, déclaré que ladite unité de traitement vient d’être réceptionnée et que si le test est concluant, ces actions seront démultipliées dans le cadre du nouveau Programme eau et assainissement pour le millénaire (Pepam) financé par la Belgique dans le bassin arachidier.
Le Soleil