L’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) nécessite l’implication de tous. Même si le Sénégal a réalisé des progrès dans le domaine éducatif avec un Taux brut de scolarisation (Tbs) qui est passé à 82,5% en 2005 contre 68%en 1995 et en matière de santé avec un taux de mortalité infanto juvénile de 145,3 pour mille en 97 contre 61 pour mille en 2005, etc.
Les progrès enregistrés dans le cadre de la réalisation des OMD les resultants restent d’un manière globale mitigés. C’est du moins la conviction des autorités en charge du volontariat au Sénégal. Ainsi, selon ces derniers réunis hier à l’occasion de l’atelier national de restitution et de validation de l’avant projet l’étude sur le cadre légal du volontariat et son utilisation au Sénégal. « Pour la réalisation des OMD, les organisations de la société civile (Osc) ont un rôle important à jouer compte tenu de leur proximité avec les populations à la base, du nombre de volontaires qu’ils peuvent mobiliser ».
D’après ces derniers, « il demeure cependant que le volontariat n’est pas pleinement exploité comme stratégie de réalisation de ces interventions par le gouvernement » malgré l’existence de divers corps de volontaires comme le service civique national et les volontaires de l’éducation. Face à cette situation, ils estiment que la mise sur pied d’un cadre légal et réglementaire du volontariat national et sur son utilisation est nécessaire. Pour Abdou Karim Lô délégué à la réforme de l’Etat et à l’assistance technique « c’est grâce au volontariat que certains domaines ont émergé. L’Etat seul ne peut pas tout faire.
C’est pourquoi il faut développer le volontariat en vue d’un développement durable ». Il est à noter que dans le cadre de la mise en oeuvre de tout cela, le gouvernement du Sénégal en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) et le Programme des volontaires des Nations Unies (Pvnu) ont mis sur pied un Projet d’appui à la promotion du volontariat (Acroprov). Ce programme vise la réalisation des OMD par le renforcement des capacités nationales de coordination et de promotion du volontaire à travers l’élaboration d’un cadre légal.
Les progrès enregistrés dans le cadre de la réalisation des OMD les resultants restent d’un manière globale mitigés. C’est du moins la conviction des autorités en charge du volontariat au Sénégal. Ainsi, selon ces derniers réunis hier à l’occasion de l’atelier national de restitution et de validation de l’avant projet l’étude sur le cadre légal du volontariat et son utilisation au Sénégal. « Pour la réalisation des OMD, les organisations de la société civile (Osc) ont un rôle important à jouer compte tenu de leur proximité avec les populations à la base, du nombre de volontaires qu’ils peuvent mobiliser ».
D’après ces derniers, « il demeure cependant que le volontariat n’est pas pleinement exploité comme stratégie de réalisation de ces interventions par le gouvernement » malgré l’existence de divers corps de volontaires comme le service civique national et les volontaires de l’éducation. Face à cette situation, ils estiment que la mise sur pied d’un cadre légal et réglementaire du volontariat national et sur son utilisation est nécessaire. Pour Abdou Karim Lô délégué à la réforme de l’Etat et à l’assistance technique « c’est grâce au volontariat que certains domaines ont émergé. L’Etat seul ne peut pas tout faire.
C’est pourquoi il faut développer le volontariat en vue d’un développement durable ». Il est à noter que dans le cadre de la mise en oeuvre de tout cela, le gouvernement du Sénégal en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) et le Programme des volontaires des Nations Unies (Pvnu) ont mis sur pied un Projet d’appui à la promotion du volontariat (Acroprov). Ce programme vise la réalisation des OMD par le renforcement des capacités nationales de coordination et de promotion du volontaire à travers l’élaboration d’un cadre légal.