Ce samedi 23 juin prendra fin à Kaolack, une session de formation destinée aux professionnels de l’élevage du bassin arachidier. Une initiative que le Projet d’Appui à l’Elevage (Papel) avait débuté depuis le 19 juin passé. Une quarantaine de participants se sont initiés à la gestion d’une micro entreprise rurale, génératrice de revenus. Selon le communiqué parvenu à notre rédaction, la plupart, les bénéficiaires de cette formation sont impliqués dans des opérations d’embouche ou de productions ou de commercialisation de lait et produits laitiers et de viande de boucherie.
Le Bassin arachidier est présenté comme étant une zone à la faveur de l’insémination artificielle, d’un accès de plus en plus facile au crédit et de l’écosystème favorable à l’intensification des productions animales. A en croire le Papel, de plus en plus, naissent des micro-entreprises exploitant des animaux d’embouche, des laitières ou commercialisant des produits animaux. Et de préciser que, d’autres apprenants sont des membres de Comités de Gestion des centrales d’achat d’aliments de bétails, d’organes dirigeants de structures communautaires ou des commissaires aux comptes. Selon le communiqué, cette formation renforcera les capacités des apprenants pour les aider à mieux gérer leur exploitation.
C’est ainsi qu’ils seront initiés à la comptabilité en matière et financière pour pouvoir établir des comptes d’exploitation utilisables comme tableau de bord pour mieux suivre la rentabilité de leur exploitation ou, au besoin apporter des correctifs. Le communiqué d’ajouter que la formation complète d’autres actions auparavant menées et qui visent à renforcer les capacités organisationnelles et techniques des professionnels de l’élevage dans les zones d’intervention du Papel. Concernant le renforcement des capacités organisationnelles, le Papel, avec le concours d’opérateurs spécialisés, a déroulé un processus participatif qui, au niveau des organisations existantes, a favorisé la contractualisation des fonctions opérationnelles, un fonctionnement et une gestion plus transparents des organes et ressources, l’installation de sièges plus visibles et fonctionnels pouvant être des centres de services (photocopies, saisie de textes, études de projets,…).
En plus, le réseau de relais communautaires a été renforcé avec la formation de vaccinateurs de volaille, d’inséminateurs, de multiplicateurs de semences. Pour rappel, le Papel financé pour un montant de 10 Milliards de F Cfa dont 85 % par le Fonds Fad et 15% par l’Etat du Sénégal permet de renforcer la sécurité alimentaire et réduire de 20% le nombre de personnes en dessous du seuil de pauvreté des populations du Bassin arachidier et dans la zone sylvo pastorale. Par l’augmentation, en année de croisière 2010, de la production de la viande et du lait respectivement de 40 813 tonnes et de 42 402 000 litres de lait ainsi qu’un accroissement de revenu de 25 000 à 7 000 000 F Cfa.
Sud Quotidien
Le Bassin arachidier est présenté comme étant une zone à la faveur de l’insémination artificielle, d’un accès de plus en plus facile au crédit et de l’écosystème favorable à l’intensification des productions animales. A en croire le Papel, de plus en plus, naissent des micro-entreprises exploitant des animaux d’embouche, des laitières ou commercialisant des produits animaux. Et de préciser que, d’autres apprenants sont des membres de Comités de Gestion des centrales d’achat d’aliments de bétails, d’organes dirigeants de structures communautaires ou des commissaires aux comptes. Selon le communiqué, cette formation renforcera les capacités des apprenants pour les aider à mieux gérer leur exploitation.
C’est ainsi qu’ils seront initiés à la comptabilité en matière et financière pour pouvoir établir des comptes d’exploitation utilisables comme tableau de bord pour mieux suivre la rentabilité de leur exploitation ou, au besoin apporter des correctifs. Le communiqué d’ajouter que la formation complète d’autres actions auparavant menées et qui visent à renforcer les capacités organisationnelles et techniques des professionnels de l’élevage dans les zones d’intervention du Papel. Concernant le renforcement des capacités organisationnelles, le Papel, avec le concours d’opérateurs spécialisés, a déroulé un processus participatif qui, au niveau des organisations existantes, a favorisé la contractualisation des fonctions opérationnelles, un fonctionnement et une gestion plus transparents des organes et ressources, l’installation de sièges plus visibles et fonctionnels pouvant être des centres de services (photocopies, saisie de textes, études de projets,…).
En plus, le réseau de relais communautaires a été renforcé avec la formation de vaccinateurs de volaille, d’inséminateurs, de multiplicateurs de semences. Pour rappel, le Papel financé pour un montant de 10 Milliards de F Cfa dont 85 % par le Fonds Fad et 15% par l’Etat du Sénégal permet de renforcer la sécurité alimentaire et réduire de 20% le nombre de personnes en dessous du seuil de pauvreté des populations du Bassin arachidier et dans la zone sylvo pastorale. Par l’augmentation, en année de croisière 2010, de la production de la viande et du lait respectivement de 40 813 tonnes et de 42 402 000 litres de lait ainsi qu’un accroissement de revenu de 25 000 à 7 000 000 F Cfa.
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