En prélude à la revue annuelle conjointe du programme de l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid) de cette semaine, celle-ci a rencontré, jeudi dernier, la presse économique au Sénégal.
Selon le directeur du bureau économique de cette l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid), Peter Trenchard, « au cours de la revue annuelle, l’ensemble des projets en cours financés par l’Usaid sera passé en revue pour évaluer l’état d’avancement des activités au plan technique, administratif et financier ». La rencontre sera co-présidée par le ministre des Finances et le directeur de l’Usaid, en présence des représentants des ministères techniques concernés. La revue annuelle conjointe va permettre de faire l’Etat des lieux des réalisations faites et en cours, mais aussi celles prévues. De même, les difficultés seront identifiées et des solutions arrêtées d’un commun accord. La revue annuelle fait ensuite des recommandations à l’ensemble des deux parties portant sur le réaménagement ou l’approfondissement des résultats et des objectifs stratégiques à réaliser, mais également sur les mesures à mettre en œuvre pour lever les principales contraintes liées à l’exécution satisfaisante des projets.
L’Usaid est l’agence principale du gouvernement américain chargée de développement économique et d’assistance humanitaire aux peuples du monde entier. Elle a investi, au Sénégal, plus d’un milliard de dollars dans une grande diversité de projets depuis 1961, afin de s’attaquer aux contraintes au développement national. Elle encourage la croissance économique, renforce la démocratie à la base et soutient les initiatives communautaires de paix, entre autres. Pour ce faire, plusieurs programmes ont été mis sur pied. C’est le cas de celui économique dénommé « Sagic » qui s’étend de décembre 2005 à décembre 2010, avec un budget près de 6 milliards de Cfa, et du programme de gestion de l’agriculture et des ressources naturelles. La phase I de ce dernier programme, appelé aussi « Wula Nafaa », a duré 5 ans. Elle est arrivée à terme en juillet 2008. La phase II de ce projet va de 2009 à 2014. Elle est dotée d’un budget de 5.401.702.630 Cfa. Les zones d’intervention, qui couvraient lors de la première phase les régions de Tambacounda, Kédougou, Kolda et Ziguinchor, sont étendues à une nouvelle zone écologique comprenant la zone côtière et le delta des fleuves Casamance et Sine-Saloum. La gestion des ressources halieutiques, l’eau potable et l’assainissement figurent dans le tableau de bord de cette seconde phase.
Aly DIOUF
Le Soleil
Selon le directeur du bureau économique de cette l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid), Peter Trenchard, « au cours de la revue annuelle, l’ensemble des projets en cours financés par l’Usaid sera passé en revue pour évaluer l’état d’avancement des activités au plan technique, administratif et financier ». La rencontre sera co-présidée par le ministre des Finances et le directeur de l’Usaid, en présence des représentants des ministères techniques concernés. La revue annuelle conjointe va permettre de faire l’Etat des lieux des réalisations faites et en cours, mais aussi celles prévues. De même, les difficultés seront identifiées et des solutions arrêtées d’un commun accord. La revue annuelle fait ensuite des recommandations à l’ensemble des deux parties portant sur le réaménagement ou l’approfondissement des résultats et des objectifs stratégiques à réaliser, mais également sur les mesures à mettre en œuvre pour lever les principales contraintes liées à l’exécution satisfaisante des projets.
L’Usaid est l’agence principale du gouvernement américain chargée de développement économique et d’assistance humanitaire aux peuples du monde entier. Elle a investi, au Sénégal, plus d’un milliard de dollars dans une grande diversité de projets depuis 1961, afin de s’attaquer aux contraintes au développement national. Elle encourage la croissance économique, renforce la démocratie à la base et soutient les initiatives communautaires de paix, entre autres. Pour ce faire, plusieurs programmes ont été mis sur pied. C’est le cas de celui économique dénommé « Sagic » qui s’étend de décembre 2005 à décembre 2010, avec un budget près de 6 milliards de Cfa, et du programme de gestion de l’agriculture et des ressources naturelles. La phase I de ce dernier programme, appelé aussi « Wula Nafaa », a duré 5 ans. Elle est arrivée à terme en juillet 2008. La phase II de ce projet va de 2009 à 2014. Elle est dotée d’un budget de 5.401.702.630 Cfa. Les zones d’intervention, qui couvraient lors de la première phase les régions de Tambacounda, Kédougou, Kolda et Ziguinchor, sont étendues à une nouvelle zone écologique comprenant la zone côtière et le delta des fleuves Casamance et Sine-Saloum. La gestion des ressources halieutiques, l’eau potable et l’assainissement figurent dans le tableau de bord de cette seconde phase.
Aly DIOUF
Le Soleil