Le président de l’Organisation des professionnels des technologies de l’information et de la communication (Optic), syndicat affilié au Conseil national du patronat (Cnp), a exprimé hier son souhait de dépasser le taux de 7 % de contribution du secteur des Tic dans l’économie sénégalaise. Antoine Ngom qui présentait ce syndicat patronal à Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’Economie numérique de la France a manifesté sa volonté d’atteindre la barre des 15 % de contribution au produit intérieur brut (Pib) du Sénégal. ‘Le secteur des Tic revêt un grand potentiel pour être un fort levier de croissance pour l’économie sénégalaise. Mais sa contribution de 7 % au Pib est faible et nous voudrons la porter à 15 % en 2015’, a-t-il affirmé devant Mme le ministre qui était en visite au Cnp avec la délégation qui l’accompagnait. ‘Des initiatives ont été prises par les pouvoirs publics pour mettre en place un dispositif institutionnel à travers des structures et des textes. Mais, sur le terrain, cela ne s’est pas traduit par une politique volontariste à la hauteur des ambitions affichées’, a-t-il ajouté. C’est ce qui explique, à son avis, le fait que le secteur des Tics soit relativement sinistré.
N’empêche que M Ngom continue à y croire et à impulser des dynamiques collectives à fort impact. Et il compte s’appuyer sur le potentiel existant pour réaliser son ambition. ‘Le potentiel est là, les axes de croissance sont identifiés et une organisation est là pour fédérer toutes les énergies et servir de cadre pour impulser des dynamiques collectives’, a-t-il indiqué.
Aussi, le président de ladite organisation a-t-il marqué toute sa disposition à collaborer avec le département français de la Prospective et du Développement de l’Economie numérique mais également à initier des partenariats gagnant-gagnant avec des structures françaises. Dans cette perspective, M Ngom a notamment plaidé, en plus du renforcement des capacités de leur organisation, en faveur d’un partenariat public-privé fort, d’un accès à la commande publique pour les Petites et moyennes entreprises (Pme) locales, d’un accès aux secteurs fortement générateurs de valeurs.
Prenant la parole à son tour, la secrétaire d’Etat française a partagé le point de vue de son hôte sur beaucoup de sujets dont notamment le potentiel existant. Elle a annoncé la mise en place de trois fonds destinés à développer les Tics notamment dans l’éducation (50 millions d’euros) et la justice 100 millions d’euros environ.
Ndakhté M GAYE
Wal Fadjri
N’empêche que M Ngom continue à y croire et à impulser des dynamiques collectives à fort impact. Et il compte s’appuyer sur le potentiel existant pour réaliser son ambition. ‘Le potentiel est là, les axes de croissance sont identifiés et une organisation est là pour fédérer toutes les énergies et servir de cadre pour impulser des dynamiques collectives’, a-t-il indiqué.
Aussi, le président de ladite organisation a-t-il marqué toute sa disposition à collaborer avec le département français de la Prospective et du Développement de l’Economie numérique mais également à initier des partenariats gagnant-gagnant avec des structures françaises. Dans cette perspective, M Ngom a notamment plaidé, en plus du renforcement des capacités de leur organisation, en faveur d’un partenariat public-privé fort, d’un accès à la commande publique pour les Petites et moyennes entreprises (Pme) locales, d’un accès aux secteurs fortement générateurs de valeurs.
Prenant la parole à son tour, la secrétaire d’Etat française a partagé le point de vue de son hôte sur beaucoup de sujets dont notamment le potentiel existant. Elle a annoncé la mise en place de trois fonds destinés à développer les Tics notamment dans l’éducation (50 millions d’euros) et la justice 100 millions d’euros environ.
Ndakhté M GAYE
Wal Fadjri