Pour, dit-il, soutenir les efforts du Sénégal dans certains secteurs dits stratégiques, le gouvernement des Etats-Unis a accordé quatre subventions d’un montant global de 22 millions de dollars. C’est, donc, environ 9,5 milliards de nos francs qui sont mis à la disposition du Sénégal par les Américains.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop et la directrice de l’Aide étrangère américaine, Henrietta H. Fore, ont paraphé, hier, quatre amendements à des conventions de financement. Selon le communiqué du ministère des Finances dont copie nous est parvenue, les amendements qui ont été signés visent à permettre la poursuite de la mise en œuvre de projets dans les domaines de la santé et de l’éducation. De même, ce financement va permettre de soutenir la croissance économique et le processus de paix et de réconciliation en Casamance.
Au titre de l’année budgétaire 2008, l’aide américaine est estimée à 51 millions de dollars, soit environ 22 milliards de nos francs. Plus des trois quarts de ce financement sont déjà mobilisés, note le communiqué.
Par ailleurs, le ministère des Finances relève que le secteur qui a le plus bénéficié des subventions américaines, de manière générale, est celui de la santé qui s’est vu allouer un financement de 12,7 milliards de francs. Cette manne est destinée à la prise en charge des activités relatives à la santé maternelle et infantile, à la lutte contre les endémies telles que le Vih/sida, la tuberculose et le paludisme.
Pour ce qui est de l’éducation, une subvention de 5,6 milliards de francs lui a été attribuée pour, principalement, la construction, l’équipement et la réhabilitation des collèges de proximité. Le financement couvre, par ailleurs, les activités relatives à la formation des principaux et des enseignants des collèges.
L’autre secteur-clé de la coopération entre le Sénégal et les Etats-unis à bénéficier de la manne américaine est celui du soutien à la croissance économique. Le ministère des Finances indique que l’aide américaine se manifeste, à ce niveau, à travers la gestion des ressources naturelles, le soutien aux programmes économiques susceptibles d’améliorer la compétitivité, le commerce et les partenariats public-privé. La subvention de 2,7 milliards de francs accordée à ce secteur va permettre de prendre en charge correctement les activités prévues.
Le dernier accord de coopération concerne le volet relatif au processus de paix et de réconciliation en Casamance. Pour ce secteur, c’est une subvention globale de 1,3 milliard de francs qui a été dégagée afin de soutenir les actions de plaidoyer et de formation ainsi que le financement de micro-projets générateurs de revenus.
Wal Fadjri
Le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop et la directrice de l’Aide étrangère américaine, Henrietta H. Fore, ont paraphé, hier, quatre amendements à des conventions de financement. Selon le communiqué du ministère des Finances dont copie nous est parvenue, les amendements qui ont été signés visent à permettre la poursuite de la mise en œuvre de projets dans les domaines de la santé et de l’éducation. De même, ce financement va permettre de soutenir la croissance économique et le processus de paix et de réconciliation en Casamance.
Au titre de l’année budgétaire 2008, l’aide américaine est estimée à 51 millions de dollars, soit environ 22 milliards de nos francs. Plus des trois quarts de ce financement sont déjà mobilisés, note le communiqué.
Par ailleurs, le ministère des Finances relève que le secteur qui a le plus bénéficié des subventions américaines, de manière générale, est celui de la santé qui s’est vu allouer un financement de 12,7 milliards de francs. Cette manne est destinée à la prise en charge des activités relatives à la santé maternelle et infantile, à la lutte contre les endémies telles que le Vih/sida, la tuberculose et le paludisme.
Pour ce qui est de l’éducation, une subvention de 5,6 milliards de francs lui a été attribuée pour, principalement, la construction, l’équipement et la réhabilitation des collèges de proximité. Le financement couvre, par ailleurs, les activités relatives à la formation des principaux et des enseignants des collèges.
L’autre secteur-clé de la coopération entre le Sénégal et les Etats-unis à bénéficier de la manne américaine est celui du soutien à la croissance économique. Le ministère des Finances indique que l’aide américaine se manifeste, à ce niveau, à travers la gestion des ressources naturelles, le soutien aux programmes économiques susceptibles d’améliorer la compétitivité, le commerce et les partenariats public-privé. La subvention de 2,7 milliards de francs accordée à ce secteur va permettre de prendre en charge correctement les activités prévues.
Le dernier accord de coopération concerne le volet relatif au processus de paix et de réconciliation en Casamance. Pour ce secteur, c’est une subvention globale de 1,3 milliard de francs qui a été dégagée afin de soutenir les actions de plaidoyer et de formation ainsi que le financement de micro-projets générateurs de revenus.
Wal Fadjri