DEFICIT VIVRIER A FATICK : Kinder Il Not au chevet de la population de Diohine
Basée en Suisse, précisément à Zurich, l’association Kinder Il Not, qui travaille dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des enfants, vient de se signaler à Fatick en portant assistance aux populations du village de Diohine, dans la communauté rurale de Diarèkh.
Représentée au Sénégal par M. André Sonko, ancien ministre fortement impliqué aujourd’hui dans les actions de développement, l’association a octroyé du riz d’une valeur d’un million de francs aux populations de Diohine. L’occasion a été saisie par Mme Anne Marie Fall, responsable départementale des femmes de l’Urd et secrétaire générale de la fédération rurale de Diarékh, initiatrice de cette action, de remercier le donateur.
Après avoir longuement remercié M. Sonko, et au-delà de sa personne l’association suisse, Mme Fall, au nom des populations de Diohine, a souhaité la poursuite et la pérennisation du partenariat entre le village, voire la communauté rurale et l’association suisse pour un véritable développement humain, mais surtout pour l’amélioration des conditions de vie et de scolarisation des enfants.
Le Cem de Diohine et l’école privée catholique polarisent 13 villages distants en moyenne de 9 kilomètres, avec un effectif de 1000 élèves. La grande distance à parcourir oblige certains enfants à passer la journée dans la cour de l’école sans manger, faute de cantine scolaire. En matière de santé, la situation n’est guère meilleure et tous estiment que pour améliorer la santé des enfants et des femmes, ces dernières devraient pouvoir développer des activités génératrices de revenus sur la base s’un appui en micro-crédit.
Le Soleil
Représentée au Sénégal par M. André Sonko, ancien ministre fortement impliqué aujourd’hui dans les actions de développement, l’association a octroyé du riz d’une valeur d’un million de francs aux populations de Diohine. L’occasion a été saisie par Mme Anne Marie Fall, responsable départementale des femmes de l’Urd et secrétaire générale de la fédération rurale de Diarékh, initiatrice de cette action, de remercier le donateur.
Après avoir longuement remercié M. Sonko, et au-delà de sa personne l’association suisse, Mme Fall, au nom des populations de Diohine, a souhaité la poursuite et la pérennisation du partenariat entre le village, voire la communauté rurale et l’association suisse pour un véritable développement humain, mais surtout pour l’amélioration des conditions de vie et de scolarisation des enfants.
Le Cem de Diohine et l’école privée catholique polarisent 13 villages distants en moyenne de 9 kilomètres, avec un effectif de 1000 élèves. La grande distance à parcourir oblige certains enfants à passer la journée dans la cour de l’école sans manger, faute de cantine scolaire. En matière de santé, la situation n’est guère meilleure et tous estiment que pour améliorer la santé des enfants et des femmes, ces dernières devraient pouvoir développer des activités génératrices de revenus sur la base s’un appui en micro-crédit.
Le Soleil
