Développement de l’élevage au Sénégal oriental et en Haute Casamance : Signature d’une convention de 2,5 milliards de la BADEA



Le financement par la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) d’un projet de développement de l’élevage au Sénégal Oriental et en Haute Casamance est vu comme une preuve du renforcement de la coopération arabo-africaine en général.

La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) a accordé au Sénégal un prêt d’environ 2,5 milliards FCFA (6,2 millions de dollars US) pour un projet de développement de l’élevage au terme d’une convention signée hier à Dakar au siège du ministère de l’Economie et des Finances.

L’accord conclu entre le ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop et le directeur général de la Badea, Abdelaziz Khelef, est destiné au développement de l’élevage au Sénégal oriental et en Haute Casamance.

Selon M. Diop, ledit projet constitue une première phase d’un programme pour les zones concernées devant contribuer à la réduction de la pauvreté, l’amélioration de la sécurité alimentaire et au relèvement du niveau de vie des populations.

La convention ainsi paraphée porte à 53 opérations le nombre des interventions de l’institution financière arabe au Sénégal, représentant environ plus de 100 milliards 500 millions FCFA, a poursuivi le ministre d’Etat sénégalais.

Abdoulaye Diop a trouvé « significatif » que le développement rural, les secteurs de l’agriculture et des infrastructures de base, moteurs d’une croissance forte et durable pour le Sénégal, soient les principaux bénéficiaires des financements de la Badea.

Selon le ministre de l’Economie et des Finances, outre son volume, la coopération du Sénégal avec la banque arabe est « particulièrement dynamique ces dernières années ». Il a noté que le pays a bénéficié de « manière constante d’au moins une opération par an ». Abdoulaye Diop relève aussi que les délais d’instruction, d’approbation et de signature ont été « considérablement raccourcis pour le Sénégal ».

M. Diop a exprimé le souhait de voir les efforts de développement du Sénégal davantage soutenus par la Badea à travers le cinquième plan quinquennal (2005-2009) de l’institution bancaire, dont la mise ne œuvre se traduit par de nouvelles facilités pour les pays africains.

« Le niveau de nos relations, la qualité de notre coopération qui remonte à plus de trente années, la diversification qui la caractérise constituent pour nous autant de sources de fierté », a dit le directeur général de la Badea. Pour Abdelaziz Khelef, c’est là une preuve que la coopération arabo-africaine demeure un « instrument de solidarité réelle ».

M. Khelef a annoncé pour le Sénégal un programme de plusieurs opérations qui sera financé pour les trois années à venir par la Badea. Il a noté que ces opérations permettront de porter le niveau de coopération à des « seuils plus élevés ».

Le Soleil

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Commentaires articles

1.Posté par faye le 14/08/2008 16:53
bonjour
je suis une jeune senegalaise residente et travaillant au maroc
j'ai un projet d'elevage et je cherche un financement
pourriez vous m'aider à trouver ce financement
cordialement
dibor

2.Posté par abdou salam thioune le 16/11/2008 04:44
bonjour je cherche un emplacement pour investir dans l agriculture et l elevage au senegal

3.Posté par faye le 17/11/2008 12:08
bonjour Mr Thioune
je ne sais pas exactement là ou vous voulez investir mais moi j'ai un emplacement idéal pour un tel projet et justement je cherchais un financement
si çà t'interesse toujours appelle moi au 0021252601546 ou au 0021222973897
cordialement
FAYE DIBOR

4.Posté par tandian le 22/01/2009 20:36
bonjour, moi je voudrai investir dans l'elevage mai je voudrai savoir si on peut devenir riche dans l'agriculture et l'elevege au sénègal

5.Posté par faye dibor le 23/01/2009 11:21
bonjour tandian
le lancement d'un projet quel qu'il soit necessite de la patience et beaucoup d'efforts et surtout etre positif et avoir de la foie en ce que l'on fait
moi je crois à la reussite de ce projet dc toi aussi il suffit juste d'y croire
de tte façon si çà t'interesse toujours je ne cherche qu'un partenaire
merci de me repondre

6.Posté par samba le 27/03/2009 20:37
bonjour a tous ceux qui lirrons ce méssage je suis aicha je vie a nantes depuis 12 ans j'ai q'une envie c'est de retourné au Senegal et mon projet c'est de monter ma ferme d'elevage et vente de poulet .J'ai un apport mai insufisant pour mon projet allors s quelqun pense pouvoir m'aider je suis preneuse meme a crédit merci de me telephoner (0)629922154

7.Posté par mamadou baidy thiam le 28/05/2009 16:58
projects/fr/pplpi/docarc/mrp_partagees.pdf>

La modernisation de l'élevage est au centre des objectifs affichés par le Ministère sénégalais en charge du secteur. L'augmentation de la productivité de l'élevage est sensée permettre au secteur de répondre aux multiples défis de l'avenir, qu'ils soient formulés en terme d'approvisionnement des marchés, de sécurité sanitaire, de gestion de l'environnement ou de lutte contre la pauvreté. La vaccination, l'insémination artificielle, la stabulation, les cultures fourragères et l'amélioration de l'hygiène des produits participent de ce modèle «intensif» que l'Etat et les partenaires engagés dans des projets de développement du secteur entendent promouvoir. Pourtant, depuis 30 ans, ce modèle «productiviste» peine à s'imposer en zone rurale et se limite bien souvent à la périphérie des grandes villes, que ce soit dans le domaine de l'aviculture, de l'embouche ovine ou de la production laitière. Pourtant, les documents officiels continuent à faire la promotion de cette «modernisation» de l'élevage, notamment à travers le concept de «fermes modèles» dont il est question dans la dernière Lettre de Politique générale du Premier Ministre. Cette communication entend tester 3 hypothèses sur les dynamiques de modernisation du secteur et propose de discuter des principes susceptibles de guider les politiques de modernisation de l'élevage, en particulier dans le cadre de la promulgation de la LOASP. La première hypothèse est que la modernisation la plus rapide des techniques d'élevage est celle mise en oeuvre par des «nouveaux éleveurs», c'est-à-dire par des entrepreneurs parfois sans base rurale qui investissent dans des activités d'élevage commercial. On assisterait alors à l'émergence d'une nouvelle classe d'éleveurs modernes (aviculteurs, producteurs laitiers intensifs) tandis que la majeure partie des exploitations traditionnelles rurales évolueraient de manière beaucoup moins rapide. Comme l'agriculture, l'élevage sénégalais serait donc engagé dans un processus de développement divergent. La seconde hypothèse est qu'il n'existe pas de modèle unique de modernisation de l'élevage et que les solutions adoptées résultent de contraintes et de dynamiques d'innovation locales. Ainsi, on voit se développer dans plusieurs régions des systèmes d'élevage améliorés à faibles intrants valorisant les ressources locales. En périphérie proche des villes principales du bassin arachidier, on constate par exemple un engouement pour l'insémination artificielle. En Haute-Casamance se développe petit à petit un système d'agriculture-élevage à faibles intrants basé sur l'utilisation de la graine de coton et la commercialisation du lait aux petites unités de transformation. Les systèmes d'innovation locaux qui émergent s'appuient à la fois sur des organisations professionnelles et sur un partenariat entre «utilisateurs» et «médiateurs» de l'innovation. La troisième hypothèse est que les marchés domestiques restent approvisionnés pour une grande part par les systèmes d'élevage ruraux à faibles intrants, dont la compétitivité est liée à la fois aux faibles coûts de production et à la spécificité des produits qu'ils commercialisent. Les élevages ruraux sont ainsi les principaux fournisseurs de viande rouge et de cuirs et peaux, mais jouent aussi un rôle non négligeable dans l'approvisionnement des marchés en viande avicole (poulets fermiers), en lait et produits laitiers et en viande porcine. De plus, cet élevage rurale aurait un fort effet d'entraînement sur l'agriculture, grâce à son rôle dans l'intensification des systèmes agraires: apport de fumier, de traction et de revenus réguliers. Ces trois hypothèses (développement divergent du secteur - dynamiques locales d'innovation - compétitivité des systèmes à faible intrants) plaident pour une nouvelle approche de la modernisation de l'élevage. Cette nouvelle approche pourrait être fondée sur un appui différencié aux dynamiques de modernisation des exploitations rurales et des «nouveaux élevages», sur le renforc
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8.Posté par Conscience Solidarite Travail le 04/06/2009 14:28
bonjour , nous venons tout juste de former une association dont l'un des objectifs est : le retour des immigrants qu'il soit temporaire ou definitif à leur pays d'origine pour contribuer au developpement èconomique de leur pays . Donc le but est de trouver des financements et d'appuyer les projets des entrepreneurs et des artisants qui veulent contribuer au developpement economique de leur pays . Pour cela la implication des immigrants est necessaire pour mener à bien nos objectifs .
pour prendre contact avec nous : cstlugo@yahoo.es

9.Posté par Mr NDIAYE le 02/05/2010 04:08
cherche partenaire pour investir dans l'agriculture bio et l'elevage au senegal.dispose d'espaces suffisants pour bien mener ces activités.

10.Posté par abdoul le 07/05/2010 20:44
je vie en itali et j ai envie de vivre au senegal j ai deja construit un elevage de 3000 m2 et j ai un terren de 1.5 hectar mai je ne sait pas ou comence je veu fair l elevage et l agricultur j ai pas d ide ki peu me donne son conseil je voule eleve des poule local des vache de paon tout sort de betail et volail cultuve l aliment ke mange mes pouls ki peu me donne sont aide mon adresse et bafa04@yahoo.fr

11.Posté par Mr POUYE le 15/07/2010 13:54
je suis détenteur de projet pour l'élevage de poulet de chair et je suis à la recherche d'un finacement pour sa réalisation je suis à l'attente d'une suite favorable pour un fincement merçi d'avance

12.Posté par Elhadji Mbacke Lo le 04/11/2014 16:53 (depuis mobile)
Bjr je suis un jeune sénégalais disposant de terres pouvant abriter un projet d''élevage et d''agriculture. Je suis à la recherche de partenaires financiers pour dérouler ledit projet. Il suffit de me contacter au 00221 772716624.

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