Le secteur le moins loti en matière de financement, l’élevage, vient de bénéficier d’un accord de prêt de 2 milliards 500 millions de francs Cfa, relatif au projet de développement de ce secteur au Sénégal oriental et en Haute Casamance.
Cet accord a été signé entre le M. Abdelaziz Khelef, directeur général de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) et M. Abdoulaye Diop, ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances.
Cet accord constitue une première phase d’un programme visant le développement socio-économique de ces deux parties du pays. Et selon le ministre Abdoulaye Diop, «il va contribuer à la réduction de la pauvreté, à l’amélioration de la sécurité alimentaire, au relèvement du niveau de vie des populations rurales». Ce projet permettra aussi d’assurer «une gestion durable des ressources naturelles tout en contribuant au développement de l’élevage et à la mise en œuvre de systèmes de production performants».
La signature de cet accord porte le nombre d’interventions de la Badea au Sénégal depuis le début de la coopération à 54, pour un montant de 100 milliards 500 millions francs Cfa dans des domaines variés de l’économie. La coopération avec la Badea a permis au Sénégal de bénéficier d’au moins une opération par an. «Il s’y ajoute que les délais d’instruction, d’approbation et de signature des prêts ont été considérablement raccourcis pour le Sénégal» selon le ministre Abdoulaye Diop. Le directeur de la Badea a qualifié cette signature de «nouveau jalon dans le développement économique et un nouveau chapitre de notre coopération déjà ancienne, riche et fructueuse».
La mise en œuvre du cinquième plan quinquennal va se traduire par de nouvelles facilités pour le Sénégal. La Badea prévoit dans les trois années à venir, plusieurs opérations à financer et qui permettront de porter le niveau de coopération à des seuils plus élevés.
Le Quotidien
Cet accord a été signé entre le M. Abdelaziz Khelef, directeur général de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) et M. Abdoulaye Diop, ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances.
Cet accord constitue une première phase d’un programme visant le développement socio-économique de ces deux parties du pays. Et selon le ministre Abdoulaye Diop, «il va contribuer à la réduction de la pauvreté, à l’amélioration de la sécurité alimentaire, au relèvement du niveau de vie des populations rurales». Ce projet permettra aussi d’assurer «une gestion durable des ressources naturelles tout en contribuant au développement de l’élevage et à la mise en œuvre de systèmes de production performants».
La signature de cet accord porte le nombre d’interventions de la Badea au Sénégal depuis le début de la coopération à 54, pour un montant de 100 milliards 500 millions francs Cfa dans des domaines variés de l’économie. La coopération avec la Badea a permis au Sénégal de bénéficier d’au moins une opération par an. «Il s’y ajoute que les délais d’instruction, d’approbation et de signature des prêts ont été considérablement raccourcis pour le Sénégal» selon le ministre Abdoulaye Diop. Le directeur de la Badea a qualifié cette signature de «nouveau jalon dans le développement économique et un nouveau chapitre de notre coopération déjà ancienne, riche et fructueuse».
La mise en œuvre du cinquième plan quinquennal va se traduire par de nouvelles facilités pour le Sénégal. La Badea prévoit dans les trois années à venir, plusieurs opérations à financer et qui permettront de porter le niveau de coopération à des seuils plus élevés.
Le Quotidien