Les ressources naturelles sont en voie de disparition et les secteurs économiques ainsi que la pêche sont les plus touchés dans la région sud de la Casamance. Une situation qui a engendré la fermeture de plusieurs industries, sources de revenus pour les résidents. Devant cette crise qui traverse le monde rural, devant la dégradation du cadre de vie et devant les agressions quotidiennes sur l’environnement, ainsi que le pillage sauvages de ces ressources, les élus locaux ont organisé un forum au tour du thème « pour une gestion rationnelle des ressources naturelles et du cadre de vie en Casamance » qui a vu la participation du réseau du parlementaire et du coordinateur de WWF Wamer.
Occasion pour eux de sensibiliser tous les acteurs de développement qui s’impliquent dans ce domaine. Pour le président du RELEV, Sayibou Wandy Diémé, la rencontre émane du plan de travail annuel 2008, tiré de celui de 2007/2008, adopté par les élus locaux comme réponse aux problématiques tantôt évoqués : « nous sommes tous concernés et interpellés. Il s’agit d’un échange diagnostique pour aboutir à la définition d’un nouveau comportement de chacun et de tous, vis-à-vis de l’environnement dans les mois à venir » laisse t-il entendre. La manifestation a aussi enregistré un panel d’exécuteurs.
Dans la gestion des ressources forestières à Ziguinchor, la grande équation demeure les scieries qui font une utilisation abusive de la nature mais aussi les habitants régionaux et ceux de la sous région qui le font pour survivre. La forêt peut devenir aujourd’hui une sortie de crise, soutiennent les acteurs de développement, seulement il faut qu’elle soit bien gérée et cela implique toutes les personnes internes mais aussi de l’extérieur.
Dans le secteur de la pêche, la mangrove qui attirait les poissons, est la plus touchée. Selon Arona Badiane, chef de service du département de la pêche et de la surveillance de Ziguinchor, on ne peut pas parler de gestion durable de la ressource sans protection et surveillance efficace. « On constate aujourd’hui une raréfaction de la ressource, l’éloignement des zones de pêche et la dévalorisation de la qualité des produits comme la crevettes autorisé pour être commercialisée, est passée de 140 individus au kilomètre à 200. Ces incidents sont causés pour la plupart du temps par une utilisation des mailles non réglementaires, le libre accès à la ressource et la construction de grandes pirogues pour plusieurs jours de pêche en mer. » a conclu Mr Badiane.
Pour le réseau des parlements, composé de Ousmane Sow Huchard, de Abdou Sané, Ngoné Ndoye pour ne cité que ceux là, ce moment de travail, leur a servi d’armes pour une meilleure plaidoyer à l’assemblée nationale : « nous nous sommes imprégnés des effets néfastes de l’environnement dans la Casamance. Ainsi nous pourrons en tant que député et voix du peuple porté ses inquiètudes au parlement pour une meilleure prise en charge » ont –ils réagi Pour boucler la boucle, les parlement ont effectue une visite des différentes sites qui entre dans le cadre de la prise en charge de la nature. C’est ainsi qui sont passé à Affignam pour le barrage, à Abéné et à Boutoute pour le central.
Sud Quotidien
Occasion pour eux de sensibiliser tous les acteurs de développement qui s’impliquent dans ce domaine. Pour le président du RELEV, Sayibou Wandy Diémé, la rencontre émane du plan de travail annuel 2008, tiré de celui de 2007/2008, adopté par les élus locaux comme réponse aux problématiques tantôt évoqués : « nous sommes tous concernés et interpellés. Il s’agit d’un échange diagnostique pour aboutir à la définition d’un nouveau comportement de chacun et de tous, vis-à-vis de l’environnement dans les mois à venir » laisse t-il entendre. La manifestation a aussi enregistré un panel d’exécuteurs.
Dans la gestion des ressources forestières à Ziguinchor, la grande équation demeure les scieries qui font une utilisation abusive de la nature mais aussi les habitants régionaux et ceux de la sous région qui le font pour survivre. La forêt peut devenir aujourd’hui une sortie de crise, soutiennent les acteurs de développement, seulement il faut qu’elle soit bien gérée et cela implique toutes les personnes internes mais aussi de l’extérieur.
Dans le secteur de la pêche, la mangrove qui attirait les poissons, est la plus touchée. Selon Arona Badiane, chef de service du département de la pêche et de la surveillance de Ziguinchor, on ne peut pas parler de gestion durable de la ressource sans protection et surveillance efficace. « On constate aujourd’hui une raréfaction de la ressource, l’éloignement des zones de pêche et la dévalorisation de la qualité des produits comme la crevettes autorisé pour être commercialisée, est passée de 140 individus au kilomètre à 200. Ces incidents sont causés pour la plupart du temps par une utilisation des mailles non réglementaires, le libre accès à la ressource et la construction de grandes pirogues pour plusieurs jours de pêche en mer. » a conclu Mr Badiane.
Pour le réseau des parlements, composé de Ousmane Sow Huchard, de Abdou Sané, Ngoné Ndoye pour ne cité que ceux là, ce moment de travail, leur a servi d’armes pour une meilleure plaidoyer à l’assemblée nationale : « nous nous sommes imprégnés des effets néfastes de l’environnement dans la Casamance. Ainsi nous pourrons en tant que député et voix du peuple porté ses inquiètudes au parlement pour une meilleure prise en charge » ont –ils réagi Pour boucler la boucle, les parlement ont effectue une visite des différentes sites qui entre dans le cadre de la prise en charge de la nature. C’est ainsi qui sont passé à Affignam pour le barrage, à Abéné et à Boutoute pour le central.
Sud Quotidien