GESTION DES RESSOURCES MINIERES ET GEOLOGIQUES Experts africains et européens en conclave à Dakar
Le système d’observation Afrique - Europe des Géoressources (Aegos en Anglais) a ouvert hier, lundi 11 octobre à Dakar, un atelier régional de trois jours sur le thème : « Données, produits et services, projets innovant basés sur Aegos ». Ce projet qui regroupe des pays d’Afrique et d’Europe, vise à partager, sauvegarder et valoriser les connaissances et les données archivées dans les services géologiques européens et africains.
Les experts des pays membres de l’Aegos planchent durant trois jours à Dakar sur le thème : « Données, Produits et services, projets innovants basés sur Aegos ». La cérémonie d’ouverture a été tenue hier, lundi 11 octobre sous la présidence du Ministre d’Etat en charge des Mines, Abdoulaye Baldé. Selon ce dernier, l’Aegos est une action support du 7ème Programme Cadre de l’Union Européenne.
M. Baldé de rappeler que l’objectif de son Département est de contribuer à l’atteinte des objectifs de l’Aegos qui sont, entre autres, le renforcement des compétences des pays africains afin de promouvoir et développer leurs géo-ressources de façon écologique et durable et cela dans l’optique d’atteindre les Omd.
L’Aegos, à en croire au Ministre en charge des Mines, est un outil d’aide à la décision pour un large éventail d’utilisateurs tels que les décideurs politiques de tous niveaux géographiques, organismes de développement, acteur du secteur privé, communautés géo scientifiques et société civile.
C’est dans ce sens que le Directeur des Mines et de la Géologie, Moussa Sylla a rappelé que durant ces trois jours, il s’agira pour les experts venus d’Europe et d’Afrique, d’évaluer les besoins et atteintes des utilisateurs finaux de l’infrastructure Aegos. A cela s’ajoute la proposition de nouveaux projets à développer lors de la phase d’expérimentation d’Aegos mais aussi de passer en revue et dévaluer la faisabilité des produits et services innovants comme outils de prévision et de gestion pour l’utilisation des géo ressources.
Le Directeur des Mines a aussi soutenu que l’atelier permettra d’aider les pays africains à avoir plus accès à l’information minière. Car a-t-il soutenu, la plupart des pays africains ont des difficultés dans ce domaine à cause de la mauvaise qualité d’archivage. Et pourtant, « l’Afrique dispose de plus de 40% des réserves minières mondiales », selon le coordonnateur de l’Aegos, M. Marck Lirvois. C’est dans ce sens qu’il a souligné que les résultats attendus de cet atelier sont la mise en place d’un système d’observation des géo ressources mais également de créer un partenariat avec des institutions nationales et régionales comme L’Uemoa, Seamic et EuroGéosureys.
Sud Quotidien
Les experts des pays membres de l’Aegos planchent durant trois jours à Dakar sur le thème : « Données, Produits et services, projets innovants basés sur Aegos ». La cérémonie d’ouverture a été tenue hier, lundi 11 octobre sous la présidence du Ministre d’Etat en charge des Mines, Abdoulaye Baldé. Selon ce dernier, l’Aegos est une action support du 7ème Programme Cadre de l’Union Européenne.
M. Baldé de rappeler que l’objectif de son Département est de contribuer à l’atteinte des objectifs de l’Aegos qui sont, entre autres, le renforcement des compétences des pays africains afin de promouvoir et développer leurs géo-ressources de façon écologique et durable et cela dans l’optique d’atteindre les Omd.
L’Aegos, à en croire au Ministre en charge des Mines, est un outil d’aide à la décision pour un large éventail d’utilisateurs tels que les décideurs politiques de tous niveaux géographiques, organismes de développement, acteur du secteur privé, communautés géo scientifiques et société civile.
C’est dans ce sens que le Directeur des Mines et de la Géologie, Moussa Sylla a rappelé que durant ces trois jours, il s’agira pour les experts venus d’Europe et d’Afrique, d’évaluer les besoins et atteintes des utilisateurs finaux de l’infrastructure Aegos. A cela s’ajoute la proposition de nouveaux projets à développer lors de la phase d’expérimentation d’Aegos mais aussi de passer en revue et dévaluer la faisabilité des produits et services innovants comme outils de prévision et de gestion pour l’utilisation des géo ressources.
Le Directeur des Mines a aussi soutenu que l’atelier permettra d’aider les pays africains à avoir plus accès à l’information minière. Car a-t-il soutenu, la plupart des pays africains ont des difficultés dans ce domaine à cause de la mauvaise qualité d’archivage. Et pourtant, « l’Afrique dispose de plus de 40% des réserves minières mondiales », selon le coordonnateur de l’Aegos, M. Marck Lirvois. C’est dans ce sens qu’il a souligné que les résultats attendus de cet atelier sont la mise en place d’un système d’observation des géo ressources mais également de créer un partenariat avec des institutions nationales et régionales comme L’Uemoa, Seamic et EuroGéosureys.
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