L’insuffisance de la prise en compte de la dimension environnementale dans les programmes des collectivités locales, du fait de la primauté accordée à la recherche de ressources financières, au détriment de la préservation de l’environnement et de la gestion des ressources naturelles, a été au centre du programme de formation qui a réuni les élus et les assistants communautaires du département de Tambacounda.
Sous l’égide de l’Union des associations d’élus locaux (Uael) et sa Cellule d’appui (Cael) en partenariat avec la coopération canadienne (Acdi) et hollandaise, cette formation, selon Saër Ndao, adjoint au Gouverneur chargé du Développement de Tambacounda, qui a procédé à l’ouverture de la rencontre, entre dans le cadre du renforcement des capacités des élus surtout dans le domaine crucial de l’environnement et de la gestion des ressources naturelles.
Pour Baganda Sakho, conseiller régional, Président de la communauté rurale de Kothiary et point focal de l’Uael, il est question à partir de maintenant dans tous les projets et programmes des collectivités décentralisées de la dimension de la gestion durable de l’environnement.
Les difficultés que rencontrent les élus dans l’exercice de leurs compétences, surtout dans le cadre de l’environnement sont, entre autres, les conflits entre les ordres de collectivité, le flou qui entoure le cadre juridique et institutionnel qui organise ce secteur, entre autres insuffisances de la prise en compte de la dimension environnementale dans les programmes des collectivités locales.
C’est pourquoi, au cours de cette formation, les élus se sont familiarisés avec les modules relatifs à l’exercice de la compétence transférée en matière d’environnement et de gestion de ressources naturelles par les collectivités et surtout son articulation avec les programmes de développement local pour un développement durable. M. Sakho a souligné que les capacités institutionnelles des élus par l’occasion ont été renforcées dans ces domaines en plus des discussions sur les textes, le cadre formel et informel, les rôles et responsabilités.
La rencontre a aussi permis de passer en revue et de déterminer les étapes essentielles de la démarche d’évaluation environnementale et l’importance de la planification environnementale dans une perspective d’un développement équilibré harmonieux.Dans le cadre du développement durable, les trois préoccupations qui sont les piliers pour Baganda Sakho ont été disséquées et passées au peigne fin. Il s’agit de l’écologie, du social et de l’économie, condition sine qua non pour un développement harmonieux et l’épanouissement des populations et la préservation des écosystèmes pour une meilleure gestion des terroirs.
Pour lui, le bien fondé de la prise en compte de la dimension environnementale et sociale dans l’évaluation et la mise en œuvre des micro-projets et enfin l’identification des impacts environnementaux et sociaux surtout dans les projets du Plan national de développement local.
Le Soleil
Sous l’égide de l’Union des associations d’élus locaux (Uael) et sa Cellule d’appui (Cael) en partenariat avec la coopération canadienne (Acdi) et hollandaise, cette formation, selon Saër Ndao, adjoint au Gouverneur chargé du Développement de Tambacounda, qui a procédé à l’ouverture de la rencontre, entre dans le cadre du renforcement des capacités des élus surtout dans le domaine crucial de l’environnement et de la gestion des ressources naturelles.
Pour Baganda Sakho, conseiller régional, Président de la communauté rurale de Kothiary et point focal de l’Uael, il est question à partir de maintenant dans tous les projets et programmes des collectivités décentralisées de la dimension de la gestion durable de l’environnement.
Les difficultés que rencontrent les élus dans l’exercice de leurs compétences, surtout dans le cadre de l’environnement sont, entre autres, les conflits entre les ordres de collectivité, le flou qui entoure le cadre juridique et institutionnel qui organise ce secteur, entre autres insuffisances de la prise en compte de la dimension environnementale dans les programmes des collectivités locales.
C’est pourquoi, au cours de cette formation, les élus se sont familiarisés avec les modules relatifs à l’exercice de la compétence transférée en matière d’environnement et de gestion de ressources naturelles par les collectivités et surtout son articulation avec les programmes de développement local pour un développement durable. M. Sakho a souligné que les capacités institutionnelles des élus par l’occasion ont été renforcées dans ces domaines en plus des discussions sur les textes, le cadre formel et informel, les rôles et responsabilités.
La rencontre a aussi permis de passer en revue et de déterminer les étapes essentielles de la démarche d’évaluation environnementale et l’importance de la planification environnementale dans une perspective d’un développement équilibré harmonieux.Dans le cadre du développement durable, les trois préoccupations qui sont les piliers pour Baganda Sakho ont été disséquées et passées au peigne fin. Il s’agit de l’écologie, du social et de l’économie, condition sine qua non pour un développement harmonieux et l’épanouissement des populations et la préservation des écosystèmes pour une meilleure gestion des terroirs.
Pour lui, le bien fondé de la prise en compte de la dimension environnementale et sociale dans l’évaluation et la mise en œuvre des micro-projets et enfin l’identification des impacts environnementaux et sociaux surtout dans les projets du Plan national de développement local.
Le Soleil