Nioro : L’application des conventions locales, le financement des projets, la formation des leaders communautaires et la restitution constituent, entre autres, quelques-unes des principales préoccupations des collectivités locales du département de Nioro dans la gestion des ressources naturelles.
Ce fut un véritable cadre de dialogue et d’échanges entre forestiers et acteurs dont plus particulièrement les élus des collectivités locales en charge du volet environnemental dans la politique de décentralisation mise en oeuvre au Sénégal. Une occasion saisie également par les élus pour évoquer la nécessité d’équiper les comités de vigilance, de mobiliser et de motiver les acteurs en gestion des ressources naturelles et de travailler à une bonne planification des activités environnementales au niveau local. En outre, il convient aussi, selon Ibrahima Sall, président du club environnement de Wack-Ngouna « de combattre la transhumance dévastatrice des différentes actions et de mettre l’accent sur la protection des végétaux par une mise en place de pesticides et aussi des grillages ».
Autant de questions qui ont été agitées lors de cet atelier organisé sous l’égide du Conseil régional de Kaolack dans le cadre de la mise en oeuvre de la seconde phase du Programme d’appui aux régions (Par) et qui méritent des solutions urgentes et durables pour relever le défi d’une bonne gestion des ressources naturelles. L’inspecteur régional des Eaux et Forêts de Kaolack, le colonel Babacar Dia, a beaucoup insisté sur une bonne implication des élus et des populations en général dans cette dynamique. Et pour ce faire, il y a lieu, selon lui, « d’insister sur la formation et la sensibilisation, surtout des élus et des leaders communautaires, sur les codes et autres textes liés à la gestion de l’environnement ». D’ailleurs, les femmes venues en masse à cette rencontre en ont fait des priorités tout en souhaitant une bonne prise en charge de toutes ces questions par les différents présidents de communautés rurales. Comme du reste, d’ailleurs, les y invite Aliou Kébé, le Pcr de Keur Madiabel, pour qui « il faut que nous prenions nos responsabilités, car nous ne saurions vivre sans un environnement sain ».
Tout comme le président du club environnement de Wack Ngouna, Ibrahima Sall, a aussi évoqué « la nécessité d’inciter les partenaires des collectivités locales à s’impliquer fortement dans les questions environnementales tout en mettant l’accent sur les après-projets par l’entremise de structures locales en gestion des ressources naturelles à mettre en place ». Le colonel Babacar Dia a demandé aux responsables des collectivités locales d’accorder une place de choix à l’environnement et aux ressources naturelles dans les programmes locaux de développement et aussi en adoptant des inscriptions budgétaires dans la mise en oeuvre de leur budget annuel.
Le Soleil
Ce fut un véritable cadre de dialogue et d’échanges entre forestiers et acteurs dont plus particulièrement les élus des collectivités locales en charge du volet environnemental dans la politique de décentralisation mise en oeuvre au Sénégal. Une occasion saisie également par les élus pour évoquer la nécessité d’équiper les comités de vigilance, de mobiliser et de motiver les acteurs en gestion des ressources naturelles et de travailler à une bonne planification des activités environnementales au niveau local. En outre, il convient aussi, selon Ibrahima Sall, président du club environnement de Wack-Ngouna « de combattre la transhumance dévastatrice des différentes actions et de mettre l’accent sur la protection des végétaux par une mise en place de pesticides et aussi des grillages ».
Autant de questions qui ont été agitées lors de cet atelier organisé sous l’égide du Conseil régional de Kaolack dans le cadre de la mise en oeuvre de la seconde phase du Programme d’appui aux régions (Par) et qui méritent des solutions urgentes et durables pour relever le défi d’une bonne gestion des ressources naturelles. L’inspecteur régional des Eaux et Forêts de Kaolack, le colonel Babacar Dia, a beaucoup insisté sur une bonne implication des élus et des populations en général dans cette dynamique. Et pour ce faire, il y a lieu, selon lui, « d’insister sur la formation et la sensibilisation, surtout des élus et des leaders communautaires, sur les codes et autres textes liés à la gestion de l’environnement ». D’ailleurs, les femmes venues en masse à cette rencontre en ont fait des priorités tout en souhaitant une bonne prise en charge de toutes ces questions par les différents présidents de communautés rurales. Comme du reste, d’ailleurs, les y invite Aliou Kébé, le Pcr de Keur Madiabel, pour qui « il faut que nous prenions nos responsabilités, car nous ne saurions vivre sans un environnement sain ».
Tout comme le président du club environnement de Wack Ngouna, Ibrahima Sall, a aussi évoqué « la nécessité d’inciter les partenaires des collectivités locales à s’impliquer fortement dans les questions environnementales tout en mettant l’accent sur les après-projets par l’entremise de structures locales en gestion des ressources naturelles à mettre en place ». Le colonel Babacar Dia a demandé aux responsables des collectivités locales d’accorder une place de choix à l’environnement et aux ressources naturelles dans les programmes locaux de développement et aussi en adoptant des inscriptions budgétaires dans la mise en oeuvre de leur budget annuel.
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