Le Réseau pour la communication sur les risques et catastrophes(Recorec) au Sénégal a ouvert un séminaire de formation à Dakar, ce lundi 27 septembre 2010, sous la présidence du ministre de l’intérieur Ousmane Ngom. Cet atelier vise la capacitation des membres du Recorec en matière de réduction des risques de catastrophe(Rrc). Le Pnud, partenaire privilégié du réseau a octroyé un montant de 250 millions de dollars pour la gestion des catastrophes de l’année 2010.
250 millions de dollars, c’est la somme décaissée par le Programme des Nations Unies pour le développement(Pnud) pour subventionner les activités de gestions des catastrophes au Sénégal. Cette déclaration a été faite lors de l’ouverture du séminaire de formation des membres du Réseau pour la communication sur les risques et catastrophes (Recorec), ce lundi 27 septembre 2010 à Dakar. L’atelier a pour objectif majeur la capacitation de ses membres en matière de réduction des risques de catastrophe (Rrc).
Depuis sa création le 06 mars 2009 à Mbodiène, le Recorec, regroupant en son sein des journalistes, des communicants et des représentants de l’Etat tels que des agents de la gendarmerie, la police, et les sapeurs pompiers, participe à la gestion des catastrophes au Sénégal.
Le ministre de l’Intérieur Me Ousmane Ngom a précisé que « ce séminaire vient à son heure car notre pays est confronté depuis deux décennies, à une série de catastrophes naturelles dont certaines sont récurrentes. Il s’agit des inondations, des pluies hors saison, des invasions acridiennes, de l’érosion cotière etc. ».
Il est rejoint dans sa thése par le président du Recorec. Selon Marcel Mendy : « le séminaire vient à point nommé, au lendemain de la commémoration du naufrage du Joola, au regard de la situation qui prévaut dans les différentes localités du pays où les populations sont confrontées aux inondations avec leurs conséquences dramatiques sur leur vécu ». Il a par ailleurs ajouté que « le Recorec ambitionne d’exercer véritablement un leadership, en collaboration parfaite avec la Direction de la protection civile ». C’est en ce sens que le Recorec « prévoit la promotion d’un journalisme citoyen, porté par des journalistes et des communicants citoyens, ayant au cœur de leur pratique professionnelle, les préoccupations de leurs concitoyens » a-t-il précisé.
Intervenant sur la question des inondations, Marcel Mendy a soutenu que « c’est en mutualisant nos efforts et en combinant nos énergies que nous parviendrons à venir à bout de cet hydre à plusieurs têtes que sont les inondations. Ce sera en partenariat avec le Pnud qui est d’un appui de taille dans cette lutte ».
Pour Sidath Diouf, le Directeur de la protection civile, le reseau subira un élargissement sous peu. Il préconise « la création d’un réseau des universitaires et des Ong au sortir de cet atelier pour le renforcement du dispositif ».
Le séminaire se tient en deux jours pendant lesquels les parties prenantes vont échanger pour une meilleure gestion des risques et catastrophes au Sénégal.
Sud Quotidien
250 millions de dollars, c’est la somme décaissée par le Programme des Nations Unies pour le développement(Pnud) pour subventionner les activités de gestions des catastrophes au Sénégal. Cette déclaration a été faite lors de l’ouverture du séminaire de formation des membres du Réseau pour la communication sur les risques et catastrophes (Recorec), ce lundi 27 septembre 2010 à Dakar. L’atelier a pour objectif majeur la capacitation de ses membres en matière de réduction des risques de catastrophe (Rrc).
Depuis sa création le 06 mars 2009 à Mbodiène, le Recorec, regroupant en son sein des journalistes, des communicants et des représentants de l’Etat tels que des agents de la gendarmerie, la police, et les sapeurs pompiers, participe à la gestion des catastrophes au Sénégal.
Le ministre de l’Intérieur Me Ousmane Ngom a précisé que « ce séminaire vient à son heure car notre pays est confronté depuis deux décennies, à une série de catastrophes naturelles dont certaines sont récurrentes. Il s’agit des inondations, des pluies hors saison, des invasions acridiennes, de l’érosion cotière etc. ».
Il est rejoint dans sa thése par le président du Recorec. Selon Marcel Mendy : « le séminaire vient à point nommé, au lendemain de la commémoration du naufrage du Joola, au regard de la situation qui prévaut dans les différentes localités du pays où les populations sont confrontées aux inondations avec leurs conséquences dramatiques sur leur vécu ». Il a par ailleurs ajouté que « le Recorec ambitionne d’exercer véritablement un leadership, en collaboration parfaite avec la Direction de la protection civile ». C’est en ce sens que le Recorec « prévoit la promotion d’un journalisme citoyen, porté par des journalistes et des communicants citoyens, ayant au cœur de leur pratique professionnelle, les préoccupations de leurs concitoyens » a-t-il précisé.
Intervenant sur la question des inondations, Marcel Mendy a soutenu que « c’est en mutualisant nos efforts et en combinant nos énergies que nous parviendrons à venir à bout de cet hydre à plusieurs têtes que sont les inondations. Ce sera en partenariat avec le Pnud qui est d’un appui de taille dans cette lutte ».
Pour Sidath Diouf, le Directeur de la protection civile, le reseau subira un élargissement sous peu. Il préconise « la création d’un réseau des universitaires et des Ong au sortir de cet atelier pour le renforcement du dispositif ».
Le séminaire se tient en deux jours pendant lesquels les parties prenantes vont échanger pour une meilleure gestion des risques et catastrophes au Sénégal.
Sud Quotidien