GESTION DU FONCIER : Les cadres du Oualo planchent sur la problématique
« Le problème du foncier au Oualo : enjeux et perspectives », a été au menu d’une conférence organisée, la semaine dernière, par le Cercle d’études et de réflexion pour le Oualo (Cero). Le souci est de partager la réflexion et étendre la recherche de solutions aux problèmes du foncier dans le Oualo.
Le débat est bien d’actualité et la motivation plus que nécessaire quant il s’agit de parler de la problématique et des enjeux du foncier dans le Oualo, terre de potentialités et de ressources avérées. Et l’initiative du Cercle d’études et de réflexion pour le Oualo (Cero) en organisant un panel sur le « problème du foncier au Oualo : enjeux et perspectives », participe à l’ambition d’œuvrer pour le développement économique et social de ce terroir fertile, véritable pôle de développement agricole. La conférence, présidée par le Pr. Amsatou Sow Sidibé, marque aussi une volonté de contribuer à la sauvegarde d’une terre légendaire qui, compte tenu de sa situation géographique, fait face à de multiples défis. Pour pallier certaines insuffisances liées à l’occupation des terres dans cette partie nord du pays, le Cero compte pousser la réflexion à la recherche de solutions les meilleures aux problèmes du Oualo. Dans cette perspective, il envisage d’organiser un forum de discussions sur la question foncière au Oualo et les modalités d’attribution et d’exploitation. Ce forum se fera en rapport avec les populations, les pouvoirs publics et les partenaires au développement. Le Cero, comme l’a souligné le coordonnateur de la structure, Diombass Diaw, entend ainsi véritablement jouer son rôle d’avant-garde, d’anticipation et de proposition et se veut surtout une force d’appui aux pouvoirs publics dans leur politique de développement du Oualo. Cette conférence, qui a enregistré la participation de plusieurs panélistes, notamment MM. Moussa Seck, ingénieur agronome, Abdoulaye Dièye, professeur à l’Ucad, Djibril Mbaye, expert agronome, etc. a permis au Cero de réaffirmer son engagement d’œuvrer à l’émergence de son terroir. Cette conférence fait suite à une première rencontre organisée sur la sécurité alimentaire en riz au Sénégal et sur le rôle que la vallée du fleuve pourrait jouer.
Adama MBODJ
Le Soleil
Le débat est bien d’actualité et la motivation plus que nécessaire quant il s’agit de parler de la problématique et des enjeux du foncier dans le Oualo, terre de potentialités et de ressources avérées. Et l’initiative du Cercle d’études et de réflexion pour le Oualo (Cero) en organisant un panel sur le « problème du foncier au Oualo : enjeux et perspectives », participe à l’ambition d’œuvrer pour le développement économique et social de ce terroir fertile, véritable pôle de développement agricole. La conférence, présidée par le Pr. Amsatou Sow Sidibé, marque aussi une volonté de contribuer à la sauvegarde d’une terre légendaire qui, compte tenu de sa situation géographique, fait face à de multiples défis. Pour pallier certaines insuffisances liées à l’occupation des terres dans cette partie nord du pays, le Cero compte pousser la réflexion à la recherche de solutions les meilleures aux problèmes du Oualo. Dans cette perspective, il envisage d’organiser un forum de discussions sur la question foncière au Oualo et les modalités d’attribution et d’exploitation. Ce forum se fera en rapport avec les populations, les pouvoirs publics et les partenaires au développement. Le Cero, comme l’a souligné le coordonnateur de la structure, Diombass Diaw, entend ainsi véritablement jouer son rôle d’avant-garde, d’anticipation et de proposition et se veut surtout une force d’appui aux pouvoirs publics dans leur politique de développement du Oualo. Cette conférence, qui a enregistré la participation de plusieurs panélistes, notamment MM. Moussa Seck, ingénieur agronome, Abdoulaye Dièye, professeur à l’Ucad, Djibril Mbaye, expert agronome, etc. a permis au Cero de réaffirmer son engagement d’œuvrer à l’émergence de son terroir. Cette conférence fait suite à une première rencontre organisée sur la sécurité alimentaire en riz au Sénégal et sur le rôle que la vallée du fleuve pourrait jouer.
Adama MBODJ
Le Soleil
