Participant à un atelier de trois jours relatif à la formulation d’une contribution au programme social minier et à son suivi, ils ont invité les autorités à mettre en place des dispositions légales et réglementaires pour la mise en œuvre effective du Fonds social minier, à travers un mécanisme de suivi évaluation décentralisé. Ils ont aussi demandé aux autorités de veiller au respect des cahiers de charges des sociétés concessionnaires, à la mise en place d’infrastructures de base au bénéfice des populations de la zone.
Le vice-président du Conseil régional de Tambacounda, Kabiné Kaba Diakité, qui lisait la déclaration finale de cet atelier ouvert jeudi, a exhorté les pouvoirs publics au respect des droits socio-économiques des populations de la zone, notamment l’emploi des jeunes de la localité dans les sociétés concessionnaires. Cet atelier organisé par l’ONG « La lumière » en partenariat avec Open Society Initiative For West Africa (Osiwa) a permis d’examiner les différents aspects de ce programme social minier négocié par l’Etat d’un coût global de 3,6 milliards de francs CFA. Le secrétaire exécutif de l’ONG « La lumière » Ibrahima Sory Diallo a expliqué que l’appui budgétaire est un processus de responsabilisation des collectivités locales à la base, un renforcement de capacités. Selon lui, cet instrument garantit la participation des communautés, permet la transparence car les fonds sont garantis par le Trésor public. M Diallo a également que cette sollicitation des populations soit agréée par l’Etat.
Il s’est agi au cours de cette rencontre de réfléchir sur les mécanismes de mise en œuvre, les résultats et les modalités d’exécution de ce programme, ainsi que de sa gestion administrative et financière à travers l’appui budgétaire apporté aux communautés rurales. L’examen de la procédure juridique sur les expropriations de terres dans le cadre de l’exploitation minière, entre autres questions, ont été également au menu de cette rencontre.
Les différents exposants au cours de cet atelier, dont Kabiné Kaba Diakité, vice-président du Conseil régional de Tambacounda, ont parlé du fonds social minier qui contribue à valoriser les ressources et potentialités (agriculture, élevage, foresterie) et à développer les activités génératrices des revenus. Selon eux, cet atelier permet de sensibiliser les acteurs locaux et de renforcer leurs capacités et enfin de développer les infrastructures et équipements sociaux de base.
Cet atelier qui a regroupé les acteurs non étatiques, les techniciens, les élus locaux et les communautés minières a été mis à profit pour cogiter sur la détermination des mécanismes de mise en œuvre et de suivi-évaluation du programme social minier.
L’adjoint au préfet Amadou Wagué qui procédait à la clôture de ce séminaire a relevé que cette rencontre participe à informer ‘’juste et vraie’’ pour dissiper les confusions sur la mise en œuvre du fonds social minier.
M Wagué a assuré que sous peu de temps, les populations de Kédougou vivront les changements qui naîtront des nouveaux découpages administratifs en vue. Pour lui, tout est priorité dans ce département, mais parmi celles-ci il existe des super priorités. Il a souhaité que d’ici cinq mois, la nouvelle région de Kédougou puisse voir le premier lingot d’or dans un climat social apaisé.
Sud Quotidien
Le vice-président du Conseil régional de Tambacounda, Kabiné Kaba Diakité, qui lisait la déclaration finale de cet atelier ouvert jeudi, a exhorté les pouvoirs publics au respect des droits socio-économiques des populations de la zone, notamment l’emploi des jeunes de la localité dans les sociétés concessionnaires. Cet atelier organisé par l’ONG « La lumière » en partenariat avec Open Society Initiative For West Africa (Osiwa) a permis d’examiner les différents aspects de ce programme social minier négocié par l’Etat d’un coût global de 3,6 milliards de francs CFA. Le secrétaire exécutif de l’ONG « La lumière » Ibrahima Sory Diallo a expliqué que l’appui budgétaire est un processus de responsabilisation des collectivités locales à la base, un renforcement de capacités. Selon lui, cet instrument garantit la participation des communautés, permet la transparence car les fonds sont garantis par le Trésor public. M Diallo a également que cette sollicitation des populations soit agréée par l’Etat.
Il s’est agi au cours de cette rencontre de réfléchir sur les mécanismes de mise en œuvre, les résultats et les modalités d’exécution de ce programme, ainsi que de sa gestion administrative et financière à travers l’appui budgétaire apporté aux communautés rurales. L’examen de la procédure juridique sur les expropriations de terres dans le cadre de l’exploitation minière, entre autres questions, ont été également au menu de cette rencontre.
Les différents exposants au cours de cet atelier, dont Kabiné Kaba Diakité, vice-président du Conseil régional de Tambacounda, ont parlé du fonds social minier qui contribue à valoriser les ressources et potentialités (agriculture, élevage, foresterie) et à développer les activités génératrices des revenus. Selon eux, cet atelier permet de sensibiliser les acteurs locaux et de renforcer leurs capacités et enfin de développer les infrastructures et équipements sociaux de base.
Cet atelier qui a regroupé les acteurs non étatiques, les techniciens, les élus locaux et les communautés minières a été mis à profit pour cogiter sur la détermination des mécanismes de mise en œuvre et de suivi-évaluation du programme social minier.
L’adjoint au préfet Amadou Wagué qui procédait à la clôture de ce séminaire a relevé que cette rencontre participe à informer ‘’juste et vraie’’ pour dissiper les confusions sur la mise en œuvre du fonds social minier.
M Wagué a assuré que sous peu de temps, les populations de Kédougou vivront les changements qui naîtront des nouveaux découpages administratifs en vue. Pour lui, tout est priorité dans ce département, mais parmi celles-ci il existe des super priorités. Il a souhaité que d’ici cinq mois, la nouvelle région de Kédougou puisse voir le premier lingot d’or dans un climat social apaisé.
Sud Quotidien